La solution la plus économique ? c'est de continuer à lancer à la main et d'arrêter de perdre du temps à chercher des réponses.
Tu demandes un avis technique, tu l’as. Mais si tu choisis d’ignorer une réponse logique parce qu’‘internet dit tout et son contraire’, alors effectivement : il ne te reste plus que la chance.
C’est pas un fer plat qui pourrait résister aux forces du bois. Donc ça va bouger, c’est sûr.
Avec ce bois, très probablement non sec (et qui ne descendra jamais à un taux de grande stabilité qu’on ne peut atteindre qu’avec un séchoir), il faut être patient : le fixer sommairement sur l’arrière près du mur, le laisser évoluer. Dans de nombreux mois, s’il est resté à peu près plat, on fixe sur l’avant et on jointoie au mur. S’il a trop bougé ou fendu, faudra scier en long et recoller, voire l’aplatir à nouveau.
Joint acrylique ou silicone sur mur pierre, ce serait dommage. Privilégier plâtre ou chaux, après avoir fait un fond de joint en filasse (celle des plombiers par exemple). Le plâtre peut être coloré par pigments, il est dur et va fissurer mais restera naturel.
Protection par huile cire incolore (OSMO top oil ou hardwax) en deux passes fines.
Ce n’est pas possible d’éliminer l’électricité statique d’un tube PVC. Le PVC est non conducteur, les charges électriques restent donc en surface, à l’intérieur du tube, là où elles sont créées par le frottement des copeaux secs.
C’est pour cette raison qu’il est déconseillé en atelier professionnel d’utiliser ce matériau pour l’aspiration. Les gaines PU ont un fil de cuivre interne spiralé qui peut être mis à la terre.
Donc, soit tu persistes en PVC, soit tu cherches sur le bon coin du tube métallique.
Sinon, une mise à la terre est simple : tu relies au chassis métallique de ta machine si celle-ci est stationnaire ET reliée elle-même à la terre (fiche 3 broches en monophasé soit 2P+T).
Bravo pour ta ténacité et pour avoir pris le temps d’étudier ce nouveau domaine. En effet, beaucoup d’infos erronées circulent dans ce domaine.
Pour un début, tu n’as pas choisi la facilité.
En effet, une colonne audio, c’est beaucoup de découpes, beaucoup de composants électriques (donc cher) et autant de risques de déconvenues.
Tu pouvais réaliser quelque chose qui marche pas mal en large bande (un seul HP qui couvre tout le spectre, sans besoin de filtre), ou en panneau plan (un grand panneau de bois qui supprime le court circuit acoustique entre avant et arrière.
Quoiqu’il en soit, un filtre permet de séparer le signal qui sera délivré à chaque HP. Plus il est complexe (tu as choisi un 3eme ordre avec donc une pente très raide de coupure de 18dB par octave), plus il apporte des perturbations sur la phase du signal. Et plus il atténue le signal, nécessitant de compenser par un ampli plus puissant. C’est pourquoi, on préfère aujourd’hui un filtrage actif qui permet d’éviter ces défauts et sont facilement réglables (ils amènent d’autres défauts hélas).
Ta caisse en MDF m’a l’air peu rigide (vérifie les zones sensibles en tapotant, partout où ça sonne très creux, ça vibrera de manière parasite). Tu peux y coller des renforts. Par ailleurs, le son varie beaucoup en ajoutant plus ou moins de matière absorbante à l’intérieur de l’enceinte dans la zone du médium (ouate, laine dite « acoustique ». Tout se règle à l’oreille, selon ton propre goût.
Bonnes écoutes !


Rien trouvé dans mes sources. J’opterais pour un fabricant nordique compte tenu du style épuré.
Faut élargir la recherche avec d’autres infos.
Quel est le contexte ?
Cuisine d’un fabricant identifié ?
Quelle année ?
Inox véritable ou zamak ?