Le risque d’échec et donc de visibilité est grand. Mais cette méthode peut donner les meilleurs résultats.
Deux objectifs à respecter : utiliser très peu de colle car tout débord se verra au vernissage - rentrer la lame de colmatage un peu en force pour supprimer tout jeu avec la rainure à combler.
Sinon, y’a pas de mystère, faudra refaire le panneau.
Je n’ai plus de remarque avec toutes ces évolutions.
Éventuellement, tu pourrais te passer des profilés alu sur les bordures du verre. En effet, les 3 traverses vont travailler transversalement, sans modifier leur longueur donc sans contraindre le verre.
La seule contrainte viendra du travail des lames de bois en bordure de table. Or, avec une fixation flottante par trous oblongs sur l’extérieur et trous ronds sur l’intérieur’ le travail de l’intérieur sera négligeable.
Un joint souple type mastic vitrier ou polyuréthane marin pourra suffire à accompagner quelques dixièmes de mouvement.
Ce faisant, tu auras un plan de table vraiment plan.
Je ne comprends pas trop l’idée d’avoir des essences de bois différentes puis de les dissimuler avec une teinte.
Bref, chacun ses goûts.
J’utilise intensivement de l’huile-cire OSMO depuis 3 ans. Après avoir abandonné les huiles classiques à base de lin. Je ne sais pas si ça vaut un vernis dans la durée, mais c’est incomparable.
Facile à appliquer, facile à raviver, économique (par rapport au Rubio), et surtout un toucher très naturel du bois.
Cela, je l’avais bien saisi.
Ma remarque fait référence à cette phrase-ci : « Je fais un table avec plusieurs essences de bois (frêne olivier, platane, wengé, noyer et inconnus). »
Je n’ai pas de souci avec cela non plus et j’ai déjà écrit « chacun ses goûts ». De plus, comme chacun sait, « ce que femme veut, Dieu le veut » 
Non, ce qui me chagrine, ce sont deux détails de menuiserie très concrets.
1 Teinter c’est fondamentalement changer la couleur naturelle d’origine. Pourquoi mettre autant d’essences différentes, autant en prendre une ou deux pour varier le veinage et travailler la diversité de couleurs uniquement par la teinture.
2 Chaque essence a ses caractéristiques de dilatation/retrait en fonction de l’hygrométrie. Coller des bois épais formant une surface lisse comme un plateau de table, c’est prendre le risque d’apparition de désaffleurs (ce risque n’existe pas en marqueterie justement grâce aux fines épaisseurs utilisées).
Si j’en crois la doc ci-dessus, on peut mettre à profit cet accordéon pour faire sa découpe : on laisse plié, on coupe les 4 plis, on ouvre et on fixe un nouveau panneau de fond seulement sur le haut de l’armoire.
C’est simple, sans décollage/recollage mais il faut rajouter un peu de matière en plus de l’armoire elle-même.
Ben, je ne sais pas exactement quelle coupe tu souhaites faire mais j’ai dit plus haut qu’il me semblait possible de travailler sans avoir à décoller le fond.
Puis j’ai retourné la question puisqu’il faut alors fabriquer un fond partiel pour le haut : souhaites-tu rajouter un fond pour fermer le pan coupé. C’est ta réponse à ce point qui devrait t’orienter entre décoller ou ne pas décoller.
Personnellement, je n’ai jamais vu de près un de ces nouveaux meubles accordéon. Ce que je dis reste donc théorique.
J’émets un doute sur la pertinence de ce type de cale. En effet, les panneaux ont des épaisseurs variables. Affichés à 18mm, ils font en réalité entre 17,5 et 18,5 (sans compter l’épaisseur des CP qui dépend aussi du taux d’humidité, ni les erreurs du grossiste qui livre un panneau de 19 dans un lot de 18). Des désaffleurs involontaires sont régulièrement issus de cette tolérance ignorée.
Chacun fait comme il veut, mais j’ai pris l’habitude de travailler avec une face de référence.
Dans l’option 1, si je comprends bien la croix est uniquement esthétique. Elle peut être collée/clouée sur le panneau.