la fluidité s'impose , on y reconnait la maitrise
il manque un lit! c'est une grave omission
Ara non pas du tout, invite la à faire un tour, ça stimule
très instructif
ah! quelle aventure mais au final tout rentre dans l'ordre;
autant pour moi problème vitesse et mandrin résolus, mais reste à faire les accessoires/guides avec la précision nécessaire. je comprends bien ta motivation pour l'avoir moi même vécue. Mais au final tu n'auras jamais une défonceuse digne de ce nom sans compter le nombre d'heures de réflexion et d'élaboration des pièces, notamment la plongée.
tout le charme de cette réalisation se résume à sa technique d'assemblage, bien vu
première photo un peu lointaine
à la différence prêt qu'entre un sol et un billot le chêne, qui est un bois à pores ouvert, supporte moins longtemps les coups de feuille que le charme ou le hêtre qui sont des bois au grain serré.
Surtout quand il s'agit d'un billot à usage professionnel, mais logiquement interdit aujourd'hui si je ne me trompe pas.
comment as-tu assemblé stp les carrelets de bois de bout?
comme d'habitude, trop beau
j'arrive!
belle pièce, gros boulot
étonné du choix de prendre du chêne pour le peindre, une autre essence moins onéreuse aurait fait l'affaire
sympa comme découverte!
tu t'attaques à une belle aventure, il faut restaurer avec respect de la conception d'origine et donc de nos prédécesseurs. Il faut du temps mais le résultat sera au rendez-vous. En sus du travail c'est une leçon que tu reçoit. Comprendre les techniques d'assemblages, dont certaines sont complètement disparues et en découvrir les raisons de ce choix sont très porteur
Bonjour Etienne
je n'ai pas dit que le clameau avait un rapport avec les vestiges de guerre. Toutefois dans mon département de la Meuse je peux vous assurer que le phénomène est encore présent. De la bataille de Verdun en passant pat Les Epargne, le Saillant de St Mihiel ou la butte de Vauquois, tout le département a été traversé (sans jeu de mots) par la première guerre.
12000 ce sont des petits joueurs!