Euh, là, MagG ElChouv, en tant qu'ex-professionnel, vous me surprenez, pour ne pas dire plus !!!

Clairement, ça n'est pas en "bricolant" chez vous, que vous allez vous améliorer, ou prendre de l'expérience.
Dans une entreprise, vous commencerez en bas de l'échelle, c'est sûr, mais au niveau du barreau CAP, si vous l'avez, tout de même. Donc avec un salaire, même si ça n'est pas le plus haut que vous puissiez espérer, ou que je vous souhaite. Mais un salaire tout de même.
C'est en travaillant au sein de diverses entreprises, que vous y découvrirez différentes tailles, structures, organisations de boites. De spécialités, d'effectif, d'équipement, machines, matériaux, modes de fabrication, etc. Que vous apprendrez et prendrez de l'assurance dans différentes et nouvelles techniques, façons de faire. Que vous vous frotterez avec plein de gens expérimentés, de qui vous pourrez apprendre.
Chez vous, vous n'aurez jamais tout ça, ou les chantiers concrets que vous auriez dans des boites. Vous resterez au niveau petit "chantier bricole", pas forcément en corrélation avec les réalités des marchés qu'obtiennent les entreprises ou artisans, d'ailleurs.
Que vous y fassiez des erreurs aussi, certes, mais l'expérience est justement constituée d'erreurs qu'on ne commettra qu'une fois (bon, même parfois 2 !
)
Mais c'est vraiment au cœur du métier et d'entreprises, que vous avez le plus à apprendre, que vous vous y constituerez vos expériences. Et le plus tôt sera le mieux !
À rester chez vous, vous ne progresserez que très peu, en tout cas, jamais à la hauteur de ce que pourrait attendre de vous une entreprise.
De plus, le jour où vous irez postuler, vous exposerez juste que n'êtes pas sûrs de vous. Donc pas la meilleure perception de vous, que vous pourriez donner.
Alors que si vous y allez tout de suite, vos patrons seront plus indulgents (bah, plus ou moins, suivant le patron), envers des gens qui sortent tout juste de formation.
Une solution pour trouver un (ou des) emploi(s), c'est de passer par une ou des boites d'intérim. Ça vous permet justement de découvrir différentes entreprise et spécificité, et aussi de vous y faire connaitre.
Plein de menuisiers que j'ai eu l'occasion d'embaucher par le passé, je les ai connus et repères par ce biais.
Bref AU BOULOT, et bon courage à vous !
Je suis aussi interrogatif que normandie et Boisenformes .
Si c'est bien du boulon central, que l'on parle, j'ai aussi du mal à croire qu'il s'agisse de M4.
M14, serait plus plausible.
(M4, ou M14 désignant le diamètre au plus fort, de la partie filetée, soit donc 4mm seulement pour du M4)
Ou bien alors... tu as des doigts ÉNORMES, normandie ! 

Attention ! Boisenformes Ce type de fer réversible est destiné à des machines spécifiques (Metabo, il me semble... ou autres ?). Pour des machines d'entrée de gamme, souvent vendue en GSB.
Lui, aurait une Lurem C210B, ces fers là ne seront pas adaptés!
Boisenformes
Il suffirait juste lui donner le nom du site en question, alors. Pas la référence et un lien vers un type fer qui ne correspond manifestement pas à sa machine. 
Pour éviter une brèche dans les fers (qui se traduira par une ligne continue en relief sur la face dégauchie ou rabotée) il faut effectivement veiller à ce qu'il n'y ait pas de reste de gravillon, pointe, vis, agrafe ou autre corps étranger sur ou dans le bois.
Pour y remédier, au moins temporairement, vieux truc de menuisier, il suffit de décaler les fers de quelques millimètres, sur la longueur. L'un à droite et l'autre à gauche de 2 millimètres, ça suffit souvent à résoudre le problème, au moins jusqu'au prochain affutage.
Sinon, pour un usage amateur et pour du chêne et sapin, du HSS suffit amplement.
Orgeat Je rajouterais que, suivant la dureté de la partie blanche (qu'on ne peut pas deviner, à la seule vue de l'image) :
. Si c'est souple, donc en silicone ou similaire, ça pourrait être quelque chose destiné à assurer une étanchéité. Ca peut venir d'un pulvérisateur, machine à café (type Nespresso, Senseo, etc), autre pistolet de pulvérisation. Ou d'un appareil fonctionnant sous pression, air comprimé ou autre...
. Si c'est dur, du genre PTFE ou Teflon, ça serait un truc devant assurer un glissement, ainsi qu'un arrêt dans des perçages d'indexation. Venant d'un système de guide coulissant, d'un système orientable sur un secteur de réglage angulaire, peut-être...
Mais d'une des machines citées, je ne vois pas vraiment.
Mais qu'est-ce que tu a démonté dernièrement dans ton "garatelier" ?!?!? 

Feuilles successives, et jointées en livre ouvert, ça va de soi, c'est même une évidence !
...(Jamais je n'aurais cru qu'il soit nécessaire de devoir te le préciser.
)
Et quand le travail est aussi beau que tu l'aimes, ça ne se voit pas ! (hormis pour un œil averti comme nous, qui saura discerner les jonctions, bien sûr).
etiennedesthuilliers
Oui, qu'il annonce maintenant n'avoir aucune expérience du placage, peut lui poser d'autres problèmes.
Ça, c'est une autre histoire.
Je pourrai voir à lui fournir un placage du format qu'il souhaite... mais il me sera difficile d'aller le lui mettre en œuvre... puisque dans son profil, il serait en "Amerique du Nord".
D'accord sur pas mal de points :
. On ne connait pas le type d'activité, le volume à y passer, etc
. Hormis pour des scieries mobiles, dont Wood-Mizer parait être spécialiste, je ne connais pas plus la marque.
J'ai eu l'occasion d'en voir une en réel, mais à l'arrêt, et aussi en service mais là, seulement en vidéo. Ça parait clairement uniquement constitué de tôles mécanosoudées, boulonnées, et de construction relativement légère. Ceci dit, c'est un peu obligatoire pour une machine qui doit rester transportable, donc assez légère pour ça.
Mais pour ce type de corroyeuse, on retrouve les mêmes principes de construction, sauf qu'ici, la nécessité de légèreté se justifie moins.
. J'ai eu l'occasion de travailler avec diverses 4 faces Guillet 5 arbres, SCM et Chambon 4 arbres, et aussi une moulurière Weinig 7 arbres, à différentes époques.
La construction de toutes ces machines est autrement plus robuste et lourde que cette Wood-Mizer américaine.
Ça ne me donne pas vraiment pas confiance non plus, même (ou surtout) si le prix n'est pas très cher... Mais peut-être trop cher pour ce que c'est !
À choisir, je partirai sur une occasion, d'autant qu'il y en a pas mal, notamment des Weinig, qui est la référence dans le domaine, à des prix intéressants. Même si anciennes, ces machines sont increvables, et les pièces toujours disponibles !
Bubsy
Ces machines sont généralement en 180 ou 220 maxi.
En regardant rapidement les occasions, mardi soir, j'en ai tout de même aperçu en plus grande largeur.
Il faut regarder...
Si c'est une quantité de bois à approvisionner que tu cherches à determiner, il faut le calculer. Et pour cela, oui, il faut dessiner ce que tu veux faire, pour définir les bonnes sections et quantités de pièces qui constitueront ta planche finie. Et ensuite, tout en tenant compte des pertes de corroyage + une marge de sécurité, en déduire la quantité ce que ça represente dans les planches, suivant leur section.
J'ai utilisé des quantités de Tip-On, autant en coulisses de tiroirs que pour des portes, ou des abattants. Ceci, pour des fabrication et pose de cuisines ou divers mobiliers d'agencement.
Avec une bonne maîtrise des principes et des jeux à respecter, ça fonctionne très bien, et ça ne pose aucun problème pour les poser et les régler. Pas de problème de fiabilité de la part des clients non plus.
C'est donc un coup à prendre !
Bon courage.
Dans ce cas, c'est au niveau de l'accroche, donc de la préparation de tes supports, que proviennent tes problèmes.
Une couche de vernis (j'imagine, en couche finale, pour protéger l'ensemble des couches appliquées) n'y résoudra rien.
Si ton idée de vernis concernait une première couche, destinée à améliorer l'accroche, il existe de très bons produits primaires chez les marchands de peinture.
paulkerjean
Donc, tu parles bien d'une couche finale. Sauf que si en dessous, l'accroche n'est pas bonne, une couche de vernis en protection ne résoudra rien.
Par contre, tu disais dans ta première réponse que tu faisais un "ponçage a 180 léger"... mais dans ta seconde, tu demandes "Est il nécessaire avant de commencer de poncer légèrement le mdf?"
Étonnant, et contradictoire !?!?!
Oui, il est toujours préférable de bien poncer au préalable, ne serait que pour enlever toutes les traces de fabrication, manipulations, enlever les rayures, tracés, éventuelles traces grasses, etc.
Pour le ponçage, plusieurs écoles :
. Faire (ou terminer par) un ponçage au grain fin (plus de 180) aura l'avantage de "lustrer" donc de fermer la structure microscopique du matériau, le rendant donc moins absorbant, lors des premières couches. Ça peut faire économiser des couches, mais à l'opposé, ça peut exposer au risque de mauvaise accroche, ensuite.
. Préférer un ponçage à des grains genre 120 à 150 donnera une surface plus grossière, qui aura l'avantage de mieux accrocher, mais qui en contrepartie aura l'inconvénient d'être plus absorbante.
paulkerjean
Je répète : Dans ta première réponse, tu dis que tu fais un ponçage léger... dans la seconde, tu demandes s'il est nécessaire de poncer (ce qui laisse supposer que tu ne le fais pas). Voilà.
paulkerjean
Je ne faisais que reprendre ce que tu as écrit, mais bon, il n'y a pas matière à s'en offusquer. Je cherchais juste à comprendre.
Mais passons, il est effectivement nécessaire de poncer, comme je l'ai écrit plus haut, et pour éviter certains risques que je décrivais aussi.
Bonne continuation
fceh
Des traces, des rayures restantes peuvent être reprises à l'enduit après primaire, oui. Mais ça ne dispense pas d'un ponçage avant toute application qui éliminera toutes les traces grasses sur la surface du panneau brut. 
La méthode collé/pointé, pour des ouvrages peu exigeants en matière d'esthétique, des boites, caissons, parfois même des tiroirs en CP, ou même des ouvrages MDF à peindre, c'est du basique, et couramment employé.

Je le disais plus haut, simple, rapide, efficace.
Après, si on veut mieux et invisible, il reste les tourillons, lamello, domino. Mais plus long à faire.