Moi je prends carrément le multimètre et je vérifie la continuité de chaque bobinage avant de le récupérer (de toute façon)...
Après, une inspection des roulements est toujours judicieuse car, lorsqu'ils lâchent à haute/grande vitesse, c'est très effrayant autant comme bruit que comme expérience (ça m'est arrivé l'été dernier avec une ponceuse rectangulaire, j'ai tout juste réussi à avoir le réflexe de la laisser tomber par terre...)
Et au pire, si le moteur est fichu, ça se trouve (d'occasion) chez:
-les bobineurs
-les ferrailleurs
-les sociétés et services de maintenance industrielle
-les boîtes de fournitures industrielles genre RS-Online, Farnell/Element14, Mabeo industries...
Autant je conçois que ça peut être important d'être "à la Une" par rapport à nombre d'éléments personnels (dont la fierté (sur Loire))
Autant, au lieu de limiter pour moins apparaître, on pourrait d'abord envisager de redisposer l'affichage en plaçant des vignettes carrées qui montrent jusqu'à trois créations en photo et l'image du contributeur, puis, s'il y en a plus, n'en afficher que deux et remplacer l'image par un bouton "voir plus de créations" par exemple...
En effet, il est possible que ce soit 3 phases + terre... Mais, dans certains cas, il peut y avoir ce qu'on appelle un "régime de terre" (entendu ici comme un régiment qui est régi, rien à voir avec l'alimentation) de type "terre/neutre confondu" ce qui signifie que le neutre passe par le conducteur de terre, donc à vérifier au niveau de la boîte à bornes du moteur (même si, à priori, pour des questions de sécurité, c'est plus probable de trouver ça sur des machines dites "norme atex" (atmosphère explosive) que sur des machines à bois (encore que, vu la spontanéité avec laquelle la sciure peut s'enflammer, ça reste vraisemblable...)
Différence de philosophie sur les machines stationnaires Europe vs Amérique
Bonjour,
Faire de la sous-location dans ce contexte, c'est vraiment risqué, notamment sur le plan juridique, surtout avec du matériel récent.
Quand bien même vous envisageriez de faire une ou plusieurs journées de formation pour les sous-locataires, ça va vous solliciter lourdement tant physiquement que mentalement, c'est assez dur à tenir...
Et après, malgré le temps que vous aurez passé à expliquer l'utilisation de votre matériel, qui vous dit que vous n'allez pas le retrouver abîmé, cassé, démonté voire volé alors que "le mec avait l'air sympa et semblait savoir ce qu'il faisait" ?
Moi, il y a un autre point qui m'inquiète pour vous : est-ce que votre local, bien qu'en sous-location, ne risque pas d'être tenu de répondre aux impératifs légaux des ERP (Établissement Recevant du Public) ? Car, si c'est le cas, même si c'est absurde, il suffit qu'un fauteuil roulant ne puisse pas y circuler ou qu'ils estiment que les toilettes ne peuvent pas "soulager" les 80 ou 100 personnes qui pourraient être présentes dans votre espace, et bam, en cas de problème, c'est tout sur vos deniers même en ayant des assurances...