
C'est la jungle en effet.
Il y a des cloueurs spécialisés et d'autres plus polyvalents, mais globalement il faut souvent plusieurs cloueurs pour une activité pro.
Personnellement j'en ai 4, deux pour les finitions et deux pour l'ossature bois, charpente/couverture et bardage.
Il faut bien vérifier le degré d'inclinaison des clous, le diamètre, le type de tête, les longueurs compatibles. Pour les cloueurs de plus grande capacités, il y a ceux qui n'acceptent que les clous à liaison acier ou bien uniquement plastique...
Si c'est un premier cloueur, c'est bien de se rendre sur un site comme Noviclous, il indique la compatibilité des clous en fonction du cloueur, le service est réactif.
Sinon Bostitch et Senco sont des marques connues dans ce domaine.

Plus d'excuse pour mettre le feu en soirée.
Il y a pas mal de vinyles dans ta collection qui me rappellent toute une époque, j'ai du remettre De La Soul dans les enceintes pour ne pas oublier. Merci pour ce petit rappel.
Mais pourquoi mes technics prennent la poussière...
Faut que je trouve une solution.

Non, il me semble que les goudrons de pin de qualités se reconnaissent par une légère coloration rougeâtre.

Regarde aussi chez Dictum :
Goudron de pin Furutjära
Goudron de pin fin Dalbränd Tjära
Goudron de pin très fin Fintjära
Qualité Suédoise...
Le Furutjära, plutôt poisseux, et le Dalbränd Tjära sont diluables dans térébenthine, solvant d'agrumes ou, huile de lin.
Prévoir vêtements sales et masque respiratoire. L'odeur est forte et tenace...
Pas d'utilisation en intérieur (COV)

Le goudron de houille est reconnu cancérigène par la présence de HAP. C'est un produit issus de minéraux (charbon) ou dérivés pétrolier. D'où la précision dans mon premier commentaire (car bien plus toxique, du fait de la présence importante de HAP).
Le goudron de pin à une origine végétale et reste le plus ancien, c'est le produit d'une oléorésine et d'une pyrolyse, les molécules produites sont différentes (je ne dis pas sans risque, ni complétement naturel ;)).
Pour les feuillus, la pyrolyse obtenue (acide pyroligneux) génère plus de COV et contient des composés phénoliques complexes...
Je préfère faire la distinction entre goudron de houille et goudron de pin.
Dans tous les cas, ne pas mettre ça en intérieur, porter des gants et un masque et ce dire que le bain marie n'est pas exclusivement réserver au chocolat.
A utiliser à bon escient.

Le drain extérieur et là pour évacuer l’excédant d'eau, il est indépendant de l'aération sous plancher.
Il me semble important de faire venir un professionnel formé aux pathologies du bâtiment. De manière à comprendre comment ce vide sanitaire se comporte pendant les ré humidification du sol (quel type de terrain, etc ?)
Suivant le type de bâti et de fondations (bâti ancien, ou fondation béton armé ?), les solutions sont différentes et un mauvais choix peu conduire à de nouveaux problèmes... (fissuration dans le bâti, non respect de l'hydroscopie des murs, drain non adapté et/ou mal mis en œuvre, travaux inefficaces).
Ici la hauteur du vide sanitaire est clairement insuffisant, suivant la configuration (que l'on ne connait pas) cette hauteur varie de 45cm à plus de 1.5m pour les vides sanitaires visitables. Pour les plancher bois sur vide sanitaire il y a des règles spécifiques de mise en œuvre que connaissent les pros ou Bureaux d'étude formés à la construction bois (ce rapprocher d'eux, voir notamment DTU 51.3, DTU 31.2, etc, on peut aussi les consulter dans les écoles d'archi') ou peut être directement via etiennedesthuilliers ?
Pour une ventilation efficace, on calcule la dimension des entrées et sorties d'air suivant la surface du vide sanitaire, la localité, le type de sol, la position des ouvertures ce fait en fonction de la configuration du vide sanitaire et des vents dominants pour pouvoir ventiler correctement.
Mis à part les problèmes actuels, il peut y avoir un risque supérieur de développement de mérule ou de présence de radon suivant localité.
Pour les cas où la ventilation est insuffisante et/ou la création d'ouvertures impossible. On peut installer une ventilation mécanique, voir le caisson d'aération spécial vide sanitaire, MICROGEM VS Unelvent par exemple.
Normalement on place un frein vapeur hygrovariable (type Intello par exemple) si la pièce est chauffée.
Avez vous pensé à l'isolation du plancher ?
Je donne ici des infos plutôt générales, pour dire simplement que la gestion de l’humidité dans le bâti est un thème sensible qui se traite au cas par cas.

Oui j'ai volontairement souligné la différence entre drain extérieur et ventilation sous plancher.
La réponse de nbenedict me paraît confuse.
J'ai mentionné votre nom car je sais que vous avez des compétences dans les pathologies du bâti.
(pour nbenedict) Voir aussi l’hérisson ventilé, qui est un bon exemple de gestion de l'humidité et du radon dans le bâti ancien. Ça reste une technique simple de mise en œuvre, mais qui demande des travaux conséquents...
Bonne continuation.

Panoramix
Bonjour,
je trouve le commentaire bien résumé. On suppose néanmoins que c'est un bâti ancien (sans aucunes certitudes). Il faut vraiment connaitre le type de construction.
Du moment qu'elles sont bien mises en œuvre, les deux techniques sont possibles, les dalles chaux dans le bâti ancien est ce qui se fait de mieux. Je ne préconise pas l'utilisation de polyane également.
Dans les deux cas (dalle bois ou dalle chaux + drainage et ventilation) cela demande de lourd travaux, (dans le temps et sur le plan financier). Il y a aussi les techniques hybrides qui peuvent être intéressantes et bien évidement, celles qui limiterons les problèmes sans vraiment les résoudre, tout dépend de se que l'on veut... Elles sont aussi moins coûteuses et plus accessibles.
Dans tout les cas, il faut d’abord comprendre le bâti et son environnement pour limiter les causes d'un éventuel excès d'humidité.
Dans les options les plus riches et chronophages il y a :
- Pour une dalle bois et puisque des aérations sont déjà présentes :
- Déposer l'ensemble et décaisser légèrement pour augmenter la hauteur (respecter le pieds des fondations, attention !).
- s'assurer que les aérations sont bien dimensionnées pour avoir un brassage d'air constant et limiter la propagation fongique. Installer une ventilation mécanique au besoin.
- Vérifier que le solivage en chêne soit bien dimensionné pour recevoir une charge supplémentaire (isolant, etc).
- Si oui, sur le chant inférieur de la solive en chêne, visser (vis inox) une planche en douglas ou bande de CP protégée contre l'humidité. Cette pièce doit être plus large que la solive pour créer un appuis des deux côtés.
- découper et placer un panneaux (fond de caisson) entre les solives.
- mastiquer la périphérie et raccords de panneaux.
- isoler toute la hauteur des solives avec un isolant naturel (perméable à la vapeur d'eau).
- poser un frein vapeur hygrovariable (ou panneaux OSB). Contrôler (au tout début !) le transfert d'humidité avec Ubakus par exemple.
- pose du parquet. Le plancher étant isolé, les variations dimensionnelles vont être très largement réduites. Il ne sera pas forcement utile de réduire la largeur des lames, faut-il encore le poser dans les règles et le laisser se stabiliser dans la pièces (avant la pose).
Toutes ces règles de pose se trouvent dans les librairies spécialisées si l'on veut les acheter...
- Pour une dalle chaux dans le bâti ancien :
L'hérisson ventiler est ce qui se fait de mieux, je donne ici le liens vers Alliance4, qui a crée des fiches techniques intéressantes. les dalles à la chaux, chaux liège, chaux pouzzolane sont complémentaires. Très bonne régulation de l'humidité et confort thermique amélioré. Éviter le chaux chanvre en dalle. Le Misapor est aussi utilisé.
Ici plus besoin des aérations, la hauteur de la dalle est plus importante, on y posera les lambourdes (en chêne délignées ?) et le plancher en suivant, avec la possibilité d'isoler entre lambourde, ici nul besoin de frein vapeur.
Je pose ça là à titre informatif. Pour moi les solutions se trouvent directement sur place pour éviter les gaffes...
Ça permet d'amener des axes de réflexion.
Panoramix Vous travaillez dans un bureau d'étude structure bois ?

ça marche aussi il me semble.
AERLRO Tu me corriges si je dis des bêtises.
Je ne connais pas le type de démarrage de la Lurem C260N
Si le schéma élec comporte aussi une partie commande, uniquement pour les moteurs asynchrones TRI couplés en triangle.
moteur 220/380V en réseau 220 TRI
moteur 380/660V en réseau 380 TRI
Il faut câbler trois contacteurs (pas de barrettes dans la boîte à borne) :
- un contacteur de ligne pour l'alimentation du moteur
- un contacteur étoile, auquel on ajoute une temporisation en rapport à l'inertie de la machine entraînée (à régler avant de passer en couplage triangle).
- un contacteur triangle
En gros ça prend beaucoup de place, en neuf c'est cher et aussi plus long à câbler.

50cm c'est un peut mieux du moment que les téléphones sont en mode avion ou étains, tout va bien et du moment ou l'on est informé, chacun fait comme il peut ou veux

Ara par contre, je suis preneur d'explications sur les onde CPL. Car ce que l'on peut en lire est un peut inquiétant, du moins, on a pas encore trop de retour sur du long terme pour dire quelles sont sans risques. Des infos de ton côté?

Ara j'aime bien tes explications imagées. J'en conclus qu'il faut faire chacun ses choix éclairés, car visiblement les avis divergent et le consommateur se noie encore dans le vrai et le faux. Je trouve sain que les gens se questionnent et débattent, car si l'on devait gober tout ce qui nous arriverait aux yeux et aux oreilles, on pourrait finir aveugle et sourd sans s’en rendre compte.
Bonne soirée à toi! J'ai encore du taf sur la planche moi, j'ai la tapette à souris qui a claqué, elle n’a pas vu l'embuscade la maline.

C'est une véritable œuvre d'art. Ouais là je crois que tu es bon pour un remplacement de rotor, l'engrenage ne transmet plus rien.
Dans quel état d'usure est le reste ?
Je ne connais pas la disponibilité des pièces et le prix du rotor pour ces vieux modèle.
Peut être faut t'il lui trouver une remplaçante...

Toumefair Ce que tu évoques correspond à la largeur de rainure présente sur le guide chaîne, ou bien à la jauge d'un maillon d'entrainement sur la chaîne.
Ici tout est bon, voir description ( guide et jauge en 1.6).
NicoK pas mal de chose on déjà été évoqué.
est t'il possible de poster une photo du guide ?
certains sont moins rigide que d'autres et parfois ils se déforment...
Le guide tôlé et le guide Light sont plus légés, mais moins résistants, donc non adaptés aux tronçonneuses puissantes.
Le guide plein avec pignon de renvoi interchangeable ou un guide plein à embout stellité seront plus résistants (car taillés dans la masse) et recommandés pour un usage pro.
Chacun(une) fait aussi sa propre sauce, les combinaisons de guides, de chaines, d'affûtages et de réglages machine sont nombreuses.
parfois ça fait la différence.
La gruminette produite en Chine est-elle suffisamment rigide et qualitative ? aucune idée...
Quelle huile de chaîne utilises tu ? (bonne viscosité ?). Trop d'huile n'est pas forcement bon aussi (risque d’agglomération et d'échauffement).
Nettoyer peut être plus souvent la gorge du guide et trou d'arriver d'huile. Vérifier le bon graissage de chaîne.
Je ne connais pas la dimension des plateaux, mais je pense que sortir 5 planches sans affûtages ou changement de chaîne peut devenir contre productif.
Affûter peut être plus régulièrement ?
Si ça fait de la sciure, c'est déjà trop tard...
Un collègue arboriste grimpeur m'expliquait aussi qu'il n'investissait que dans les chaînes Stihl maintenant, car visiblement elles tiennent mieux l'affutage.
Bonne continuation

NicoK
Powercut c'est la gamme pro de la marque il me semble. Le guide est certainement plein (taillé masse) avec pignon de renvoi interchangeable, je ne pense pas qu'il y ai de souci de ce côté (guide et tronçonneuse adaptés).
Ça doit faire des petits copeau (plutôt fin à chaque fois qu'une gouge de chaine rencontre le bois) et un peu de sciure fine. S'il y a une majorité ou la totalité en sciure fine (voir même poussière de bois), c'est que les gouges ne sont plus affûtées. Je ne sais pas bien comment l'expliquer.
Le bleuissement du guide indique un problème de lubrification, mais si tes gouges ne coupent plus, les maillons de chaîne peuvent chauffer au point de brûler les dépôts présents dans la rainure du guide...
Ça paraît bizarre d'enchainer 4 plateaux de 2500mm sans problème, ça fait quand même 10ml à avaler pour la chaîne avant de passer au suivant, c'est pas rien. Si la grume est sale l'affutage durera aussi moins longtemps, c'est très variable (laver, brosser ou écorcer c'est toujours mieux quand c'est possible).
peut être rafraichir le tranchant plus régulièrement, ce qui permettra aussi de laisser refroidir l'ensemble avant de reprendre. Plusieurs chaînes c'est toujours mieux pour ne pas à avoir à affuter 91 maillons dans la journée de sciage.
Fish
Si tu le souhaites, tu peux me transmettre les devis en MP en masquant les coordonnées.
Visiblement il n'y a pas d'avenant, pas de CGV, ni de réserves ou de mentions particulières... Parfois le nettoyage et évacuation sont laisser à la charge du client pour faire diminuer la facture, mais cela doit être clairement notifié sur le devis (à l'oral aussi). Votre entente a été bonne dans l'ensemble ?
Le dialogue est toujours préférable.