Merci messieurs!
Si je comprends bien, il y a un châssis tout en fonte et le reste (paliers, roulements, engrenages, axes et moteurs...) se remplace ou peut être refabriqué...
Ce sont de belles machines, les Laurent. Massives et généreuses comme il faut... ça se laisse tenter pour démarrer une activité tout doucement.
IL faudra que je fabrique la protection de toupie qui manque, mais cela ne devrait pas être très compliqué.
À la perceuse, donc, avec une tige de profondeur?
Effectivement, ça semble le plus simple...
Ok, bien reçu. J'irai mollo sur les joues, avec un ciseau bien aiguisé. Mais ça reste de la charpente riustique... MERCI!
En effet... Je pourrais donc baiser l'entrait pour avoir une résistance complète du tenon. L'entrait bénéficierait d'un épaulement au niveau du poteau.
Peut-être pourrais-je faire un double tenonnage pour l'accueil de la sablière (deux tenons parallèles au lieu d'un seul). Faut juste pas se rater au taillage si je veux que ça rentre bien...
Merci Sylvain pour cette réponse rapide et précise.
L'assemblage en gargouille apparaît assez évident, en effet, dans ce cas de figure. En revanche, je le trouve pas très esthétique sur un bâtiment dont les sections seront assez importantes, avec des pièces relativement flachées (vieux bois de réemploi ou pièces non équarries).
Mon croquis était-il "hérétique"? Je me suis inspiré de ce que j'ai vu sur un lavoir, construction certes plus petite qu'une charreterie...
Ou alors je baisse un peu l'entrait, ce qui me permet de conserver toute l'embase tu tenon destiné à recevoir la sablière...?
Une image plus précise...
Merci pour vos réponses qui ont le mérite de souligner le caractère aléatoire de l'opération. Débutant en menuiserie, je suis un peu triste de ne pouvoir profiter pleinement de la scierie que j'ai chez moi. Je l'ai utilisée pour construire une grange et un atelier. Devoir attendre 4 ans après un débit de planches est un peu frustrant!