
Je ne trouve en rien le terme bricoler péjoratif. Au contraire. Et la question n’est pas vraiment dans le but mais plutôt dans le « avec quoi y arriver ». Levi Strauss parle aussi du « trésor » qu’à constitué le bricoleur, tout ce qu’il a mis de côté parce que « ça peut toujours servir ». C’est plutôt là qu’il fait la distinction.
Je trouve le sweetheart no4 très correct, mais je n’ai jamais essayé ni Lié Nielsen, ni Veritas ni Clinton pour comparer.