512 commentaires
Medalegno
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Soliloque
"Tang" est le terme anglais pour désigner la soie d'un outil.
Pourquoi ne pas parler français, puisque les bons mots existent ?

Sinon, je confirme, il s'agit bien de mèches cuillères.
😉

Medalegno
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Je ne connais pas Rhino, mais il est certainement possible d'y relever les divers angles et formes des pièces après avoir créé ton volume, non ?

Sinon, qu'est-ce que tu appelles un "guide Duplex" ? 🤔
😉

Medalegno

Sur une forme pyramidale avec une base octogonale, tu arrives à avoir des angles à plus de 45° !?!? 🤔

Ça n'est possible qu'avec une base triangulaire, ou alors, c'était autre chose qu'un simple arrêter de type pyramide ou trémie, alors.
😉

Medalegno

RemiBois OK, vu. C'est un guide d'angle double, donc.
Merci, je ne connaissais pas le nom chez Altendorf.

Et sinon, dans Rhino, tu n'as pas la possibilité de relever les angles ?
😉

par jmdef il y a 28 jours
Medalegno
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Pas de l'Ipé non plus.
Celui-ci présente parfois des variations de couleur ou reflet tirant sur le vert (d'où son autre appellation "Ébène vert") qu'on ne retrouve pas ici.
😉

Medalegno
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On peut y voir effectivement certaines caractéristiques similaires (qui le sont d'ailleurs à pas mal de bois exotiques), mais la plus reconnaissable pour pouvoir se prononcer avec certitude pour de l'iroko, manque ici : la couleur.
(Beige à jaune pâle fraîchement débité ou raboté, il a tendance à foncer en surface à la lumière... mais en tirant vers le brun/marron. Ici, on est sur du brun/rouge)
😉

Medalegno
Je suis d'accord

D'autant plus qu'avec un tel montage, on travaille en extrémité d'arbre, donc très loin des roulements. Cette disposition favorisant donc encore plus les vibrations.

Medalegno

Ça n'est pas qu'une question d'arbre, ou de résistance de celui-ci qui est bien évidemment d'un plus fort diamètre sur une toupie.
Mais un arbre de toupie, contrairement à une défonceuse ou broche de de CN sur lequel l'outil sera monté en direct en sortie de moteur, il y a un ou plusieurs entrainements à courroie, avec tendeurs, renvois, etc, tous organes qui ne sont pas prévus pour d'aussi grandes vitesses.
Toujours sur une défonceuse ou broche de CN, l'outil sera au plus proche de la sortie moteur, contrairement à une toupie où à l'inverse, le montage se fera en extrémité d'arbre. Cela favorise les vibrations et déséquilibrages, et s'il y en a, le risque que l'arbre entre en résonance se rajoute d'autant plus.
Les tolérances d'usinages, de type ou qualité de roulements utilisés dans chaque cas ne sont pas les mêmes nous plus.
😉

par MIBH il y a 1 mois
Medalegno

A la vue de ces nouvelles photos, je confirme ce que je disais précédemment.

1, 2 et maintenant 6 et 7, il s'agit bien d'orme.

Et toujours du châtaigner pour les 3 et 4. Même si du châtaigner récemment coupé est généralement plus clair, celui là, à la vue de ce qui a été passé au rabot, à été stocké très longtemps, et/ou dans un environnement favorisant un brunissement de sa surface.

Pour la 3eme photo, toujours pas mieux. Au peu qu'on puisse en distinguer, ça peut être plein de chose.
😉

Medalegno

"oléopneumatique" !?!?
Sauf modification depuis sa construction, il n'y a que du pneumatique, sur ce type de machine. Pas d'hydraulique (donc d'oléo). Je ne vois d'ailleurs pas quel intérêt ça pourrait avoir.
😉

Medalegno

IIOIIII
En effet, c'est bien ce qu'ils disent, dans la doc.
OK, j'ai dit une bêtise, alors.

Je viens de regarder ce que c'est.
A priori, ça n'est alimenté que par air comprimé, et le vérin hydraulique accompagne le mouvement et permet d'aider et réguler la vitesse d'avance et de retour, je pense. Dans ce cas, il est possible qu'il y ait une molette quelque part sur ce vérin, qui permette une vitesse d'avance plus ou moins grande.
À voir si cette molette n'aurait pas été déréglée.
😉

Medalegno
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Passer dans la pièce, oui. (Encore que, il faut vérifier qu'elle passe l'entrée !)
Mais es-tu conscient qu'il faut pouvoir circuler autour, y manutentionner les pièces que tu veux y passer... et accessoirement, pouvoir faire tes opérations manuelles, y faire le montage, à côté.
Si ton local fait 3m de large, ça ne laisserait que 50cm de passage de chaque côté, et 1m de chaque bout.
Avec 3 x 4m... ton local est aussi un jouet.
😉

Medalegno
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TenonBon

Je me rends pas compte alors peut être

C'est effectivement ce que plusieurs d'entre nous ont tenté avec insistance de te faire comprendre, lors de ta précédente question concernant la petite combinée, pour vous mettre à votre compte à 2.

Ce projet, pas plus que le premier, n'est pas du tout cadré, est totalement irréaliste, et sans aucune connaissance de ce qui est nécessaire pour une activité pro, quelle que soit la spécialité. Tes différentes questions et commentaires en attestent. Tu passes maintenant du projet de faire de la fabrication de cuisine, à faire des "cadres de miroirs et des rouleaux à pâtisserie" !
Si tu t'installes, sauf à être expert d'un domaine et précis (ce que tu ne nous as pas dit que tu étais) et pouvoir rapidement développer un marché de niche rémunérateur, tu seras bien obligé de faire ce qui se présentera à toi, ce que les clients demanderont, si tu veux vivre de ton activité. Ou alors, il te faut des ressources financières conséquentes, derrière, qui te permettent d'exercer ton métier comme un passe-temps sympathique, sans te soucier de la rentabilité de ton entreprise.

Vouloir mettre une telle combinée dans un espace de 3 x 4m, démontre que là encore, tu ne te rends pas compte. Même si, et tant mieux, tu disposes d'un autre local pour tes opérations manuelles et montages. (Mais au total +/-30m², ça reste tout de même très peu, pour une activité pro, en tout de cas, de fabrication)
Avec le guide perpendiculaire d'un coté, et la table de mortaiseuse de l'autre, il risque de ne quasiment rien rester, dans les 3 mètres pour circuler et travailler autour. Pareil pour les opérations de dégauchissage/rabotage ou à la toupie, tu peux à peine passer des pièces de 2m, par rapport aux 4m de la pièce. Etc.

Bref. Relis les conseils que beaucoup t'ont donnés il y a quelques jours, d'aller travailler dans des entreprises installées, pour y parfaire ta formation (qui ne sera que très sommaire et superficielle) et acquérir un peu d'expérience. Tu t'y rendras compte des réalités du métier, des diverses spécialités qui peuvent exister, de ce que c'est d'être pro et de vouloir se placer sur des marchés différents, et de ce qu'il faut réellement pour ça. Et peut-être ensuite, d'envisager un projet d'installation mieux cadré et plus sérieux.

Allez, j'arrête là, en espérant que ça ne soit pas peine perdue que d'essayer de te faire comprendre tout cela.
Bonne continuation !
😉

Medalegno
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C'est vrai que j'ai du relire pour bien comprendre.
En fait, la n°3 n'est que le modèle de la gravure qu'il veut faire... et en contreplaqué.
Rien a voir avec la demande, donc. 😆

Medalegno
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Je ne connais pas cette machine, mais peut-être y a-t-il un bouton moleté ou poignée de serrage, une poignée indexable, quelque part qui viendrait bloquer le système de montée/descente ?

J'ai trouvé une notice ici.
Ils ne parlent effectivement pas de système de blocage... étonnant !
Le réglage en hauteur se fait en mettant un volant en place, mais pas de blocage après avoir effectué le réglage !!!

Ils parlent, par contre, de rattraper le jeu éventuel du système de chaîne entrainant les 4 vis de montée (page 11. Figure 21). C'est peut-être un point à vérifier.

Si le problème persiste, tu peux essayer avec le volant en place, pour voir s'il tourne, durant le rabotage et du fait des vibrations. Et si c'est le cas, trouver un moyen d'en bloquer la rotation.
😉

Medalegno

Quand c'est relativement "frais", oui. Même sec. Et le merisier a une odeur remarquable, oui. Comme beaucoup d'autres bois, d'ailleurs. Et encore plus quand on les travaille.

Par contre, si le bois est vieux, usagé, comme c'est le cas ici, beaucoup perdent cette odeur. Ou en tout cas, elle s'atténue ou se dénature.

À l'opposé, les résineux la conservent très longtemps, par contre. Donc ta proposition concernant le cèdre pourrait être une hypothèse plausible.
😉

Medalegno
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Certains gabarits fonctionnent avec du diamètre 12, d'autres avec du 12,7. La fraise que tu montres présente un même diamètre de coupe et de queue. Il faut donc avoir une défonceuse adaptée, si c'est ce que tu choisis.
Il faut savoir aussi que le profil hélicoïdal de cette fraise n'est pas idéal, pour faire du calibrage ou ce type d'usinage sur du stratifié, car aura tendance à relever le revêtement et donc provoquer des éclats.
😉

Medalegno

Tu as raison, francoisB30, un parfait dressage du chant reste une condition essentielle pour un bon placage de chant, et encore plus avec une machine de type "Zéro joint". Calibrage qui, s'il est bien présent avec un agrégat dédié sur une machine stationnaire, doit se prévoir avec autre chose avec une machine portative.

D'accord aussi concernant le type de chant. Pour l'ABS traité pour ce genre de collage, c'est OK, mais tous les autres chants, bois, placage, stratifié, il faut oublier.
Ça peut être un inconvénient de ce type de machines, contrairement à celles à colle HotMelt.
😉

Medalegno

J'allais te répondre maintenant... mais je me rends compte que je vais être assez long. Pas mal de chose à dire.
Je te ferai ça dès que je serai un peu plus disponible...
A suivre, donc.
😉

Medalegno
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La suite, comme promis, RaphaelMagnier

Il y a très longtemps, discutant de plaqueuses de chants (stationnaires, à l'époque) j'avais retenu l'expression de quelqu'un qui disait que les plaqueuses de chants étaient des "machines à chagrin". À savoir qu'elles causaient beaucoup de soucis, dans les ateliers en disposant.

Aujourd'hui, et je parle toujours de grosses plaqueuses, si les choses se sont tout de même améliorées, fiabilisées, ça peut tout de même vite partir en sucette, si mal entretenu, si à l'apparition d'un problème, on n'analyse pas correctement d'où cela vient, et qu'on n'agit pas au bon endroit, pour y remédier. Un mauvais réglage ou dysfonctionnement dans un des premiers agrégats, pouvant se répercuter et provoquer un défaut au niveau d'agrégats suivants. Il est donc parfois difficile de discerner la cause initiale d'un défaut qu'on ne voit qu'à la sortie de la machine.
Ce sont des machines qui nécessitent d'être hyper rigoureux pour les réglages, l'entretien et les éventuelles réparations.
Ces machines restent d'autant plus des machines "à chagrin" et à problèmes, si dans un atelier important, plusieurs personnes s'y succèdent, comptant sur le suivant pour résoudre un éventuel problème ou procéder à l'entretien. Elles posent moins de problème si une seule personne s'en occupe ou si on travaille seul et qu'on est très attentif et rigoureux sur tous ces aspects.

Dans une moindre mesure, puisqu'une plaqueuse portative ne correspond qu'au seul agrégat de collage d'une grosse machine stationnaire, on retrouve ces mêmes points délicats à maîtriser.

Tenant compte de ce contexte, je n'ai pas été plus déçu que ça de mon choix pour la Virutex, sachant tout de même que nous ne l'utilisions que pour des chants courbes, donc pas à très haute intensité (par rapport à quelqu'un qui y ferait aussi tous ses chants droits).
(Je précise ici, étant passé à mon ancienne entreprise hier après midi,(je suis en retraite depuis presque 1 an), la référence de la Virutex que j'avais alors achetée en 2023 est bien la PEB250, et non PEB200+ qui était une version plus ancienne)

La Festool est prétendument plus facile à maîtriser, du fait qu'elle soit équipée de divers systèmes électroniques, capteur, sondes en contrôlant le fonctionnement. C'est du moins l'argumentaire de Festool.
Sauf qu'aux dires de vendeurs et d'utilisateurs que j'avais consultés lors de ma recherche, ce sont tous ces composants qui peuvent susciter des pannes et provoquer des indisponibilités, exiger des réparations coûteuses en temps d'immobilisation, transports, pièces et réparations elles-mêmes. Réparations qu'il est impossible de faire soi-même, puisqu'il s'agit d'électronique... et puisque c'est Festool !

Bref, je ne peux pas donner un avis définitif sur le meilleur choix qui doit être le tien entre les différents modèles et marques, mais je te livre juste quelques éléments que j'ai, et qu'il me semble important de te transmettre pour alimenter ton analyse.

Effectivement, une machine à colle HotMelt ou thermofusible sera plus polyvalente, si tu es amené à plaquer autre chose que de l'ABS. Comme dit aussi plus haut, si tu te fournis chez un des spécialistes en chants ABS, cela nécessite un délai supplémentaire, pour traiter le chant de façon adaptée à l'air chaud, les chants étant préparés à la demande, suivant le mode de collage. Ainsi que le coût qui va avec, bien sûr.

À savoir aussi, plusieurs constructeurs proposent une table, pour y intégrer la machine portative.
Pour l'avoir vu chez un confrère, j'avais trouvé ça très pratique pour faire des quantités de panneaux, l'aspect portatif n'ayant tout son intérêt que pour faire des chants cintrés ou droits, sur des grands formats de panneaux, quand il est alors plus facile et moins lourd de porter et manipuler la machine par rapport au panneau, que l'inverse.

Bonne réflexion

Medalegno

RaphaelMagnier
Oui, de plus en plus de négociants sont en mesure de faire débits, placages de chants et même usinages, aujourd'hui. Certains menuisiers optent pour ces solutions, si leur activité est trop diversifiée pour investir dans chaque domaine spécialisé et ne peu utiliser que chaque équipement.

Il y a aussi, quelques négociants ou gros quincailler (comme Foussier ici) qui proposent la pré-fabrication complète de caissons sur mesure. Il en reste plus qu'à assembler !

Dans mon ancienne entreprise, nous avions plusieurs clients artisans menuisiers qui nous sous-traitaient tout ou partie de leurs fabrications, en agencement principalement, ou menuiserie bois, parfois. Soit parce que leur activité se concentre sur la pose, ou qu'elle est déjà variée, ou alors en attendant de pouvoir se développer et investir.
Les solutions peuvent être multiples... et le bon choix parfois difficile.
😉

par BeauLeRabot il y a 1 mois
Medalegno
Je suis d'accord

Même avis !

Medalegno
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Quand je parlais de "visiter" entre guillemets, c'est bien d'y travailler, qu'il faut comprendre. Afin d'y acquérir de l'expérience, et mieux évaluer les nécessités pour vous mettre à votre compte dans de bonnes conditions.

J'étais resté soft, dans mon premier commentaire, je vais être plus direct... mais c'est clairement pour votre bien.
Je le pensais déjà, à la lecture de ta question puis de tes réponses à d'autres intervenants. Mais la précision que tu apportes concernant les dimensions de votre local le confirme encore.
Ce projet, dans de telles conditions, avec une telle machine, dans un si petit local, tout cela pour faire des caissons de cuisine, c'est clairement pas réaliste. Quelqu'un d'autre le disait aussi, mais même le fait que tu poses ici la question de l'intérêt de cette machine, pour ce projet d'installation, démontre aussi que vous n'êtes clairement pas prêt, que vous vous ne vous rendez même pas compte de ce que c'est que de fabriquer des caissons de cuisine, et de ce qui est nécessaire pour ça.

Apprenez, découvrez, renforcez vos expériences professionnelles, avant d'envisager plus sérieusement votre projet.
😉

Medalegno
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L'appellation Noyer "US" (par lequel il est qualifié dans le titre de la question) est réservée au bois venant des USA, qui sont importés sous forme d'avivés. Dixit un ancien dirigeant de Peltier Bois, ainsi que le fondateur de Essarbois.

Si on parle de noyer américain, ou d'Amérique, ou noyer noir (ou nigra), il peut effectivement venir d'autres contrées, y compris euro ou Fr.

Audoiretom, ta question pour savoir ce qu'ils vendent et à qui, c'est à ces vendeurs, qu'il faut la poser
😉