
normandie Nous avons des collets d'1/4 de pouce aussi, sur le "vieux continent" même si plus couramment, on travaille avec du 6mm. Parfois, les affleureuses sont même vendues avec les 2 collets.

Roland13480
De toute façon, la vitesse n'est pas réglable, sur cette machine, il me semble.
Donc si tu montes une lame d'un plus faible diamètre, oui, tu perdras en vitesse tangentielle (ou vitesse de coupe), et en conséquence, peut-être en rapidité et en qualité. Mais ça s'arrête là.
Si tu as des lames à employer qui te restent, c'est l'occasion !
EDIT :
En cherchant des infos sur cette machine, je trouve ça (sur le B. C.)
Tu n'as pas une telle plaque, sur la tienne ?

Tu as vérifié qu'il s'agissait bien de bois massif, en structure ?
(Vérifier, dans des perçages ou entailles de quincaillerie... ou alors, gratter de façon plus insistante une partie non vue, pour vérifier ce qu'il y a dessous)
J'avais eu à modifier des portes Ikéa en dimensions, il y a quelques années, à la demande d'un client. Et l'intérieur, ça n'était pas du bois massif, mais du MDF. Avec un film assez épais, en revêtement, englobant les chants et les moulures. Le film présentait même un aspect "pore-ouverts" faisant penser à du frêne ou chêne.
Ils ont parfois quelques meubles en massif, je crois, mais à vérifier la qualité, en dessous. Si c'est caché de la sorte, par sûr que ça soit très qualitatif.
Sinon, la solution peinture peut aussi de permettre de faire des cadres, des chants, etc, d'une autre couleur.

Les charnières de type Tectus ou Kubika ou similaire, c'est parfait pour des portes intérieures, stables en dimensions, pas exposées aux intempéries, variations de température, exposition au soleil, etc. Elles permettent des jeux réguliers et précis, ainsi que des réglages dans tous les sens, mais qui risquent d'être vite déréglés, pour une porte extérieure.
De plus, elles devraient s'encastrer et se visser à cheval sur ton cadre et le bardage, donc pas forcément la solution la plus fiable dans le temps.

6LV1
Ah mais, que certains modèles, et effectivement ceux en inox soient adaptés à un usage extérieur, tout au moins en termes de durabilité, je suis d'accord. Aucun risque que ça rouille.
Mais ici, si la structure chêne est habillée de clins, il risque d'y avoir quelques variations.
Et comme je disais, elle sera à entailler à cheval sur les deux bois. Donc il resterait peu d'épaisseur de sapin, et le risque de tomber dans les rainures languettes.

C'est où "Bretagne nord" ?
C'est pas le Pôle Nord, tout de même!
Quand on a régulièrement du volume de collage, dans un trop grand atelier difficile ou impossible à chauffer, c'est pas mal d'avoir un local fermé/isolé et si besoin chauffé, dédié à ça. C'est que j'ai eu (ou j'ai vu) dans des entreprises où je suis passé.
Sinon, la colle PU est dans le cas de basses températures, une solution, oui.
Par contre, quels collages veux tu renforcer par des tourillons ?
S'il s'agit d'assemblages (et encore, mieux vaut faire des tenons/mortaises, dans la majorité des cas, en tout cas pour de l'escalier), pourquoi pas.
Par contre, s'il s'agit de renforcer des collages de marches, par exemple, ça n'a aucun intérêt. Le collage sera plus résistant que le bois lui-même, si bien réalisé et parfaitement jointif.
Dans tous ces collages de marches, plateaux et autres panneaux massifs, les divers assemblages, rainure/languette, entures multiples, lamello, tourillons ou dominos, n'apportent rien de plus qu'une facilité, au moment du serrage pour guider et bien faire affleurer les différentes pièces. Rien d'autre.
Par contre, un système d'enture autobloquante peut avoir un intérêt. Car il permet de juste serrer rapidement après collage, puis de récupérer les serre-joints immédiatement (si on en a pas assez, notamment)

OK, oui, ça pourrait donc être la solution.
Edouard33 te donne une procédure, pour le régler. Il semble donc qu'il y ait des perçages oblongs, pour fixer la plaque verticale arrière, et que ça soit là-dessus qu'il faille agir.
*/!\* Par contre, lors de tes essais après réglage, remonter la lame, mais ne la faire tourner qu'à la main, pour vérifier ce qui se passe. Et surtout, ne la mettre en marche avec le moteur, que quand tu seras sûr de ton réglage */!\*
Pour la cause du problème, si c'est une machine d'occasion, qui a donc été transportée, peut-être cela vient d'une manutention ou d'un transport, la machine ayant été soulevée ou arrimée par un organe sensible (volant, poulie arrière, etc...).

Ah oui ! 10mm, c'est peu, et ça ne permet aucun encastrement.
Dans ce cas, pour des charnières invisibles ou d'abattant, il faut rajouter une surépaisseur, sur l'abattant comme sur la partie fixe.

Ah oui, exact, je n'avais pas pensé à ces quincailleries..
Il faudrait juste vérifier que dans du CP, elles accrochent suffisamment bien, dans 6mm de profondeur.
Des charnières invisibles sont techniquement utilisables, pour un abattant, mais ça n'est pas ce qu'il y a de moins encombrant, ni le plus esthétique.
Et il faut vérifier que ça corresponde, pour les affleurages souhaités, en position ouverte et fermée.
Sinon, une question à laquelle je n'avais pas pensé, Cageotdeluxe : Quelle est l'épaisseur de ton panneau horizontal, sur lequel de fixe l'abattant ? 10mm aussi ???

Cageotdeluxe Non, pas possible d'inverser les sens des charnières, ça ne fonctionnerait plus.
Pour utiliser ce type de charnière, il te faudra épaissir, au moins partiellement ta façade de 10mm, les perçages ayant une profondeur de 12.
Même idée pour la partie fixe, pour pouvoir l'adapter à une configuration de façade encastrée, il te faudra rajouter une épaisseur, soit sur une largeur, soit sur toute la surface.

Cageotdeluxe
Ah oui ! Vu la vidéo.
En effet, c'est possible d'inverser, mais dans ce cas, la charnière reste visible, une fois fermé. C'est moche !
Enfin, à mon goût, mais si ça ne te dérange pas

Avec un panneau plein, ces charnières de type Kubika, Tectus ou similaires seraient idéales, effectivement.
Sauf qu'ici, la porte reçoit un panneau support de 9 + des baguettes de 12. L'entaille des charnières invisibles de ce type, se trouverait donc à cheval sur les 3 matériaux, empêchant une fixation suffisamment solide.
Une partie de la charnière resterait visible, dans le joint creux.
De plus, du fait de largeur de baguettes de 27mm, certains défonçages d'encastrement risquent de déboucher dans les intervalles.

Tout-à fait d'accord avec ce que tu dis sur cette tendance actuelle, à vouloir faire des meubles "imitation panneaux", à partir de massif.
Beaucoup ignorent ou oublient l'historique de l'évolution des matériaux, le pourquoi et le comment de ce qui a mené à certaines solutions.
Comme cet autre sujet actuel sur la réalisation de claustras en tasseau chêne... qui seront délignés non pas dans du massif, mais dans du lamellé collé...puisque celui-ci travaille moins !

Le lamellé collé à pour intérêt, lorsque constituant un panneau ou une certaine largeur, d'être constitué de plusieurs pièces collées entre elles, qui ainsi s'empêchent les unes, les autres de travailler... ou en tout cas, en réduisent la possibilité.
Mais en délignant des tasseaux dans un tel panneau, tu perdra cet intérêt. Tu auras de nouveau, de simples tasseaux massifs. Tu auras dans de nombreux cas des joints longitudinaux au milieu de tes tasseaux, dont on se demandera ça qu'ils font là. Dans d'autres tu auras des aboutages tout aussi disgracieux, mais qui en plus rendront fragiles, les tasseaux.

Il en existe, mais pour ce que j'ai chez moi, j'avais modifié moi-même. (Coupé, plié, soudé, y compris un écoinçon métallique en renfort).
Je ne me souviens plus, mais possible que j'en avais cherché, à l'époque, sans en trouver d'adaptées (ben oui... ça doit dater d'avant l'ère d'internet )
Puis j'en ai réalisé d'autres, par la suite, mais la méthode fonctionnant bien et me permettant d'avoir exactement ce que je voulais, je n'ai pas cherché non plus

c'est en effet une possibilité, mais moins polyvalente qu'une lamello.
Pour ce qui serait de renforcer des assemblages, tout dépend desquels on parle. Dans le cas d'assembler ces largeurs de 200, 2 par 2, des lamellos, tourillons, ou tout autre système d'enture, n'ont pour seule utilité que d'aligner, de faire affleurer les 2 pièces, et ainsi de faciliter et rendre plus rapide le collage.
La tenue de l'assemblage, ensuite, c'est un bon collage qui l'assure.
Pour assembler les tablettes et montant, ici, des lamello sont parfaitement adaptés aussi. Je n'ai jamais encore vu de tels assemblages casser ou prendre du jeu, s'il sont bien réalisés et collé.
Par contre, pour assembler certains cadres massif, ça peut, dans certains cas remplacer un tenon/mortaise, ou Domino. Là oui.

Arrrhhh, et bien en lisant 27mm, je m'en doutais un tout petit peu. Je le voyais venir !
Ça n'est normalement pas destiné à être utilisé en l'état. C'est destiné à être corroyé (raboté, si tu préfères).
Maintenant, ça peut aussi être un parti pris, d'avoir un aspect "planches sciées".
Par contre, pour l'aspect déformation que j'évoquais aussi dans ma première réponse, ça tient aussi. Et encore plus, si c'est stocké à l'extérieur, comme le montre le site. Car là, ça n'est certainement adapté à du mobilier. En tout cas pas sans passer sans une phase séchage, au préalable.

Il s'agit, dans ce que propose ce vendeur, d'avivés, donc tout venant. Uniquement en largeur 200, donc dans lesquelles on trouvera de tout, débité comme ça vient, dosse, quartier, nœuds, fentes... et défauts compris. Qui ne sera qu'à minima expurgé du cœur. Ce bois ne sera au mieux que sec à l'air. En Chêne, certes, mais qui n'est pas du bois de choix "menuiserie" et encore moins "ébénisterie".
Ce vendeur le présente comme bois pour des aménagements extérieur, ce qui paraît adapté, mais aussi pour de l'intérieur. Pour le coup, ça nécessiterait tout de même quelques avertissements, sur ce dernier usage.
Pour qui en est conscient, qui sait apporter une finition sympa mettant en valeur cet aspect "brut de sciage", et qui sait que son bois va travailler, et l'anticiper, pourquoi pas.
Mais pour un aspect plus classique en mobilier, à savoir raboté, poncé, parfaitement plan et lisse, recevant une belle finition, et qui ne bouge pas dans le temps, on en est loin.
Erebor Le raboter imposerait dans de telles planches, qui sont certainement loin d'être droites en l'état, d'enlever une quantité de bois conséquente. Ce qui ne l'empêcherait pas pour autant de travailler par la suite.
Désolé, kevinl de "casser" ton idée. Mais te lancer dans cette bibliothèque avec ce bois, je ne peux pas ne pas t'alerter !
Tu peux peut-être aller faire un tour, chez ce vendeur, pour te rendre compte, comme le propose Bingo. Éventuellement en ramener quelques planches, pour un petit ouvrage, sur lequel tu pourrais te rendre compte de ce que c'est comme bois, de voir comment il se comporte et évolue dans le temps, de te faire la main, évaluer tes capacités, voir si tu as besoin avoir un peu plus de matériel...
Mais te lancer dans ce qui est tout de même un gros projet, pour débuter, et dans de si mauvaises conditions, tu risques fort d'être déçu, si pas découragé avant la fin.
Peut-être commencer par un projet avec un matériau plus directement utilisable et maîtrisable, du panneau, par exemple (quel qu'il soit).
Bonne continuation, malgré tout !
normandie

Ouch, en effet "ILS" le vendent !
Comme quoi, j'avais tort, en disant qu'il ne le trouverait nulle part. Les chinois, eux, le fabriquent et le vendent sans que ça ne leur pose de problème
Les cotes sont bien en millimètres.
Mais la queue faisant 6,35, l'arbre ne fait au plus que 8, semble t-il. Et donc le fer ferait quelque chose comme 2mm ?
Le système de guidage, une simple bague solidaire de l'ensemble (donc qui risque de marquer ou brûler) n'offre quasiment rien, comme appui pour le guidage !?!?
Pas bien rassurant, tout ça.
Je préfère encore l'autre système vu sur le même compte. Avec un système de doigt de guidage, en dessous, et un "arceau" qui permet de tenir la machine, mais aussi d'en contrôler l'inclinaison.