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15 commentaires
Michel76

J'ai contacté leur service client par mail à de nombreuses reprises. Au début ils m'ont renvoyé certains numéros et puis ils ont lâché l'affaire en m'écrivant de me débrouiller avec la poste française. Dommage car j'adore ce journal (bien qu'au fil des années, certains articles deviennent un peu récurrents). Merci pour ta réponse. Si j'ai d'autres réponses dans le même sens, je me fendrai d'un petit mail bien méchant (ah, ah!) au service client.

Michel76

Merci pour ta réponse, mais c'est une solution que je n'envisage pas. Les scies plongeante sont parfaites pour de l'agencement mais sont beaucoup moins polyvalentes.

Michel76

constibat
Du délignage de plateau par exemple, où l'utilisation du rail n'est pas possible (plateau pas plan, ou longueur à déligner supérieure à celle du rail). J'ai rarement utilisé de plongeante, mais c'est ce que j'ai retenu des nombreux posts trouvés sur le site.

Michel76

mofran @
Je suis d'accord. L'idéal serait d'avoir les deux. Finalement, je vais peut être conserver ma vieille circulaire SKIL pour le débit et investir dans une plongeante pour les panneaux.
Merci à tous pour vos avis.

Michel76

Erebor oui, c'est sûr qu'on peut utiliser une plongeante sans rail, mais on peut aussi utiliser une circulaire classique avec un rail, ce qui était ma première intention compte tenu du prix d'une plongeante de qualité.

Michel76

dBPs Merci pour cette précision. C'est un module que tu branche entre la scie et l'alimentation électrique j'imagine. Ça fait pas trop bricolage ?

Michel76

Je pense que le démarrage progressif va de paire avec une électronique performante qui permet l'arrêt de la lame en cas de rejet, mais je n'arrive pas à trouver de confirmation dans ce sens.
Par ailleurs, je n'ai pas eu de retour sur les Bosch GKS 65 GCE ou GKS 55 GCE et l'équivalent chez Makita, la 5008 MGJX, ce qui était le cœur de ma question... Personne n'aurait utilisé ces machines ?

Michel76

Merci pour les réponses. J'ai appelé directement Osmo. Un bon point pour sa réactivité, j'ai été rappelé dans la journée et on m'a envoyé les précos et la fiche technique du Top Oil. Je vais faire un essai.
A priori, pour une bonne protection, il ne faut pas lésiner sur la quantité, et il faut passer 2 couches au rouleau.
Je pense qu'ensuite il est nécessaire d'entretenir régulièrement avec une huile d'entretien.
Connaissez vous cet adage pour les finitions à l'huile : "une fois par semaine pendant un mois, puis une fois par mois pendant un an, et ensuite une fois par an".
La fiche technique confirme bien le côté "food safe".
Fiche technique disponible en suivant ce lien osmo.fr/finiti...en-bois/topoil/

Michel76

Voilà mon retour après quelques mois d'utilisation.
Plan de travail de cuisine en hêtre fini avec 2 couches de OSMO Top Oil Natural. Application en 2 couches généreuses au rouleau comme conseillé par OSMO.
Après 5 mois d'utilisation, aucune traces ou auréoles.

Michel76

Je n'ai pas eu besoin d'essuyer, le bois à pompé toute l'huile. Malheureusement j'avais juste assez de produit pour les 2 couches, sinon j'aurais tenté une 3ème couché légère au chiffon pour être sûr d'avoir complètement saturé le bois. Et, j'oubliais :
Pas d'utilisation pendant les premières 24 h et ensuite essuyer systématiquement les traces d'eau et salissures pendant les 15 premiers jours, le temps que la finition durcisse.
Je pense qu'une couche d'huile d'entretien sera ensuite nécessaire de temps en temps.
Après plusieurs mois d'utilisation je suis pleinement satisfait.

Michel76
( Modifié )

Merci valoumazmaz ! J'ai déjà eu des expériences satisfaisantes avec Osmo Hardwax Oil (3032) + Osmo Huile d'entretien (3081).
Je pense que je vais quand même tenter ma chance avec le Top Oil qui est "food safe".
J'ai eu des précos en appelant directement Osmo. Je ferai un nouveau post avec les résultats.

Michel76

valoumazmaz Selon Osmo, le bois doit pomper toute l'huile. Je serai quand même vigilant, particulièrement avec le 2ème couche. Je préfère essuyer un peu trop tôt, quitte à remettre une couche au chiffon plus tard. J'ai eu quelques mauvaises expériences au début de mes finitions à l'huile, avec un surplus d'huile qui restait en surface et qui devenait poisseux et difficile à retirer.
Depuis j'avais opté pour des couches successives assez nombreuses au chiffon, ce qui permet d'en mettre beaucoup moins à chaque couche. On va voir ce que ça donne au rouleau.

Michel76

Cela est peut-être à nuancer un peu. Pourquoi n'aurait on pas droit à une 2ème chance quand on est ingénieur ? Que l' on commence par un CAP et qu'on reprenne ses études ensuite , ou que l'on commence par un diplôme d'ingénieur et qu'on finisse par un CAP, cela aura coûté la même chose à l'état. Et puis quand on a un bon salaire, on paie aussi beaucoup d'impôts, alors l'état s'y retrouve aussi, n'est-ce pas ?

Michel76

Kentaro Je pense que c'est important la nuance. Se reconvertir, ce n'est pas vouloir "devenir pauvre" c'est vouloir faire un métier que l'on aime.
Et être menuisier, ce n'est pas être dans la merde.
J'ai vu des collègues partir en burn out et coûter à l'état bien plus qu'un an de formation...

Michel76

Kentaro Encore une fois, je nuance. J'ai commencé comme technicien pour finir avec un boulot d'ingénieur quelques années plus tard. Je n'ai jamais atteint 50 k€ par an ni changé 2 voitures tous les 3 ans, et je n'aurais jamais pu partir à l'autre bout du monde 2 fois par an. C'était la même chose pour la plupart de mes collègues.
Quant à "se permettre un burn out", il faut ne jamais avoir été confronté au problème pour en parler en ces termes.
Mais je ne veux pas polémiquer, et je te laisse à tes certitudes.