
Effectivement, ça permet de faire des trucs chouettes. Et il faut voir les yeux de la famille quand on commence à creuser dans le parquet

Nicoel oui. Il faut juste le faire dans l'autre sens. On fait la pièce et on creuse ensuite. Soit ça rentre tout de suite, soit on ajoute un petit dixième, etc.

Très mignon. Avec une bonne construction comme ça, c'est un jouet qui devrait durer des générations !

Boris Beaulant Petite remarque en passant : la spirale que tu tournes à la main me parait montée à l'envers. On s'attendrait à la rotation inverse à partir de sa forme... L'autre tourne dans le bon sens.
Tu peux tourner la première dans l'autre sens, mais alors c'est la seconde qui sera inversée.
Esthétiquement aussi, je pense que ça aurait été mieux en retournant l'une des deux spirales.
Ca n'enlève rien à ta réalisation

Oui, elles tournent forcément dans le sens opposé, mais en en retournant une des deux, elles auraient pu toutes les deux avoir l'extrémité extérieure "traînante", comme là : voir youtube.com/sh...?feature=shared. Bref, ça n'est pas très important (c'est sûrement plutôt une affaire de sensibilité personnelle), sauf si Anaelle a déjà une âme de physicienne (c'est un bon test !)
C'est vrai que je n'avais pas pensé au deuxième point

J'ai celui de Bordet également pour cet usage : complément des autres modes d'aspiration, et pour avoir l'esprit un peu plus tranquille (les filtres s'encrassent, donc effectivement, ils servent à quelque chose). En particulier, quand je suis contraint de couper à la scie à format sans la cape d'aspiration, il y a beaucoup de poussière rejetée...
Ceci étant dit, ce modèle me semble sous-dimensionné pour 60 m2. A vérifier.

Perso, j'ai fait ça dans les 25 m2 où j'ai les mes machines stationnaires (sur les 4 murs + plafond), et j'ai beaucoup gagné en phonique à l'intérieur de l'atelier (moins de "rebond" du son).
J'ai mis 4cm de fibre de bois.

Salut Mike0411. Malheureusement, je n'ai pas fait de mesures, et je ne m'étais même jamais mis à l'extérieur pour voir ce que ça donnait... donc, je ne peux pas dire.
Mais sur ce volet-là aussi, je pense quand même que ça à (significativement) améliorer les choses. Avant, ça raisonnait à mort (entre 3 murs en béton + une porte de garage), alors que maintenant c'est largement supportable (avec l'équipement adéquat). Je pense que ça s'en ressent aussi sur le bruit émis à l'extérieur...
Il y avait justement eu une discussion ici sur le rôle de l'isolation des murs sur la réverbération acoustique. j'avais lu qu'il fallait une paroi la plus lourde possible avec de la laine derrière, peu importe le type.

Non, la courbure, c'est la dérivée seconde (la variation de la pente). C'est l'inverse du rayon du cercle osculateur.
Grande courbure = petit rayon de courbure.

Oui, ça m'a l'air d'être la même chose (et les résultats sont cohérents). L'avantage de ce document est qu'il est formulé directement pour le problème posé...
Il traite les points 1 et 2, qui à mon avis sont les briques essentielles, et la suite découle mieux que ce que j'ai décris ci-dessus.
Je me baserais donc sur ce document.
Il te faudra quand même une mesure d'erreur pour savoir combien de points utiliser.
(Par contre, à relire, le cas d'un arc d'ellipse est un peu plus compliqué que ce qu'il explique, car la courbure ne varie pas forcément de façon monotone. Je pense que la solution au point 2 se rapproche alors de ce que j'ai décris ailleurs).
PS. Je t'aiderais bien avec des formules ou du pseudocode, mais je ne suis vraiment pas dispo ces jours-ci.

Je repars de ce commentaire : lairdubois.fr/...entaires/368855. C'est en fait l'expression inverse (le rayon de courbure) qu'il faut utiliser.
Pour découper ton arc d'ellipse en segments de longueur variant en fonction du rayon de courbure (arcs plus petits là où le rayon de courbure est plus petit), et le faire de manière exacte, c'est-à-dire en pouvant obtenir ces arcs directement à partir de leur nombre sans avoir à appliquer de corrections a posteriori, voici la démarche en pratique :
Calculer et tabuler le rayon de courbure le long de l'arc d'ellipse. Tu le découpes par exemple en 100 pas angulaires, et tu enregistres tout ça dans deux tableaux (un pour l'angle et un pour le rayon de courbure). Tu as donc accès à la valeur de la courbure en tout point (via des interpolations entre les points).
Calculer l'intégrale du rayon de courbure le long du profil. Pour ça, tu crées un autre tableau (rayon de courbure intégré). Les angles sont les mêmes que précédemment. L'intégrale du rayon de courbure est obtenue en copiant le tableau "rayons de courbure", puis en faisant simplement un "for (i = 1; i < N; i++) c[i + 1] += c[i];" (pour une indexation 0). En d'autres termes, pour chaque entrée du tableau (excepté la première), tu ajoutes la valeur de l'entrée précédente (dans le sens ascendant, pour un effet cumulatif). Tu peux ensuite normaliser les valeurs par rapport à la dernière : le tableau contient alors des valeurs qui varient entre 0 et 1.
(en fait, ça démarre à un peu plus que 0)Il faudra utiliser la fonction inverse. Donc, conceptuellement, tu considères alors le second tableau (les rayons intégrés) comme ton axe des x et le premier (l'angle) comme l'axe des y.
Supposons que tu veuilles 11 points le long de l'arc (en comptant les points aux extrémités). Comment faire ?
Tu considères les valeurs 0, 0.1, 0.2, ..., 0.9, 1 (tu peux aussi omettre 0 et 1, qui correspondent aux extrémités de l'arc d'ellipse). Tu recherches la case correspondante dans le tableau "rayons intégrés" et tu lis la valeur dans la même case du tableau "angle".
(Pour peaufiner, plutôt que de prendre la valeur de la case, une interpolation (linéaire) serait bienvenue...)

Et il n'y a pas forcément de point sur les extremums. Il faudrait presque toujours faire les calcul sur l'ellipse complète et extraire les points contenus sur l'arc...
Il faut construire les tableaux (initiaux) sur l'arc d'ellipse et non sur l'ellipse complète.
Tu connais les points aux extrêmes. Pour n points intermédiaires, tu considères les valeurs i/(n+1), i variant de 1 à n. Cela te donne une distribution adéquate de points sur l'arc.
(Les extrêmes correspondent à i=0 et n+1, mais tu connais déjà les positions...)
Mais dans cette façon de faire, il va y avoir un nombre fixe de points quelque soit la longueur de l'arc.
Savoir combien il faut de points est un autre problème (mathématique). Cela dépend de la manière dont tu définis les arcs de cercle et l'erreur que tu acceptes sur l'approximation de l'arc d'ellipse en arcs de cercle.
EDIT Au sujet du nombre de points, tu peux aussi (peut-être) l'estimer en fonction des valeurs du rayon de courbure le long de l'arc. Suppose que tu appliques cela à un cercle. Le rayon de courbure sera toujours la même et donc n=0... (Par contre, c'est bien un problème différent de celui de savoir comment positionner les points.)

Effectivement, ça n'est pas une contrainte prise en compte.
Dans ce cas, il faut discrétiser l'ellipse entière avec un nombre de points multiple de 4, prendre la discrétisation sur l'arc donné et ajouter les points aux extrémité de l'arc.
PS. (Juste pour info) Sais-tu "détecter" les formes complémentaires ?

OK, merci.
Donc, selon la méthode ci-dessus et avec un nombre de points multiple de 4, les points seront distribués proportionnellement au rayon de courbure le long de l'arc, sauf au début et à la fin, où il seront plus courts, et il y aura des points aux extremums.
A traiter les objets indépendamment, je pense qu'on ne peut pas faire mieux pour respecter la contrainte de complémentarité.
PS. Je vois qu'il y a un petit écart sur les extremums le cas à 36 points sur ton image ci-dessus, ce qui ne devrait pas être le cas. Il doit y avoir une imperfection quelque part...

Boris Beaulant C'est une histoire de discrétisation, d'intégration et d'interpolation, le diable étant dans les détails... Je pourrai te regarder ça sous quelques jours si tu veux.

Boris Beaulant Effectivement, j'y pensais aussi.
Sinon, il faudrait faire attention à l'intégration, etc., ou alors essayer d'intégrer analytiquement, ce qui réglerait le problème aussi.
Mais la solution 1 est la plus simple.

Oui, ensuite il y a le choix pour la construction des arcs de cercle, et la méthode à 3 points semble appropriée. Il est certainement suboptimal de choisir le point central, car cela ne minimise pas forcément l'écart entre l'arc d'ellipse et l'arc de cercle, mais je ne sais pas s'il est facilement envisageable de faire mieux, et on serait vraiment dans le raffinement du raffinement...

Il me semble très important que les arcs de cercles soient tangents entre eux, au risque de voir apparaitre des bourrelets ou des ondulations. (les amateurs de CAO auront en tête le zébrage discontinu des surfaces)
Autrement dit, que le point de connexion entre deux arcs soit alignés avec les centre des ces mêmes arcs.
Je pense que c'était la suggestion de benjams et que ça n'est pas possible... Voir la discussion ici.
Sur ton dessin, les deux extrémités d'un arc (qui sont contraints d'appartenir à l'ellipse) sont probablement à une distance différente du "centre".

David Marmilloud Sur ton schéma, le premier arc est tangent à l'ellipse à l'intersection avec l'axe des abscisses (par construction), mais (étant donné les discussions précédentes) je pense qu'il ne l'est pas en son autre extrémité : on peut choisir le rayon du cercle pour intersecter l'ellipse où on veut, mais l'ellipse et le cercle ne sont pas tangents en cette intersection.
Dès lors, ça ne fonctionne plus...

Boris Beaulant Ca, c'est possible (voir ci-dessous). Le problème est que tout se superpose sur l'image de David Marmilloud.
David Marmilloud On voir bien sur l'image ci-dessous que la tangente n'est pas la même au second point d'intersection (pour illustrer mon propos ci-dessus). Si le rayon du cercle est tel que le cercle est intérieur à l'ellipse, il n'y a pas de seconde intersection, mais dès lors que le cercle est (en partie) extérieur, il n'intersecte pas l'ellipse avec la même tangente...

Je ne comprends pas tout à la représentation graphique, mais lorsque l'ellipse est très aplatie, le centre du cercle approchant part à l'infini, d'où les NaN. Ca doit se voir dans les équations (avec un dénominateur qui s'annule, probablement ?).
Peut-être faudrait-il un test quelque part pour approximer par un segment de droite plutôt qu'un cercle dans ce cas-là ? (même avec une autre définition d'arc de cercle, le problème restera sûrement le même...)
A partir du rapport entre la longueur de l'arc et le rayon de courbure, tu peux choisir entre un segment de droite et un arc de cercle.

L'intérêt est d'avoir un nombre d'objets limités. Il faudrait avoir un nombre de segments supérieur d'un facteur 10 ou 100 au nombre d'arcs de cercle pour atteindre le même niveau d'approximation (en terme de distance à l'ellipse), et la courbure des arcs de cercle est intéressante à avoir...

Jean-Claude Di Fazio Oui, idée à abandonner ici je pense...
J'ajouterai que c'est beaucoup plus agréable à travailler que la laine de verre !