
L'huile de tung pue pendant quelques semaines mais pas le rance, une odeur forte mais c'est… différent (pas meilleur ) d'ailleurs elle n'est pas sensée rancir justement mais polymériser… (ou du moins "gélifier" dans son contenant au bout de xx années)
Tu est sûr que c'était de la tung pure et pas un mélange ?

J'ai le même Stanley et j'en suis déçu pour le prix par rapport au Fisher-Darex à 3€ que j'avais avant (moins de contraste et chiffres plus petits, corps moins robuste, "crochet" bien moins robuste)
En plus il est en métrique mais gravé sur la tranche il y a la longueur du corps à ajouter à la mesure mais en ... inches

Tout dépend des dimensions, mais ça commence à… 19€ ( dealabs.com/se...charges+lourdes )
Donc t'es jamais rentable du moment que tu dois payer ta matière première… mais là n'est pas le principal.
Pour les dimensions, il peut être intéressant de respecter les EuroNormes pour pouvoir y glisser des bacs de rangements standards de ce type : multiroir.com/...euro-norme.html

etiennedesthuilliers
Pourquoi ne pas vouloir chercher à comprendre ?
Rester dans l'ignorance..?

Et bien déjà préciser que cela fonctionnait à l'huile, c'est un bon début.
Il lui manquait peut-être la notion de tension superficielle pour comprendre le phénomène, du coup il vient d'apprendre qque chose et va peut-être pouvoir chercher un peu plus d'infos là-dessus :)
Il n'est d'ailleurs pas dit qu'à l'eau ça fonctionne aussi bien, ni selon l'abrasif utilisé, ou encore sa granulométrie…
On aurait aussi pu s'imaginer faire adhérer l'abrasif aux rouleaux, par exemple à l'aide de résine, de poix ou de colophane (j'ai vu faire la même chose en industrie avec du corindon fixé sur des rouleaux à la résine)
Bref, rien ne lui permettait de deviner exactement ce qu'il en était, d'où la pertinence de sa question : on peut admettre qu'une chose fonctionne mais avoir très envie de satisfaire sa curiosité sur le "comment ça marche ?" , personnellement je trouve ça très sain, c'est exactement ça qui enrichit et permet parfois d'inventer autre chose en se servant des connaissances acquises ailleurs…

J'ai enlevé "laurier thym" car ça n'existe pas , il existe le "laurier tin" qui n'est pas comestible (sans être toxique) et comme pour les autres plantes on ne devrait plus utiliser "laurier xxx" mais un autre nom pour éviter toute confusion, en l'occurrence : "Viorne tin"

sey Euh… tu as vu ta liste, sérieux ?
Faut peut-être pas abuser non plus… si on part là dedans, on se retrouve à ne plus travailler le bois et à se nourrir exclusivement de patates…
Les réactions dont tu parles, il faudrait des sources et voir si ça concerne le seul contact temporaire avec l'objet (on en aurait entendu parler avant) ou si c'est pas surtout lors du travail par inhalation ou contact de la peau+sueur des poussières ?
Jusqu'à la mode du bambou, 90% des ustensiles en bois de large distribution étaient en hêtre…

sey Les circulaires Evolution peuvent couper jusqu'à 8mm selon le modèle, donc 5mm sans problème
Certainement que l'avance doit être bien moins rapide que dans du sapin…

Du coup comme c'est le même lot, il te suffit de voir ce que devient la terrasse non ? (qui est plus soumise aux variations de t°c du fait de l'ensoleillement en "pleine face" )
Si tu mets bien en garde le client et qu'il continue d'insister, il devrait pas se plaindre non ? (oui, je sais, ne jamais sous-estimer la connerie et la mauvaise foi… )
Après, d'autres l'ont fait… on trouve qques exemples advantagelumbe....0Cn0FKbB1M.jpg

C'est un souci très connu pour ce modèle ;)
J'avais un souci similaire avec une des pinces pour mini-perceuse, une légère abrasion à l'intérieur avec une fraise droite diamantée manipulée à la main (un réalésage de qques µm) a suffi :)

Ça dépend qui : le bricoleur chevronné sait normalement déjà à quoi s'en tenir, le bricoleur du dimanche qui prend une entrée de gamme Makita à la place de son outil "PowerTool+2000X" il verra quand même un bond qualitatif notable…
Reste l'entre-deux qui s'il a un usage assez conséquent de son outil pour en percevoir les limites/faiblesses, se renseignera bien avant son prochain achat.

Bien.
Tu mets d'emblée le doigt sur un sujet de discussion pour le Collectif : doit-on ériger une doxa stricte (uniquement travail à l'aide d'outils d'une liste finie (emportable en forêt) et bois tenu à la main) ou maintenir une ouverture plus large (liste d'outils plus grande, abrasifs, étau…) avec néanmoins des bornes (pas d'outil électrique, à part perceuse si vrille ou vilebrequin risquent de fendre, etc.) ?

Le problème c'est que ça risque de finir par une cuillère à la CNC
Je suis désolé si ça en froisse mais pour moi foutre une planche de bois ou de ctp sous une cnc ou une graveuse laser, c'est pas du "travail du bois" .
On obtient certes un résultat, la matière est bien du bois, mais il n'y a pas la partie "travail" . Même si la machine a nécessité des réglages.
Ce serait comme dire qu'on est "conducteur" de voiture autonome, notre seule tache étant de s'installer et d'indiquer la destination souhaitée…
C'est l'aboutissement de la désincarnation, de la séparation de l'Homme avec la Matière et la Nature, avec la machine et l'informatique comme cellule interface.

Oui ce serait utile autant en bois sec que vert, les techniques sont les mêmes, les finitions aussi, ainsi que la finalité (juste la particularité du bois vert)
En tout cas, ça sera intéressant :)

Perso j'aime pas les anglicismes, faudrait trouver un terme (ou une locution) pour remplacer "bushcraft" .
Je vois souvent utilisé le terme "boissellerie" pour les ustensiles de cuisine et planches à découper, mais j'ai l'impression qu'il devrait "normalement" être attribué à la confection de boîtes en bois, mais peut-être que l'usage a évolué..?

D'autre part, dans le collectif, est-ce que de petites sculptures "autonomes" (dans le sens où il ne s'agit pas d'ornementer un meuble ou autre gros support) comme mes gnomes auraient leur place ?
En gros quelles seraient les bornes de la catégorie (sans parler de ce à quoi on n'a pas encore pensé :D )

Je bûche un peu le sujet…
Cuillerier : fabriquait le cuillères
Escuillier : écuelles et seaux
Gobeletier : gobelets
Boiseur ou boisier : ouvrier travaillant le bois
Rien de transcendant…
Facteurs d'ustensiles et autres figurines ?

Être boisselier…
C’est l’art de faire vivre le bois, du choix de l’arbre en forêt à la coupe sur pied, du débit de sciage jusqu’à son arrivé sur l’établi, le boissellier conçoit et fabrique la pièce dans son intégralité.
Ce métier exige un savoir-faire artisanal pour obtenir une transformation du bois dans les règles de l’art.
Pour exercer, il est nécessaire de maîtriser certaines techniques : une connaissance parfaite de la qualité des essences à utiliser, de la durée du temps de séchage naturel et beaucoup de patience.
Au final, c’est la satisfaction d’avoir créé de ses propres mains un objet toujours unique.
Ou encore :
Qui eût visité ses ateliers remplis d'objets de tout genre jamais employés , se serait cru à Moscou , au marché de la boissellerie , […] ; à ce marché où s'entassent des monceaux de bois ouvré , tourné , ajusté , tressé : tonnelets , cuveaux , baquets , seaux , pressoirs , gobelets , cruches , corbillons , …
Il semblerait bien qu'une fois sorti des musées jurassiens, le terme "Boissellerie" se rapprocherait de nos jours le plus de la vaste catégorie que l'on essaye de nommer pour ce collectif… qu'en pensez-vous ?
En lui adjoignant un ou deux adjectifs, ça pourrait faire une base…
L'huile de lin bouillie l'est à 270°c pour "Le Tonkinois", 100°c c'est rien du tout…