
Qui a déjà peint sur une feuille de papier relativement fine? La peinture n'est pas étanche et pourtant la feuille se déforme quand même et reste déformée.
C'est le même phénomène qu'avec un vernis sur une seule face d'un bout de bois non contraint. Je plussoie Kentaro du coup.
Et je pense que ce n'est pas les cycles jour-nuit qui vont changer quelque chose au retrait gonflement du bois. Déjà faut-il qu'il y ai une variation significative de l'humidité relative de la pièce, ensuite il faut déterminer l'essence, déterminer si le bois est sur quartier, faux quartier ou maillé, et fonction du coef. de retrait radial, tangentiel ou longitudinal pour 1% de variation, calculer la variation dimensionnelle du bois.
Faites le calcul sur une lame de 120mm de large en épicéa sur faux quartier avec une variation d'humidité de 50 à 60% d'humidité relative durant la nuit. Vous verrez que ça bouge pas des masses. Si en plus on rajoute un coefficient de "freinage" du au fait que l'humidité ne vient pas instantanément au sein du bois, la variation dimensionnelle est nulle sur une nuit.

Je suis d'accord avec Etienne. En fait, c'est pas juste derrière ce chevron qu'il pourrait y avoir un problème. En soi, c'est un bête mur pignon avec un chevron posé contre. Il ne peut pas y avoir énormément de soucis si votre mur extérieur est bien fermé jusque sous la tuile.
Mais vous avez acheté une maison dont le toit peut vraiment s'envoler. C'est ça le soucis à priori...

Ok. c'est difficile de vous donner des conseils sans trop de contexte mais je dirais qu'il vous faudra bien réfléchir à votre séquence de montage parce qu'en l'état, je ne suis pas sûr que vous arrivez poser vos limons. La passerelle serait, je présume, déjà posée alors comment rentrer les limons qui ont assemblage d'aplomb alors qu'il faudra certainement les mettre en biais pour les poser sur votre support de limon au niveau du quart tournant. Et si là, ça coince, je pense qu'il faudra adapter de manière visible les éléments...

Hello, j'ai fais comme ça au début durant quelques années. ça dépanne pour l'agencement intérieur mais si tu commences à faire des portes, fenêtres, des chantiers publics. Tu peux oublier le rubio.
Pour les fortes sollicitations, y'a pas de miracle, il faut de l'épaisseur de matière ou passer tous les ans remettre une couche.
Bien entendu que cela peut paraître anodin et que: l'un dans l'autre le compte est bon.
Y'a il un mal de chercher à automatiser certes, un calcul facile mais chronofage? Si cela coûte "une calculette" à une extension d'un logiciel et que l'on gagne une demie heure par jour en limitant les erreurs humaines du mec (moi) qui chiffre à longueur de journée?
Re-bien entendu, on s'en tape de savoir au mm2 près ce qui se vernis en produit de stock et usuel. Mais quand les calculs sont pas bons, qu'il faut recommander un bidon d'un litre de vernis pour faire la dernière passe du dernier rayon de la dernière armoire, cela peut valoir le coût...