Ponceuse à bande, grain 80, et toutes les 30s un coup de brosse métallique sur la bande pour enlever la crasse. J'ai essayé les brosses rotatives (aucun effet), et il m'est arrivé de repasser toutes les planches d'une table de salon de jardin que j'avais faite (démontable) à la raboteuse. Ceci dit ce n'est que ma méthode perso aux machines. Certains te diront que l'ancienne finition s'enlève au racloir ou au rabot à main. Ce sont des outils que je ne maîtrise pas, hélas.
Pour soulager la mécanique, éviter d'appuyer dessus. En principe le poids de la machine se suffit à lui-même (enfin bon c'est la théorie, je dois bien reconnaître que j'appuie quand même un peu !).
Le lavabo n'était pas du tout de niveau donc un peu galère pour arriver à plaquer de partout.
bienvenue dans le monde merveilleux de la menuiserie d'agencement !
Les aspirateurs à 300€ type ASP152 et consorts sont bien calibrés pour une machine, mais probablement pas deux à la fois. La question des tuyaux est importante aussi...
Tu peux déjà regarder le pas à pas de Mig sur le sujet :
Tu peux aussi regarder la publication suivante, qui te donnera des idées sur la différence entre les brochures des constructeurs et la réalité, ce qui n'est pas si simple !
Oui mais comme ça cela permet à tes voisins de venir en récupérer pour leur poulailler ou toilettes sèches, tout le monde est content !
Superbe !
Oui, c'est vrai qu'il y a un petit côté Art nouveau...
Hello, on peut peut-être t'aider si tu décris ton problème...
Et sinon as-tu regardé dans le catalogue des outils et dans les plans, s'il n'y a pas les schémas convoités ?
Apparemment oui, cf. customcraftmenuiserie. Moi je me suis inspiré du sien.
J'emploie l'acronyme CTP pour contreplaqué, et "en dur" pour dire que je vais le fixer définitivement (pas de machin démontable-optionnel-amovible-repliable-qui-grandit-avec-l'enfant). Pour mon utilisation c'est plus simple, et ça ne me coûtera qu'un ou deux kg de plus.
Côté rigidité, il est redoutable ! Très rigide pour les mouvements d'avant en arrière, et également pour les mouvements latéraux au niveau du cadre arrière. Pour les mouvements latéraux depuis l'avant, ça bouge un peu.
Mais sont objet est de pouvoir poser, scier (d'avant en arrière), et souder, pas de raboter à la main. Si j'ai besoin de plus de rigidité (admettons que je veuille raboter ou râper), je le mets dans l'autre sens pour travailler du côté du cadre arrière. La traverse basse est à 12 cm du sol, donc mes pieds passent en-dessous sans gêne.
Hé franchement, à côté du test de Turing et du test du χ² (prononcer "khi-deux"), le test de Nairod, c'est vraiment classe !
Merci !
Oui, la couleur, c'est le centre du hêtre qui est plus foncé. Tous les ans je fais des planches à découper et je prends les plots dans le faux quartier pour éviter les fissures mais conserver cette magnifique couleur.
C'est un transgenre : il est passé de frêne-olivier à hêtre-olivier ! Et les hormones l'ont fait grandir...
Ah déso, il a déjà un nom : "Solution" (à plein plein de problèmes) !
Surtout un rakarangerlesoutilsàmain, parce que là, c'est un peu le merdier...
Pack Premium à la CMA de Lyon, éligible au CPF... cma-lyonrhone....s-de-formations
Ce n'est pas tout à fait cela. Je t'invite à lire l'article suivant : legalplace.fr/...o-entrepreneur/
Pour la TVA applicable ou pas, voir ici : entreprendre.s...osdroits/F21746
Mais encore une fois, à toi de voir si tu préfères être en franchise de TVA ou pas, moi j'ai choisi de m'y assujettir par exemple.
Concernant les tarifs pro, faire payer le tarif pro aux clients n'est pas forcément une bonne solution à long terme (ni vis-à-vis de la concurrence, qui risque de ne pas aimer...). Le principe de base, c'est que tu as des tarifs pro, que le client ne connait pas. C'est ta cuisine interne, tu prends la marge que tu décides pour faire fonctionner ton entreprise. Et cette marge sert à couvrir plein de choses : le temps et les km que tu passes à aller chercher le matos, les coûts de stockage et de manutention, les pertes (tu dois racheter une plaque d'OSB parce que tu as raté une découpe), et aussi les petites fournitures (sinon tu vas faire payer la boîte de clous à tes clients ?). Donc la base, c'est que tu prends une marge qui couvre tout ça. Si tu commences à être à prix coûtant au tarif pro sur le matériel, tu risques de ne pas rentrer dans tes frais et de donner des mauvaises habitudes à tes clients !
Donc la question est : pourquoi veux-tu t'y prendre ainsi ? Qu'est-ce que tu y gagnes, qu'est-ce que le client y gagne, qu'est-ce que les fournisseurs y gagnent, qu'est-ce que l'état y gagne ? Si la réponse est cohérente avec ton "modèle économique" et ta manière de voir les choses, alors ok, mais il faut que tu saches ce que tu fais et pourquoi tu le fais...
Très sympa, bravo.
Et combien de fois on voit cela sur des fils téléphoniques, avec des chaussures les lendemains de fête... je suppose que ceux qui ont le malheur de s'endormir bourrés sont bons pour se racheter une paire de godasses.
Pourquoi vouloir mesurer l'humidité de l'atelier de dependancesbois avec un psymachin alors que vu où il habite, on la connait déjà ?
Passionnant ton article, Atelier Eustache, par contre je crains d'avoir mal compris le phénomène... en voyant la chose je m'imaginais que le bulbe humide servait, en quelque sorte, de référence ; et que le bulbe sec servait de mesure, se refroidissant plus ou moins selon l'humidité ambiante. Mais apparemment ce serait le bulbe sec qui sert de référence, et l'humide qui s'évapore d'autant mieux quand l'air est plus sec ? Ou c'est plus compliqué que ça ?
En tout cas cela m'a éclairé sur un objet inconnu que j'ai récupéré il y a quelque temps : une jolie boîte allongée recouverte de cuir, avec deux thermomètres à l'intérieur et un compartiment pour piles... je mettrai une photo dès que j'aurai remis la main dessus !
Atelier Eustache pour trouver une grandeur, il faut comparer une mesure à un étalon, c'est cela que j'ai appelé "référence". Puisqu'il y a deux thermomètres, l'un est censé avoir une température indépendante de l'humidité, et l'autre, une température qui dépend de l'humidité, et en comparant les deux etc.
Donc là, je me demandais si celui qui est "stable" est celui qu'on sature d'eau, et celui qui dépend de l'humidité serait le sec (enfin "sec" mais au contact de l'air dont on veut connaître l'hygrométrie donc peut-être qu'il se refroidit aussi, en quelque sorte, mais beaucoup moins que l'autre), ou si c'est l'inverse : le sec serait indépendant de l'hygrométrie, et celui qu'on sature d'eau se refroidirait plus ou moins, selon l'hygrométrie de l'air ambiant.
Après réflexion, la seconde option me parait plus vraisemblable car l'évaporation de l'eau du chiffon est probablement dépendante de l'hygrométrie ambiante : si l'air est sec, ça s'évapore plus donc ça refroidit plus. C'est cohérent avec le diagramme. Dans ton article, T°sec à 20° et T°hum à 15, alors Rh = 0,6, et si à 20°C le bulbe humide descend à 10°C, alors Rh = 0,3.
C'est cohérent mais je me méfie des conclusions hâtives dans les domaines que je ne connais pas...
Alors pour les valeurs, c'est difficile à lire mais nous avons 24,5°C d'un côté et 28°C de l'autre (pour 59% sur mes deux hygromètres).
J'ai fait un autre essai plus tard, avec respectivement 23 et 28°C, alors que le petit hygromètre électronique affichait 64%.
J'ai voulu comparer, bien sûr, mais le diagramme donné dans ton article ne va pas assez loin. En approximant ça semble cohérent, mais ce serait mieux d'avoir un diagramme plus précis...
Hum, il y a une sacré différence : 75% vu du diagramme contre 59% sur mes deux hygromètres... Allez c'est pesé, je l'adopte !
En tout cas merci pour cette trouvaille, Atelier Eustache, et j'ai encore plein d'instruments de nature inconnue dans mon merdier, j'attends tes prochains articles pour savoir ce que c'est !
Oups, tu as raison Etign, ceci n'est pas un escalier balancé...
Certes, Aurelien L, les marches sont faites avec des segments de droite, mais j'ai déjà vu des escaliers du même genre avec des marches courbes : les deux marches avant le palier sont concaves, et les deux suivantes sont convexes. Malheureusement je ne trouve pas de photo pour illustrer le propos...
J'y suis retourné, et j'ai observé où je me positionnais naturellement en montant ces escaliers : à peu près centré, légèrement sur la gauche. Par conséquent j'ai alterné pied droit / pied gauche du début à la fin, la main courante étant à portée. Il n'est pas si mal cet escalier ! Pour un truc carrelé moche et coupé tout droit...
Tiens, je suis passé à côté de cette merveille... qui aurait mérité un coup de projecteur ! Très très belle, bravo !
Très sympa, elle a de la chance ta fille !