
Si je le dis c'est que j'ai testé avec un Schneider et sur un 30mA ça ne tient pas , sache que je n'invente rien et je m'en serais bien passé. Après peut être qu'avec certains variateurs ça ne le fait pas.

Il s'agit justement d'un petit Altivar pour une Kity qui m'a posé problème pour le 30mA; Cela n'a rien à voir avec la qualité, il faut juste savoir que ce type de matériel à courant à découpage envoie du courant résiduel qui fait parfois déclencher les 30mA alors n'en déplaise à lairdubois.fr/ham6 qui me colle sans même approfondir le sujet, une vérification défavorable du haut de ses connaissances.
Je voulais juste partager mon expérience pour prévenir que cela risque d’engendrer une dépense en supplément par l'achat obligé d'une protection différentielle adaptée au variateur déjà pas donné, pour pouvoir utilisé ce dernier.
Pour info en industrie ou en agricole, on utilise justement des protections que de 300mA sur certaines alimentations de matériels comme les rampes d'éclairage fluo, les variateurs de fréquences...pour qu'ils puissent fonctionner et cela fonctionne en effet très bien avec possibilités multiples de vitesses variables, de frein, de couple maintenu à bas régime.....
Tout ceci n'est juste une info et chez soit chacun fait ce qu'il veut ou pas, en prenant SES responsabilités mais je trouve juste dommage d'être obligé de le préciser à la moindre discussion.
Allez bons copeaux à tous et buvez frais et laissez le bois à l'ombre, ici il fait 35° !

Curieux une petite machine en 400v? Vérifie si tu as bien 3 phases à ta prise et au moteur. De toute façon tu as forcément 400v entre tes phases à ta prise et ensuite un moteur et couplé par barrettes au bornier soit en étoile (barrettes alignées d'un côté) donc 220v à chaque enroulement soit en triangle (3 barrettes parallèles) donc 400v à chaque enroulement.
Sur les petits moteurs, on est souvent en 220 en étoile et plus gros en 400 en triangle mais souvent le démarrage se fait en étoile pour éviter un trop fort couple destructeur au départ puis on bascule en triangle soit manuellement soit avec un système automatique.

Il existe 2 types de lame gouge. Une avec la dent à dépouille affûtée en creux comme une gouge, c'est la vraie mais l'affûtage coûte plus cher et une autre avec l'avant de la face d'attaque de la dent en forme de gouge et la dépouille en affûtage classique.
Il existe aussi des marques de lames haut de gamme que m'a déjà présentées un commercial mais je ne me souviens plus des noms. La qualité du carbure à grains plus fins fait la différence en qualité de coupe et aussi en tenue d'affûtage. Un autre facteur est la bonne planéité et l'absence de vibrations du corps de lame en rotation qui jouent beaucoup sur la netteté de la coupe.
Évidemment, en tarif ça pique un peu et il faut réserver ce type d'outils que pour les coupes très soignées et en avoir d'autres pour le tout venant

La grippe vient de m'attaquer, promis je t'explique ça dès que ça sera un peu passé, j’essaierai de faire des photos

Me voici ressuscité ! Mais revenons au chariot 2250 agaçant de cette capacité bâtarde au regard des formats 2500 ou 2520 stds des panneaux.
1er j'ai avancé au max la poutre aluminium support du chariot, tenue par des tiges filetées + écrous pour que la règle sur cadre à équarrir soit poussé le plus en avant juste à 2cm en arrière de la lame montée à fond. De mémoire, je crois que l'on obtient 2430 de capacité de coupe mais c'était un peu galère pour les changement de lames avec chariot en arrière comme d'origine car cela obligeait de procéder à chaque fois au démontage du couteau diviseur. Il faut aussi réaliser une nouvelle entaille pour le verrouillage du chariot.
2eme J'ai fait glisser la butée de course pour obtenir 2800 (sans cadre à équarrir !). J'ai ajouté un pied support de la poutre.h
3eme J'ai ajouté un bloc de bois avec un trou en dessous sous le cadre à équarrir car bras coulissant est trop court et ainsi j'obtiens environ 2600 après lame ce qui est suffisant pour les formats stds de panneaux.
Ainsi réglé le chariot en avant de la lame dégage assez et le démontage de la lame est facilité.
On garde le choix de placer l'axe en bout de bras soit sous le bloc en bois soit sous la partie métallique d'origine.
Il est à noté pour tous les lecteurs que cette modification ne doit pas être réalisée dans le cas d'une utilisation professionnelle avec multiples utilisateurs.
Attention ! Toute modification n'engage que celui qui la réalise c'est pourquoi il faut mesurer les éventuels risques et agir en connaissances de causes.
La course à 2800 est très utile en délignage de massif à condition évidemment de ne pas y déposer un plateau de chêne de 2800x600x100. On peut aussi limiter la butée de coulissement à une course de 2600.
Je précise que, à part la petite entaille pour le verrouillage, tout est réversible en cas de revente.
J'utilise cette machine depuis 12 ans et depuis 2 ans ainsi modifiée et j'ai depuis renoncé à la remplacer car je suis pleinement satisfait de ses capacités

Dommage . Haute Savoie, je peux être amené à y passer pour les vacances mais rien de programmé pour le moment.
Sinon penche toi sur ta bécane avec mes indications ça devrait le faire. Ou pose moi des questions si tu as un doute.
Pour info, le pied de soutien est un profil de récup fixé en dessous de la poutre par boulon et lardon fait dans un fer plat percé et taraudé. Une vis vérin en dessous immobilisée par une cale de cp. Sur la photo on aperçoit un tube en plus qui soutient une rallonge de table de toupie.

Tu envisages de le commercialiser en versions bois ou metal sous une future marque déposée "lecompacon"
À part la plaisanterie, ton concept peut avoir plein d'applications dans multiples domaines, je pense par exemple aux coffres de fourgons aménagés où il te faut 3 mains pour y prendre ou ranger qq chose. Un petit ressort type épingle pour perfectionner le système
Ou éventuellement une légère finition huilée pour renforcer l'effet déperlant.
Je précise un peu ici car plus facile sur clavier qu'hier sur le tel, mes propos sur les lasures.
Avec les nouvelles normes sur les peintures, on constate une moins bonne tenue dans le temps des peintures sur bois et encore pire pour les lasures en qualité pro aussi. Mes amis pros du bâtiments en font tous le même constat.
De plus comme je l'ai dis, l'application sur un bois gras demande une gymnastique avec une application d'une sous couche qui augmente encore le cout. Sur le mélèze, une couche ne sert qu'à retarder (un peu) le vieillissement d'aspect mais c'est comme une drogue dure, tu devras régulièrement en repasser.