
merci.
suer à grosses gouttes n'aiderait pas, ça fait de la buée sur la visière
plus sérieusement c'est vrai qu'il faut faire gaffe : malgré l'habitude ne jamais négliger les règles de sécu de base sur un tour ; et puis être bien équipé. Perso j'utilise un casque forestier quand je tourne ce genre de pièce car ça protège mieux des chocs qu'une visière ; et puis bien sur ne jamais se mettre dans la ligne de tir.

coals merci de la part des bouts de bois.
Pour le truc de la ligne de tir, c'est surtout en creusage ; effectivement pour la courbe extérieure c'est plus compliqué (même si travailler l'ambidextrie ça aide : en finissant en tenant l'outil main gauche avec la main droite sur le porte outil tu peux te déporter ; mais par contre tu ne vois pas vraiment ce qui se passe). En même temps sur la courbe extérieure le risque que la pièce explose est moindre, le plus gros risque c'est une rupture du tenon et la pièce complète qui vole ; dans ce cas je démarre le fond de bol sans contre pointe ; et dès que j'ai suffisamment avancé pour pouvoir remettre la contre pointe elle revient.

merci.
C'est vrai que je ne suis pas le plus partageur à ce niveau là... en même temps ça reflète assez bien mon utilisation de l'ADB : j'ai choisi comme page d'accueil la page questions, et je ne vais voir les créations qu'assez périodiquement.
Et puis j'ai sérieusement un "complexe" avec les photos : je n'ai pas la place/l'envie de consacrer une place à un espace photo avec une lumière mieux maitrisée pour éviter les reflets tous moches ; et j'ai revendu mon reflex il y a quelques années. Repasser à un APN de smartphone ça fait mal à l'ego quand on se rend compte que les "jolies" photos que je faisais c'était juste la qualité du matos qui parlait.


entièrement d'accord pour la disponibilité du SAV en france, makita étant largement plus distribué il est facile d'accéder au SAV ; avec DeWalt les choses s'améliorent mais on est encore loin d'avoir la même facilité.
La compatibilité avec des rails et accessoires non propriétaires va aussi dans le même sens : les accessoires festool ou makita sont largement distribués chez nous, faciles à trouver en magasin physique ou en ligne et plus probable en occase.
Pour l'absence de couteau diviseur, théoriquement la makita est équipée d'un frein électronique qui détecte les à-coups de couple et est supposé palier cette absence... La dewalt a un couteau diviseur sur ressort (j'ai la même chose sur une maffel, et ça marche vraiment bien ; je ne sais pas si celui de dewalt est aussi bien conçu).

De mon expérience, sur un arbre abattu en fin de saison (au tout début du débourrage, déjà trop tard à dire vrai) l'écorce se retire très facilement en un bloc ; que le bois soit travaillé vert ou séché.
Sur un spécimen de la même essence (cerisier en l'occurrence) coupé en plein hiver j'ai pu obtenir des pièces tournées sur lesquelles l'écorce est restée adhérente sans y rajouter de colle.
Ce phénomène de décollage "facile" de l'écorce au moment du débourrage est aussi utilisé pour les greffes en écusson sur les fruitiers.
Par contre à la réunion... les arbres ils ont pas un rythme circadien bien facile à comprendre comme en métropole : entre ceux qui sont à croissance continue, ceux qui ont quand même un rythme annuel mais qui n'est pas forcément corrélé à la durée du jour (mais à la mousson par ex) ; ceux qui sont à croissance pluriannuelle (ils se mettent en dormance au bout de X ans, parfois toute la forêt ensemble, parfois tous seuls... vraiment pas adaptés à nos cerveaux carthésiens ces machins là)
L'âge de l'arbre semble jouer aussi (l'écorce me parait plus adhérente sur des individus anciens que sur des plus jeunes) mais je n'ai pas beaucoup de recul sur cette sensation (en général sur les individus jeunes je ne trouve pas de zone qui mérite un gros saladier en bords naturels, donc je n'essaye pas vraiment de conserver l'écorce.

Nicoel pas vraiment de source écrite "globale", j'ai eu une bonne base en biologie végétale lors de mes études (licence en svt spécialité géologie... mais en gardant pas mal d'échanges avec ceux qui se sont spécialisés en bio végétale). Après ça depuis que je suis installé en tournage et que je vends principalement sur marchés j'ai pu avoir pas mal d'échanges avec des forestiers, des élagueurs, des chercheurs en BV... quand ces échanges m'apportent une info intéressante j'essaye de la recouper avec une recherche sur le net. Par exemple ce matin, en me posant la question de comment appliquer cette histoire de période de coupe à la réunion j'ai parcouru cet article
Pour les échanges ; avoir mon "background" scientifique aide un peu puisque quand les gens sont vraiment passionnés, dès qu'on sort quelques termes spécialisés ils sont tout contents de trouver quelqu'un qui parle leur langue et de voir une application concrète qui ne soit pas en agronomie.
Et puis... j'ai le luxe de pouvoir faire des tests. J'ai bénéficié d'un concours de bon plans qui me permettent de vivre du tournage sans pour autant avoir de pression au rendement ; du coup j'en profite pour m'autoriser quelques expérimentations parce que même si au final je perds 12h à tester un truc qui ne marche pas, ça ne remettra pas en cause le fait que j'ai une assiette pleine à la fin du mois.

Nicoel > Madagascar est différent de la Réunion par son sol, ce qui induit une flore différente.
c'est clair qu'en terme de géologie et de relief tu peux difficilement faire plus différent... avec un sommet à plus de 3000m sur une ile de 2500km² la réunion doit aussi avoir son lot de micro-climats. Ce qui m'a marqué dans ce doc c'est surtout l'idée que les rythmes végétatifs sont hyper variés ; en zone "tempérée" les rythmes annuels sont favorisés, mais en zone tropicale le climat laisse une diversité bien plus grande de rythmes coexister.
... et il faut que tu postes des créations tournées, ça manque dans ce lot de trucs carrés
je peux pas j'ai aquaponey...
en vrai c'est plutôt que j'ai un APN tout pourri sur mon tel (l'objectif s'est retrouvé rayé par des copeaux dès le 2e jour ) et je pense jamais à demander des photos "utilisables" aux potes qui passent.
et puis quand je vais sur l'ADB je finis par embrayer sur une recherche d'info sur le tamarin des hauts et paf ; je suis en retard pour mon cours d'aquaponey et j'ai pas le temps de poster une création.
Je sais on dirait que je cherche des excuses... promis je vais faire un effort.

Le racloir... conseil que je prodigue abondamment quand on me demande comment décaper un vieux vernis. Mais j'accompagne toujours d'une "formation" express à l'affilage du racloir.
La marque à mon sens importe peu : mes racloirs sont fait maison dans de vieilles scies égoïnes récupérées en recyclerie. Par contre la technique d'affilage est primordiale.
La vidéo en lien donne un bon panel de méthodes d'affilage, pour l'affiloir un penne de tournevis costaud permet d'éviter un achat coûteux pour un usage restreint.

Pour couvrir un puit, pas besoin d'un couvercle étanche, on cherche à éviter que des débris (feuilles mortes ou humain par ex) ne tombent dans l'eau.
Un couvercle rainure/languette avec des languettes surdimensionnées pour être montées avec du jeu rempli ce rôle ; avec des traverses assemblées par clouage pour garder plus de liberté de mouvement que par vissage ça fait l'affaire ; plus simple, plus rapide et moins cher que de coller.

Pas d'agressivité envers toi de mon côté, comme je l'ai redis dans l'autre réponse c'est contre les vendeurs/fabricants malhonnêtes.
Pour moi la liste des outils indispensables c'est :
_gouge à profiler 10 ou 13mm (permet de faire tout type de profil en bois de fil, et de faire des détails sur du bois de travers)
_gouge à creuser 10 ou 13mm (suffisamment solide pour remplacer la gouge à dégrossir, et permet de travailler en bois de travers)
_grain d'orge 5mm ou bédane (permet de calibrer un cylindre en bois de fil pour ensuite le travailler à la gouge)
_un moyen de tenir les pièces en l'air (soit un anneau à visser, soit un gobelet, soit un mandrin en prenant du moins cher/moins pratique au plus cher/plus pratique).
Avec cette base, tu pourras faire des tests et voir si tu préfère investir ensuite pour faire des bols, des stylos, des pieds de table... selon ce qui t'intéresse le plus ; et ainsi étoffer ta collection en fonction.
Pour le travail en bois de fil (stylo, poivrier, pieds de table) tu pourras prendre une gouge à dégrossir de taille adaptée au type de pièce (petite pour un stylo, grosse pour un pied) ; étoffer ta collection de gouges à profiler (plus petite pour des détails, plus grosse pour manger du bois et faire des courbes tendues) ; et t'essayer au travail à la plane (là il y a plein de formes et de tailles, et le choix est plus lié aux goûts et habitudes de chacun).
Pour le bois de travers tu prendra un mandrin bien costaud, tu étofferas ta collection de gouges à creuser (plus grosses pour moins de vibrations, une gouge longue que tu réserveras aux pièces profondes et une autre plus courte pour le reste...)
Si tu veux t'amuser tu pourras acheter des accessoires spécifiques : mandrin ou fleuret de perçage, mandrin à stylo, anneau ou crochet de creusage, outils à col de cygne etc... mais tout ça viendra plus tard quand tu auras déjà fais tes gammes sur des tournages "basiques" et trouvé ce qui t'intéresse

Pour moi ce lot n'a pas de sens : tu as certes 8 outils mais à peine trois utilités différentes...
LA 1 et 3 sont des gouges à rien (un hybride entre gouge à dégrossir trop petite pour être utile, et gouge à profiler sans profil)
La 2 une gouge à dégrossir le beurre (trop fine pour supporter un bois dur sans risque)
La 4 une plane ultra courte avec un affûtage bizarroïde (peut éventuellement servir de racloir à angle négatif)
Les 5 et 7 deux planes droites (même usage, la différence de taille n'apporte rien)
La 6 grain d'orge
Les 8 et 9 deux gouges à profiler en fin de vie (rendues trop courtes par le nombre d'affûtages, et trop pointues)
La 10 un accessoire de mode (pas assez épais pour être un racloir, pas affûté comme un grain d'orge... je ne vois pas)
Certes 45€ ce n'est pas grand chose, mais à part servir de martyr pour apprendre le geste d'affûtage je ne vois pas d'usage réel ; ceci dit ça reste moins cher qu'un système de guide pour affûter sans apprendre...
Pour 45€ à part un gros coup de bol en occasion tu ne peux pas apprendre décemment.
Par contre pour un peu plus de 100€ en outils hamlet, bordet ou record power tu peux avoir une gouge à profiler de 13, une gouge à creuser de 10 et un grain d'orge de 5mm qui te suffiront amplement pour apprendre les bases (tu peux dégrossir avec une gouge à creuser, ce sera juste plus long, mais quand on débute la productivité n'est pas la priorité).

sebgetdown entièrement d'accord, si le ton est un peu pinçant ce n'est pas toi la cible de cet agacement, c'est plutôt les fabricants/vendeurs malhonnêtes qui se font de l'argent sur le dos des débutants en mettant sur le marché des lots qui ne valent pas grand chose et leur rapporte sûrement plus qu'un outil bien fait...
Comme je le disais ce lot garde un bon point : il te permet de d'entraîner à l'affûtage sans manger des cm sur un bon outil et pour moins cher qu'un système d'affûtage type wolverine ou autre.
Par contre attention tout de même : certains outils sont vraiment légers ce qui peut les rendre dangereux si tu as un tour trop puissant. La gouge à dégrossir (n°2) par exemple fera l'affaire pour des bois sans noeuds, mais si tu as un noeud au milieu d'un carrelet de chêne tu as intérêt à avoir une bonne visière (tu as toujours intérêt à avoir une bonne visière d'ailleurs)

Même si comme Nicoel et Medalegno je pense que tu fais une confusion entre humidité de l'air et du bois ; je suis d'accord avec ton autre remarque concernant l'épaisseur des pièces. Effectivement avoir une épaisseur de parois uniforme participe à équilibrer la vitesse de séchage des différentes zones de la pièce et à limiter les risques de fente.
Concernant l'humidité du bois et de l'air, il faut remarquer qu'elle est exprimée en pourcentage... c'est en réalité un pourcentage par rapport à la quantité d'eau pour laquelle le point de saturation en eau serait atteint.
Pour l'air, plus il est chaud plus il peut contenir d'eau. Ainsi si tu enferme de l'air dans un ballon étanche et que tu chauffes ce dernier, son taux d'hygrométrie va baisser même si la quantité absolue d'eau n'a pas changé.
Pour le bois, c'est le bordel : la quantité d'eau totale qu'il peut contenir (celle qui sert de déterminant pour établir le pourcentage) est séparée entre
-eau de constitution (celle qui est à l'intérieur des cellules, très fortement liée au bois et difficile à éliminer)
-l'eau d'imprégnation (celle qui fait gonfler les fibres du bois telle une éponge, c'est elle qui cause les mouvements du bois)
-l'eau libre (en très très grossier, la sève ; l'eau qui circule sous forme liquide par capillarité dans l'arbre)
L'eau libre est éliminée rapidement après l'abattage (plus ou moins selon le type de bois) ; on appel ça la phase de ressuyage ; et à l'issue du ressuyage le bois a déjà perdu +/- 70% du volume d'eau qu'il contenait, son humidité est aux alentours de 30%
L'eau de constitution on ne veut pas la faire disparaître, car sinon on a plus du bois mais du charbon... en règle générale on commence à toucher au stock d'eau de constitution si on descend en dessous de 8%
L'eau d'imprégnation
Entre 30 et 8% ; on joue sur l'eau d'imprégnation, le bois dégonfle/gonfle tel une éponge ; et c'est dans cette plage qu'il va trouver son équilibre avec l'environnement.

le coeur très foncé comme ça est courant sur les frênes taillés en têtard... vu que c'est l'arbre emblématique de la venise verte et que GabbChch est des deux sèvres, je penche aussi pour du frêne.
En tournage c'est superbe, par contre très nerveux donc à faire sécher tranquillement.

Ta demi ferme centrale sera celle qui supporte le plus de charges permanentes (grosso merdo elle prend la moitié des charges permanentes, et les deux autres se partagent l'autre moitié) mais celle qui subira le moins de contraintes latérales. Ce n'est pas déconnant du tout de lui mettre entrait et arbalétrier.
Ce qui permet de diminuer les sections, c'est d'ajouter des contrefiches qui lient ensemble arbalétrier et entrait entre les poteaux (ça vient grossièrement diminuer la portée libre de l'arbalétrier).
Les liens à 80cm ça me semble bien.
Les pannes en 63/170 avec 4m de portée c'est correct pour du bac acier ; par contre l'espacement dépend de l'épaisseur de ton bac acier, à 160cm il faut du bien épais car les plus courant préconisent plutôt un espacement maximal de 150cm.

malheureusement ça passe... j'ai rencontré une ancienne vernisseuse au tampon qui a arrêté sa carrière à 45 ans pour cause de foie d'alcoolique chronique alors qu'elle avait une consommation non professionnelle peu importante... elle a du suivre une cure de désintox en prenant sa retraite anticipée.
Ca passe aussi par les voies respiratoires, même en ventilant.
Mais... vaut-il mieux un risque certain mais identifié et relativement faible (vernir trois bols par semaine ce n'est pas boire un verre par jour ; la personne en question avait les mains dans l'alcool et un air enivrant 7H/jour tous les jours) ou un risque hypothétique non vérifiable (les vernis modernes sans COV c'est bien, mais on ne cherche que ce que l'on connait et on est pas à l'abri de découvrir dans 30 ans qu'en fait y'a des trucs pas cools dedans).

L'augmentation des cotisations est liée à une augmentation des risques financiers si je veux titiller un peu ; la relation avec les risques réels me semble beaucoup moins claire.
Si on prend l'exemple des assurances voitures, il n'y a pas plus de risques d'être impliqué dans un accident aujourd'hui qu'il y a dix ans... pourtant moi qui ait la même voiture depuis dix ans avec le même bonus depuis dix ans j'ai vu ma cotisation augmenter... parce que le prix des réparations sur la moindre voiture que je pourrais écorner est devenu énorme. Il y a vingt ans si j'avais arraché un rétro de 205 dans un parking je me serais arrangé à l'amiable en payant directement la réparation et sans faire intervenir l'assurance, aujourd'hui ce n'est plus possible car un rétro de tesla c'est une technologie de pointe qui vaut plus cher que ma voiture.
De même pour les artisans, une RC coute plus cher parce que l'on intervient sur des maisons plus complexes, et qu'une "petite" bourde peut couter très cher et demander des compétences très spécifiques pour être réparée. Il y a 20 ans si on faisait une petite connerie sur un chantier on arrivait toujours à se démerder pour trouver un collègue qui pouvais nous aider à rectifier le tir contre une partie remise. Maintenant on appel l'assurance.
Et puis... il faut bien avouer qu'on en profite un peu nous aussi en tant qu'artisans ; les assureurs sont bons payeurs et en cas de sinistre ils ne négocient pas beaucoup le devis fourni par l'artisan qui va réparer... ça aussi in fine ça fait monter les cotisations.
Mais là où il y a une "injustice" c'est que personnellement je n'ai rien fait pour que ces complexifications et cette montée en valeur s'opèrent, bien au contraire. Les "petits" assurés se retrouvent à payer une part de la folie des grandeurs des "gros" assurés...

Francisco pour le fabricant de porte monnaie, la RC pro va être demandée par exemple s'il participe à des marchés et concerner principalement les dommages causés par un barnum qui s'envole, une table d'expo qui tombe sur un passant, une rallonge qui fout le feu... s'il ne vend que par correspondance ou en dépot-vente dans un lieu qui a sa propre assurance les risques sont effectivement minimes.

Nicoel pas forcément strictement décoratif, ça a du sens pour une finition extérieure de bol aussi, surtout avec des zones carbonisée comme j'ai déjà vu dans tes créa car ça permet de "fixer" le noir et d'éviter de tâcher la belle nappe blanche. En corbeille à fruit c'est aussi top car si un fruit coule dedans ça laisse un peu de temps pour réagir avant que ça ne tâche le bois.

tiens c'est rigolo : anthocyanes = tanins...
La meilleure solution reste de faire un test sur une chute pour trouver le mélange qui te plais. Pour éviter le lessivage des anthocyanes, aucune idée ; un mélange huile cire sera peut être un poil plus efficace car la cire a un effet bouche pore qui rendra moins perméable à l'eau... mais il faudra renouveler très souvent.
Mais non c'est pas impressionnant à 400RPM... y'a trop de vide c'est transparent donc ça impressionne pas.
Pour l'ordre d'opération : lors du détourage de la pièce, je crée un méplat à la tronçonneuse sur le centre de mon bloc capable côté écorce (mais si on sait pas TRES bien se servir d'une tronçonneuse vaut mieux le faire au ciseau/maillet). Ce méplat me sert à fixer un plateau à vis ; je crée ma forme externe en laissant un tenon, je creuse en prenant ce tenon, et je retire le tenon à l'aide d'un mandrin à friction fait maison (avec le ponçage entre temps)
Le tour c'est un magma 200KFU. donc effectivement à 39,5cm de diamètre je suis à la limite de ses capacité au dessus du banc (40cm). Par contre en terme de couple moteur y'a quand même 1500W donc ça les emmène sans problème ; et le poids de 200kg avec tous ce qui est rajouté dessus fait le job pour éviter les voyages non organisés. Mais c'est vrai que j'ai une fâcheuse tendance à tester les limites de capacité nominale (je fais pareil avec le poids de ma voiture, la taille du guide sur ma tronçonneuse...)