Pareil.
En outre, tu pourrais lui conseiller de faire établir un devis de pose chez Casto pour te permettre de décliner poliment.
Une porte n’est pas un meuble, dans le sens où tu es obligé de la modifier durant tes travaux : préparation du mur, mise à l’aplomb de la porte, perçage du cadre pour les vis, collage par mousse PU, réglage des butées, etc.
Juridiquement parlant, la porte dans son emballage et la porte posée ne sont pas le même objet.
En conséquence de quoi, oui tu seras responsable en cas de dysfonctionnement. Un professionnel est censé maîtriser son domaine et les règles de l’art. Les matériels et matériaux que tu utilises entrent ainsi sous ta responsabilité. On est dans ton hypothèse 1. etiennedesthuilliers a été juriste du domaine et pourrait confirmer ce point.
Et si tu as une assurance décennale, je t’encourage à relire les conditions de son application.
Mais ce n’est pas tout car dans le cas où un souci banal de finition apparaîtrait ultérieurement, qui sera concrètement l’interlocuteur du SAV Casto, ta cliente ou toi ? Pas sûr que ton rôle se limite à la pose.
Je suis d’accord que ce n’est pas majeur. Mais personnellement, je n’ai pas de temps à consacrer à ce type de soucis.
Après, c’est toi qui décides quel type de réputation professionnelle tu souhaites te construire chantier après chantier, et quelle clientèle tu souhaites te constituer. Rien n’est critiquable en la matière.
Hop là !
Y’a autant de réponses différentes et complémentaires que de gens sur cette question !!
Perso, je préfère la D à la toupie. Je peux y mettre des fonds en CP parfaitement ajustés avec les montants, pour des caissons visibles de l’arrière notamment.
Je tente un résumé imparfait ?
- Faut adapter au cas par cas (vide sanitaire, côtes visibles, accès par l’intérieur, besoin d’équerrage,…)
- faut évidemment te passer des outils que tu n’as pas (scie à format et a priori toupie). Reste défonceuse, plongeante, scie s/s table et perceuse.
- si tasseau carré, du 20 suffit
- on évite le mdf 3mm au profit d’un 8 minimum.
Et je rajoute mon grain de sel : pour rainurer du mdf, si j’ai le choix entre scie ou fraise de défonceuse, je choisis la scie. Car le mdf désaffûte rapidement et une lame est plus facilement et moins chèrement réaffûtée.
Intéressante ta remarque sur les vibrations. Je le croyais aussi jusque récemment (est-ce que cela fait de moi un « maniaque de la hi-fi » ? ) et j’ai fabriqué de nombreux pieds coniques en inox au tour pour mettre sous ces meubles, afin de limiter la transmission des vibrations depuis le sol.
Il se trouve que REGA, fabricant britannique réputé de platines vinyles, écrit le contraire dans ses notices. Il faut juste des supports rigides.
J’avoue ne pas avoir encore fait de tests comparatifs. Je ne suis pas sûr que l’âge de mes tympans permette de discerner encore ce genre de subtilités.
Kentaro oh que oui, je connais un peu le monde des mélomanes de salon audiophiles.
J’ai été ingénieur télécom dans une précédente vie, spécialisé dans l’électronique numérique. C’est dingue ce que le marketing est capable de faire avaler à des gens.
Du coup, j’aime bien mettre une pièce dans le bourrichon
Le manque de rigidité du plan initial provient en grande partie du fait que le montant vertical du châssis de la porte ne prend pas appui directement en haut du tableau, sous le linteau.
L’imposte qui sert d’intermédiaire a de plus son montant vertical décalé du montant de la porte.
En revanche, ton plan corrige ces deux points et devrait donc être bien plus rigide.
L’autre source de flexibilité est due à l’épaisseur choisie pour les montants des châssis, a priori 60 mm pour le plan initial.
Tu peux augmenter cette valeur, surtout sur le montant central qui est flottant (tes montants latéraux seront eux fixés dans le tableau et ne bougeront pas).
Tu prévois une installation « en tunnel » dans le tableau ou bien en appui sur celui-ci ?
Cette dernière méthode « mange » un peu de place dans ta pièce mais te permet d’obtenir plus facilement une bonne étanchéité autour de ta menuiserie et une meilleure isolation thermique, si tu as une isolation intérieure.
Accessoirement, elle te facilite la fixation de celle-ci.
De simples équerres suffisent en général. Elles disparaissent ensuite sous l’isolant.
Au sol, tu as le choix : équerre ou plaque rapportée.
L’équerre restera visible si tu n’ajoutes pas de sol au-dessus. Dans ce cas, une plaque rapportée est plus discrète. C’est une patte métallique plane, fixée sous ton montant, puis vissée au sol.
Pour avoir les deux, ma scie à onglet est venue ensuite et sert bien moins : tronçonnage, pose de plinthes et parquets. Coupes spéciales grâce aux angles combinés.
En revanche, j’ai démarré en pro avec une scie sous table de chantier (Bosch GTS 10xc) qui fait encore des merveilles. Petit chariot certes mais tu peux allonger par des servantes devant et derrière.
Avec de bonnes lames, elle est précise et surtout tes coupes sont « répétables ».
Surtout, elle peut m’accompagner sur certains chantiers de rénovation grâce à son châssis sur roulettes.
Très polyvalent pour débuter.
Le hêtre prend bien la teinte. Sur de petites épaisseurs, son veinage plus régulier que celui du noyer, passera inaperçu.
Justement, le faible volume de bois justifie t’il de chercher un ersatz à teindre ??