Haha, merci smcj
Le No 8 de décembre 1949 permet de remonter le temps et comporte la liste:
Fascicules parus:
- No 1. — Introduction (prix : 10 fr). lien
- No 2. — Les cintres en bois pour ouvrages d'art, par M. Dunoux (prix : 180 fr). lien
- No 3. — Les cintres en bois pour ouvrages d’art (annexe), par MM. Dunoux et VALLETTE (prix : 160 fr). lien
- No 4, — Caractéristiques générales du bois de charpente. Propriétés et emplois des différentes essences, par M. CAMPREDON (prix :-140 fr). lien
- No 5. — La preparation du bois. Exploitation forestiere, abatage, séchage, : étuvage, traitement de conservation et de préservation contre le feu, par M. CAMPREDON (prix : 80 fr). lien
- No 6. — Travail des bois, par M. Lotte (prix : 120 fr). lien
- No 7. — Le trait de charpente (premiere partie), par M. J. JAROUSSEAU (prix : 120 fr). lien
- No 8. Le trait de charpente (deuxième partie), par M. J. Jarousseau lien
Pas de lien = pas trouvé par Bibi
Et ensuite, si on continue dans le temps:
- No 9, LES ASSEMBLAGES Par J. GREZEL, lien
- N° 10, EXEMPLES DE CALCULS DE CHARPENTES EN BOIS I, Par M. G. VRAIN, lien
- N° 11, EXEMPLES DE CALCULS DE CHARPENTES EN BOIS II, Par M. G. VRAIN, lien
- No 12, Étaiement, échafaudages, ouvrages spéciaux. lien
- No 13, G. VRAIN, Stabilité des constructions appliquée aux bois. Premiere partie : Statique graphique lien
- No 14. — Le trait de charpente (Troisième partie, l’escalier I), par M. J. Jarousseau. lien
- No 15, G. VRAIN, Stabilité des constructions appliquée aux bois. Deuxième partie : Calcul des systèmes constructifs en général. lien
- No 16, J. JAROUSSEAU, Le trait de charpente (Troisième partie). L’escalier II. Escaliers à volées droites et escaliers à marches balancées sur poteaux à quartiers tournants. lien
- No 17, F. X. BROCHARD, Trente plans-types de charpente en bois lien
Bon, pour l'instant, je suis allé des premiers numéros disponibles jusqu'à Mai 1960.
Bien joué smcj, à nous deux, on arrive à une liste complète !
Je te pique les liens des no 1, 2, 3, 6, et 14, qui m'avaient échappé.
Je les ajoute dans la liste de mon message précédent (que j'ai écrit petit à petit en plusieurs fois, nos messages se sont donc croisés).
Atelier Eustache tu as lu quoi du coup sur le piquage ?
Bon, je vais faire un document pdf qui rassemble tous les fascicules, avec des bookmarks qui vont bien. Ça y est, la machine est lancée je ne peux m'arrêter !
Atelier Eustache j'avais bien aimé Emy et Oslet quand je m'étais penché sur le piquage. Voir ici
smcj Atelier Eustache voici une première version du pdf qui rassemble tout.
Je prends les remarques et corrections.
J'ai téléchargé les versions pdf sur archive.org, et je n'ai gardé que les pages qui concernaient le manuel de charpente. J'ai ajouté les bookmarks.
C'est du vite fait bien fait, par forcément très propre.
48MB, 577 pages. Le poids mémoire est raisonnable.
(Une version noir et blanc me plairait pour impression, pour pas avoir les fonds de page, mais là c'est plus de travail donc pas maintenant.)
smcj Est ce que je peux te piquer ta belle page récaputilative pour la mettre en première page du document rassemblant tout les chapitres ?
la suite par ici
oui, il est également nécessaire de calculer les moments fléchissants dans les poutres pour déterminer leurs sections.
Car les sections ne sont pas issues directement des réactions des appuis, il y a un certain nombre d'étapes intermédiaires dans le calcul.
la trigo reste la meilleure solution !
Pour info, cette publication fait suite à la discussion qui se trouve dans la fiche du chapitre 9 sur les assemblages:
Encore faut il avoir les variations de conditions atmosphériques et des conditions d'utilisation pour pouvoir calculer les variations dimensionnelles, si tel est le but.
Car en soi, les coefficients de retrait volumique, tangientiel et total ne donnent pas vraiment d'information directement utilisable.
Et pourquoi pas une coupe oblique en sifflet ?
Le résultat est beau.
Toutefois:
- mettre des alèses sur un plateau en massif, c'est risqué, avec les mouvements du bois, cela risque de se décoller (les fils sont perpendiculaires...);
- pourquoi ne pas avoir fait les rainures des queues d'aronde à la main, puisque les queues ont également été faites à la main ?
- pour que ce soit réellement tarabiscoté, il faudrait une moulure !! Allez, on y est presque, sort le tarabiscot pour l'ajouter
- il n'y a pas de raison que le poirier soit moins solide que du chêne, pourvu que le bois soit sain.
Je valide ces deux références, riches en dessins
Il y a aussi
que l'on trouve facilement d'occasion, notamment sur Ebay, avec plus de texte et moins de dessins. Je ne sais pas ce qu'il vaut par rapport aux deux autres, mais je pense que c'est une référence valable.
Globalement, il y a peu d'ouvrages consacrés au meuble.
Sinon, avec un côté plus historique et moins orienté fabrication (quoique certains détails sont abordés, mais moins en profondeur), il y a les ourages de Havard (dont les livres, au passage, sont des objets absolument magnifiques):
De toute façon, faire cela avec une pièce massive et une feuillure, c'est quand même beaucoup de copeaux alors qu'il serait possible de rapporter une baguette carrée sur la traverse, collée + quelques vis...
yep, une scie égoine d'occas que tu affûtes pour déligner et ça ira très bien.
En prendre une qui est pas trop tordue, avec un manche en bois de forme ergonomique, et de la visserie en laiton : cela est gage de qualité, même si on ne voit plus la marque sur la lame (Goldenberg, Peugeot, Fischer, ...) qui en général est très légèrement gravée (chimique) et s'efface avec le temps.
Oui, 60cm c'est une bonne longueur pour ce genre de travaux.
un beau site sur les herminettes
Bingo, platane pour les alèses du plateau et les pieds, hêtre pour les cotés des tiroirs, résineux (pin ?) pour les faces des tiroirs.
Exotique (CP ?) pour le plateau.
Pas courant le merisier pour une scie !
Je ne me rends pas compte, ça donne pas un outil trop lourd ?
Traditionnellement, sapin léger pour le sommier, frêne pour les bras
Il est sympa ton établi. Tu le présenterais ?
Tu es gaucher ?
Je dirais plutôt que c'est un instrument, pas un outil
Mais qu'est-ce que l'outil ? Ou plus franchement : que voulons-nous qu’il soit pour donner cohérence et passion à cet ouvrage ? Dans la multitude érudite, sommaire ou incompréhensible des définitions, il en est une, célèbre, qui dessine le cadre et suggère les raisons de notre recherche ; elle est extraite du Dictionnaire Universel du XIX° siècle de Pierre Larousse : « On ne désigne, à proprement parler, sous la dénomination d'outils, que les instruments de travail qui sont maniés par la main même de l’ouvrier, tels que la pince, le marteau, la râpe, la lime, la scie, le rabot, la truelle, le tranchet, le vilebrequin, le composteur, le polissoir, etc. Les autres engins qui ne jouent dans le travail qu’un rôle en quelque sorte passif, tels que l’établi et le valet de menuisier, l'enclume du forgeron, l’étau du serrurier, la forme de l'imprimeur, sont des instruments plutôt que des outils. Il en est de même pour les appareils qui, agissant directement sur la matière, mus par un moteur quelconque, servent à la fabrication sans être conduits, guidés, maniés par l'ouvrier ; ce sont alors des machines, des appareils ou encore des instruments. »
Il y a visiblement d'autres articles dans cette série, tous publiés dans les Annales de l'institut technique du bâtiment et des travaux publics.
Avec notamment le n°8, publié dans le numéro 104 de décembre 1949, intitulé: Manuel de la charpente en bois, n°8, le trait de charpente, deuxième partie. (cf dernière page du présent document pdf, qui le mentionne).
Impossible de mettre la main dessus, je ne sais pas s'il existe des archives numériques de cette revue...