Beau projet! Pour le plan de travail, je trouve dommage de prendre un lamellé (surtout abouté) du commerce. Il n'y a pas de grande longueur, tu dois pouvoir faire un beau panneau en lames 'larges' (120 pour la stabilité je dirais, les autres plus expérimentés confirmeront ou pas !), à la rigueur une clef en dessous pour le maintenir...
Le chêne exposé à l'eau en intérieur j'oserais pas trop, parce qu'il faut bien le vernir (et boucher les pores).
Perso je me suis fait un plan de travail en hêtre huilé pour une buanderie. Mais ça ne me gêne pas s'il se déforme un peu et je peux repasser un coup d'huile dès que ça ne perle plus. Pour une cuisine, hormis le stratifié (que j'aurais aimé évité mais je suis passé par un cuisiniste faute de temps...) je ne vois que la pierre ! Le zinc posé par boris dans ton inspiration est très beau, mais c'est plus contraignant à l'entretien. La pierre est parfaite pour une cuisine, surtout si tu travailles des pâtes (boulange etc.) je regrette vraiment de ne pas l'avoir fait chez moi.
Merci de l'idée. C'est effectivement une possibilité, qui évite le risque de détremper le fer mais qui reste "consommatrice de matière"; je me demande même si on dépasserait pas les 6mm.
Ça pourrait être une idée... mais après avoir repris le fer en main: il est entièrement asymétrique. Je me retrouve donc bel et bien avec un bouvet racloir 
Bel hommage au (beau) travail de Julien Hardy! Pour l'exécution, tu aurais peut-être eu plus vite fait avec un rabot à main pour le biseau, plutôt que de devoir rattraper les dégâts de ta fraise!
Les vis laiton comme poignée, j'aime beaucoup! tu les as retravaillées pour qu'elles ne soient pas trop désagréables à la prise en main?
Kentaro on a eu les mêmes jeux gamins ;) C'est vrai que ce principe est fascinant. Petit, il fallait que je mette tout mon poids pour démarrer la meule. Mais une fois partie, il suffisait d'une petit pression pour entretenir la rotation et rien ne l'arrêtait! Mon premier opinel a maigri bien vite à force de jouer avec ça!
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Toujours intéressant ce genre de calcul. Personnellement, j'ai du mal à comprendre que l'on cherche à reproduire artisanalement des meubles désigné pour de l'industriel: assemblages nécessitant de la quincaillerie (qui double presque le coût matériau de base!) et des gabarits et outils spécifiques alors que l'aspect démontable n'est pas nécessaire, fond qui ne peut pas être montré... Je comprends bien, hélas, que les meubles industriels nous ont habitué à des meubles tout carré sans aspérité avec des charnières énormes et que c'est une demande des clients, mais comment battre ikéa sur ce terrain? À faire du petit meuble, le massif me semble plus pertinent (pour de l'agencement, c'est une autre histoire).
Pour le coût horaire, sur les 4h, je ne suis pas sûr que ça compte le temps passé à démarcher, à faire des devis (pour un projet facturé, combien de devis refusés?), faire la compta, nettoyer l'atelier...