Merci pour ton commentaire.
Oui c'est vrai pour les charnières, en les mettant sous les tranches ça aurait été plus discret avec des entailles pas plus compliquées à faire. Je n'ai pas suffisamment réfléchi et j'ai fait ce choix trop vite après avoir abandonné des charnières piano qui me semblaient trop juste et trop chères.
Merci.
Tout à fait pour les bonnes pratiques que tu indiques. À l'usage je me contente de 20kg par tiroir je pense, et je charge moins le devant.
Tout à fait, les roulettes sont l'alternative plus raisonnable. J'y ai pensé pour le prochain aménagement que je vous présenterai.
Ici, l'avantage de ne pas rouler au sol est de ne pas être gêné par le "trou" de parquet à l'endroit de l'ancien rail des portes coulissantes. Également, vu que de toute façon je devais faire des glissières pour les tiroirs du haut, j'ai généralisé la technique.
Bonjour. Je pense qu'il faut faire l'inverse. Il faut que l'échangeur échange de l'air, donc soit forcé à l'expulser et/ou l'aspirer dehors. Si il y a beaucoup de volume intérieur, et des pertes de charge vers l'extérieur (les persiennes), alors il est très facile pour l'air de recirculer à l'intérieur. Au contraire, avec peu de sections de passage intérieures au caisson, l'air est plus facilement forcé vers l'extérieur.
Bravo pour la réalisation, ça donne envie d'avoir la même chose.
A propos des roulements de roue, la récupération est une super idée, donc dans ce cas ce qu'on a est le bon choix
. Mais si quelqu'un d'autre souhaite faire un mécanisme du même genre en devant trouver son matériel, alors il existe des roulements de roue automobile avec une bride à boulonner côté châssis, et un moyeu tout prêt à recevoir une roue de l'autre. L'interface mécanique est donc très simple pour bricoler soi même.
On en trouve sur de plus en plus de véhicules divers, voire en neuf pour des prix pas forcément exagérés (j'ai pris n'importe quels exemples ci-dessous). Ca existe:
Pour roues non-motrices. C'est l'idéal pour une remorque, car le moyeu inclut un bouterollage (un bourrelet formé qui "ferme" le moyeu après qu'il ait été inséré dans le roulement) qui précharge le roulement par lui même. Ce que ça veut dire en français est qu'il n'y a rien d'autre à faire que boulonner ce système sur un châssis. ca se reconnait par le fait que moyeu n'est pas "troué" avec des cannelures, et par le "bourrelet" de bouterollage qui serre le roulement par l'intérieur, cf la vue en coupe à ce lien : auto-doc.fr/ri...skaAq2JEALw_wcB
Pour roues motrices. Pas l'idéal pour faire une remorque car le roulement est prévu pour être préchargé via la transmission que l'on serre. Ca n'est pas à écarter en récupération pour autant. Si quelqu'un en récupère un de ce type, alors il faut mettre un boulon qui serre le roulement par l'intérieur en lieu et place de la transmission. Sans cela le roulement ne sera pas préchargé et va vite être détruit. On en revient alors au cas précédent où il n'y a qu'à boulonner chaque interface côté roue et côté châssis. Ca se reconnaît parce qu'il y a un "trou" cannelé au centre du roulement, et pas de bourrelet. (NB : il existe aussi des roulements avec transmission, mais préchargés par un bouterollage. Il doit y avoir ce bourrelet de moyeu qui "appuie" sur la bague du roulement côté intérieur, en ce cas rien à faire, il y a un trou pour la transmission qui ne nous intéresse pas). Voici un exemple (sans précharge par bouterollage, donc nécessitant un boulon à l'intérieur du moyeu) : auto-doc.fr/moog/14360889
Désolé si c'est un peu difficile à comprendre, j'espère avoir aidé quelqu'un qui souhaiterait faire un tel montage avec une méthode pratique où on boulonne directement un roulement sur un châssis.
CoB34 en effet, une fois usés, il faut remplacer tout le module. Mais normalement, si correctement préchargé, la durée de vie devrait être quasi infinie dans un usage comme ça.
Comment l'isolation de la partie en pierre est-elle faite ? Il y a une isolation par l'intérieur ?
Je me suis toujours demandé comment marier au mieux la partie bois qui peut être très isolante, et la partie pierre qui peut apporter une inertie thermique très appréciable... à condition de ne pas l'isoler par l'intérieur... et garder un beau cachet... à condition de ne pas l'isoler par l'intérieur ! 


C'est bien sûr que les arbres ont des branches et donc des noeuds, et on peut en faire quelque chose malgré tout, ça dépend des envies, du budget et surtout de la destination des pièces.
Cependant je nuance un peu pour ce qui est du bois d'œuvre à destination de menuiserie et ébénisterie. Dans une futaie bien gérée, il est normalement possible de soumettre les tiges à la bonne concurrence de lumière, afin que dans leurs premières années de pousse les arbres ne se concentrent qu'à filer droit en hauteur sans branches. À partir de là on peut les éclaircir de manière à laisser les plus beaux sujets grossir en diamètre et constituer un gros houpier uniquement tout en haut. À la fin on peut ne récolter que des fûts droits sans noeuds pour en faire du sciage, le houppier faisant bois de chauffage ou matière organique restituée au sol.
Ce commentaire simplement pour dire que ce n'est pas forcément "du luxe" d'avoir des ouvrages sans noeud, c'est tout à fait possible. Plus que le rôle du menuisier, c'est le métier du forestier ! Quand des marchands vendent du bois plein de noeud, c'est plutôt eux qui n'ont pas bien fait leur travail.