517 commentaires
Medalegno
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Mekanika est certes sérieux, mais dans son créneau.
Ça reste des machines de construction relativement légères, destinées à des usinages légers, peu exigeant en termes de puissance et de format. Qui s'adresse à des pros se limitant à ce type d'usinages, voire à des amateurs+++
Et finalement très chères, par rapport à leur construction.
😉

Medalegno
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OK, tu en as vérifié l'hygrométrie ?
Je ne sais rien de ta connaissance du sujet, mais un stockage de dizaines d'années ne signifie en rien que c'est ultra archi sec. Le bois s'équilibrant, ou s'adaptant à l'hygrométrie ambiante de l'endroit ou du local où il est stocké. Un bois peut très bien reprendre de l'humidité, comme en perdre ou reperdre, même après des années.
😉

Medalegno
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Si tu veux quelque chose d'invisible (ou presque, hormis un perçage), tu as aussi la solution des Clamex, de chez Lamello, proposés par Ara. Mais ça nécessite d'avoir une Lamello Zeta P2.
En invisible, et surtout pour plusieurs montages et démontages, tout système ou quincaillerie ce que tu trouveras n'aura la résistance que lui permettra tes panneaux. A savoir, bonne pour le CP bouleau, et moyenne et de + en + faible au fil des remontages concernant le méla.
Plus résistantes et durables, il y a des solutions, mais visibles.
😉

Medalegno

(J'aurais dû dire, visibles et moches) 😆
Et bien, des tasseaux, des cornières vissées...

Medalegno

dBPs Je ne sais pas lequel est le clone de l'autre, mais les ressorts de sommier, je connais depuis ma jeunesse (pour ne pas dire, mon enfance) lorsque je faisais mes premiers copeaux dans un atelier où j'adorais passer du temps, (accepté et guidé par le tenancier du lieu). Lui-même connaissant cette pratique depuis longtemps sans doute. Il (ou on) s'en servait pour tenir et coller diverses moulures ou autres pièces qui nécessitaient un maintien, mais sans trop de force. La pince à ressort, qui offre un serrage bien plus fort, ça n'est que des années plus tard, que j'ai découvert.
😉

Medalegno

Ah, et les griffes, en anglais "pinch dogs", nous faisions l'équivalent en les découpant dans des lames de faucheuses, récupérées chez des agriculteurs ou à la forge du coin. 😜

Medalegno
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Oui ! ça n'est pas fait pour être utilisé seul. Domino, lamello ou tourillons doivent être là pour assurer le bon positionnement et le maintien à la bonne place des éléments. Les "Rastex", juste pour assurer le serrage.
PS. On peut aussi très bien se faire des gabarits en bois. Une imprimante 3D n'est pas indispensable.
😉

Medalegno

BaptisteC
Tu parlais de perceuse à colonne, mais tout est réalisable même si on n'en a pas.
Avec 2 gabarits de perçage, (qui peuvent être sur le même), dans le cas des boîtiers. Ça peut très bien se faire en panneau ou en massif, sans avoir nécessairement besoin d'imprimante 3D. Si tu veux un minimum de précision, un tel gabarit de perçage est indispensable... mais après, effectivement tu peux toujours faire sans, tu y arriveras... peut-être 😂

Medalegno

Le plus courant, je ne sais pas. Qu'il y en ait plus aujourd'hui, c'est un ressenti que j'ai aussi, mais sans certitude.

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours connu des vernis qui s'appliquaient en 2 couches d'un même produit avec égrenage intermédiaire, que ce soit dans les gammes vendues dans les anciennes quincailleries de ville, puis les gsb, puis dans des gammes pro pour peintres (ces derniers vernis, déjà employés par des menuisiers, en chantier ou artisans et petites structures).
Dans des entreprises de menuiserie, fabrication de meubles ou agencement, j'y ai toujours connu les deux, fond dur + vernis ou bi-couches. Les bi-couches s'y sont aussi depuis développés, améliorés, devenus plus polyvalents, c'est vrai. Mais aujourd'hui, au moins dans des entreprises qui appliquent un peu de volume, les formules FD + Vernis restent très employées.

Medalegno
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Oak Pour des utilisations réduites, c'est sans doute plus intéressant et économique. Mais comme je disais plus haut, des boites qui appliquent du volume, sans être industrielle pour autant, loin de là, y trouvent d'autres avantages.
... Selon les bois sur lesquels on applique, suivant la finition finale recherchée. Suivant l'équipement, aussi. Pistolet(s), cabine d'application,etc.
😉

Medalegno
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Préparer pour la finition, oui. Mais remplir les pores, ça n'est pas la vocation d'un fond dur. Ça, c'est celle d'un bouche pore. Même s'il est vrai qu'avec un bois aux pores peu ouverts, un fond dur s'approchera de ce que fait un bouche pore. Au moins les premiers temps, car avec la désolvatation, ça finit toujours par "s'enterrer" un peu.
😉

Medalegno

JMarieG
Si ta question initiale, ce qu'il me semble percevoir maintenant, se serait transformée en "Comment se lancer dans le tournage sur bois", je te conseillerais (une nouvelle fois, je le disais déjà dans une autre réponse) de commencer par visionner quelques ou beaucoup de vidéos YouTube. Il y en a plein sur ce thème. Mais peut-être l'as-tu déjà fait.

Ensuite, si tu es déterminé à te lancer, suivant ton budget, tu peux trouver un tour d'occasion (sur LBC ou autre). Parce que si tu vas sur du matériel de qualité, même amateur, le budget peut monter très haut, très vite !... Et on en voit beaucoup, notamment dans les mêmes annonces LBC, qui vendent du matériel de tournage, acheté parce qu'attirés par cette pratique, et qui le revendent, soit parce qu'ils n'y arrivent pas (souvent faute de bons conseils pour démarrer, d'ailleurs) ou qui s'en lassent rapidement. Revendus parfois très vite, d'autre fois après avoir trainé des années dans un coin.

Pour un tour amateur correct (et pas les premiers prix), l'achat des divers accessoires, mandrins, tu peux vite atteindre les 1000€... et si tu veux être encore mieux équipé (matériel d'affutage adapté avec supports et gabarits adaptés, en plus, par exemple), les 1500€ ne sont pas difficiles à franchir.
Mais il est vrai que des amateurs passionnés franchissent allègrement ces montants indicatifs !
Pour ma part, en un peu plus d'un an, je suis au-delà des 2500€, inclus quelques autres accessoires et outils annexes, petit réaménagement d'une zone de mon atelier, électricité, éclairage, accessoires d'aspiration et scie à ruban d'occasion (et j'en oublie certainement).
Tu parlais d'acheter du matériel de "qualité pro", mais là, tu peux multiplier tous les montants indiqués par 2, 3 ou 4... Après, savoir quels sont des prix raisonnables pour un amateur ? Et bien, je dirais que tout dépend des moyens du dit amateur.😜

Bonne continuation ! 😉

Medalegno
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JMarieG Je n'étais pas sûr de bien comprendre ce que tu entendais par "usiner à la volée"... mais comme tu dis dans la même phrase que c'est pour éviter la complexité à réaliser et régler un support. 😳😱

Alors, un support d'outil est indispensable, oui !
Maintenant, à défaut d'un support classique en métal, réglable dans tous les sens et angle, tu peux te dépanner en faisant un support en bois ou contreplaqué, par exemple, vissé sur la table ou sur la surface où est fixée ton tour. Avec une cornière acier sur le chant pour faire glisser l'outil. Ça restera une solution de dépannage, mais sans support d'outil, tu n'arriveras à rien, et encore moins de diamètres précis.

Sion, c'est quand même mieux d'avoir une contre pointe, au moins pour les phases de dégrossi.

Vois tout de même quelques vidéos sur YouTube sur le sujet du tournage, (il y en a plein) pour acquérir au moins quelques notions, avant de te lancer.
😉

Medalegno

OK Je suis rassuré (pour toi ! 😉) sur ce point.
Par contre, je viens de voir tes photos... Étonnant, ce tour 🤔
Fabriqué à partir de pièces d'un tour plus gros, et complet ? Peut-être pour un usage très particulier ?
Ou alors un truc sortant de l'armée, d'après la couleur et le numéro...
Mais qui pouvait bien servir à quoi ???

Ce que je peux dire, c'est que le mandrin n'est pas du tout adapté au bois, car ne présentant pas suffisamment de surface pour serrer en sécurité. Pour du métal (qui est dur), pas de problème, mais pour du bois, ça viendra le poinçonner, jusqu'à l'écraser et rentrer dedans, sans jamais bien le serrer.
Il n'y a possibilité de le changer ? Pour cela, il faudrait démonter le carter qui l'entoure (si possible), et voir comment il est monté...

Medalegno

Je suis d'accord. Mais je vois beaucoup de ces assos, qui ne comptent que sur leurs bénévoles, je voulais dire.
😉

Medalegno

cocoM Il y a certainement des gens plus connaisseurs que moi sur la réglementation applicable aux assos, je le reconnais sans peine. Maintenant, mon idée n'était pas de porter le débat là-dessus.
Ce que je voulais dire, c'est que beaucoup de structures de ce genre sont gérées par des assos parce que générant trop peu de chiffre d'affaires pour pouvoir avoir des salariés. Et donc, qu'il est difficile d'y envisager une reconversion professionnelle.
😉

Medalegno

OK
Pour les chants de MDF, astuce empirique, mais qui pour des produits phase aqueuse ne présente pas de risque d'incompatibilité : enduire tes chants de colle vinylique 😉

Medalegno
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C'est quoi, une "penture à noeud", dBPs ? 🤔
Moi pas connaitre... en tout cas sous cette appellation...
😉

Medalegno
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cocoM Ah OK... je cherchais un type de serre joint s'appelant comme ça ! 😂
Par contre, je ne vois toujours pas où on met le 3ème serre-joint !?!?

... ou alors, en fixant les deux pièces, chacune avec un serre-joint, et en fermant la penture ensuite. Puis en maintenant le tout avec le 3ème ? OK
Par contre, si ça marche pour des coupes isolées, ça ne marche pas pour la dernière d'un cadre fermé, si c'est bien cela.
😉

Medalegno

cocoM
OK. Mais avec un tel système, difficile "d'obtenir un serrage fort", comme il le demande. Pour le serrage, on est limité au jeu que peut avoir le nœud. Et ça reste un peu bricolo, alors qu'il y a des solutions simples, et plus efficace, pour serrer fortement.

Medalegno
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Là d'accord ! On peut serrer fortement, et pour pas cher.
😉
Ou sinon, je me fais ce genre de chose ⬇

Medalegno

cocoM Les tasseaux, ou cales de tirage, ce sont bien les solutions simples et pas chères que j'évoquais dans un autre commentaire. 😜

Medalegno
Je suis d'accord

Si en massif, mais si le bois est sec, le risque de retrait sera minimisé (même s'il existe toujours).
Mais vu la constitution de ta chaise, benjam, les éventuels mouvements entraineront les pieds. Pas de grand risque, donc.
😉

Medalegno

Mon écran va bien... je ne vois pas tout en brun 😜
Pour le frêne olivier, il a souvent des variations de couleur entre zones foncées et zones claires. Il est rarement uniformément brun comme celui-ci. Idem pour le noyer, mais ici, aucune (moins pour du US, c'est vrai). D'où ma question.
Mais si tu as ta réponse, (que je n'avais pas), bon travail avec ce bois.
😉

Medalegno

Pour en avoir utilisé en tant que professionnel depuis largement plus de 40 ans, les scies radiales sont certes, de construction plus robuste, mais parce que d'abord destinées à des travaux lourds, de tronçonnage de massif principalement. (D'où le fait que les tables et les guides sont souvent très abîmés, sur celles qu'on trouve dans les ateliers).
Les lames qui les équipent sont prévues pour ces gros tronçonnages, et on trouve peu de lames fines aux dentures adaptées pour des travaux fins. Ces lames sont plus sujettes aux vibrations, du fait de leur grand diamètre.
Les pertes de précision, sont proportionnelles à la longueur du bras ou du développement, sur les deux types de scies. On en a donc également sur les grosses scies radiales.

Concernant les scies dites à onglet, elles existaient bien avant que ne se généralisent les scies que tu appelles "de chantier" dont tout le monde s'est équipé aujourd'hui, y compris amateurs. Elles étaient la plupart du temps stationnaires et de construction plus lourde que celles que l'on connait aujourd'hui.

Si on s'entend bien sur le terme de "précision", il est difficile d'obtenir des coupes d'onglets aussi précises et propres pour des petites moulures, de cadre, des pare-closes, par exemple sur une radiale qu'avec une scie à onglet (à condition que celle-ci soit de qualité correcte, bien sûr).
😉

Medalegno
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Erebor Il pose sa question à des français... Je réponds donc pour ce qui nous concerne. (d'ailleurs, si ça question est en anglais, je ne vois rien qui me dise qu'il soit américain). J'ai eu bien assez à faire à connaître le mieux possible le matériel auquel nous avons accès ici, et à savoir comment l'utiliser au mieux. 😉
Maintenant, quand on fait un tour dans un atelier pro, ils sera courant de voir une ou des scies à onglet à proximité des zones de montage, pour toutes les coupes de finitions... Et la radiale dans un coin de l'atelier réservé au débit massif, quand pas recouverte de sciure ou de chutes 😆
Ça n'est sans doute pas par hasard.

À propos des machines actuelles, je te répondais sur le fait que tu disais que les scies à onglets avaient été inventées comme scies de chantier. Mais elles existaient bien avant, en scies stationnaires d'atelier. Mais il est exact que les scies à onglets actuelles les ont souvent remplacées, y compris en atelier. Les scies actuelles ayant la possibilité d'être inclinées, en plus d'être orientées, ce que n'avaient pas les anciennes scies stationnaires.
😉

Medalegno
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( après à voir en fonction de la taille qu'ils doivent faire)

C'est en effet la question que je lui posais, car pouvant être déterminante, pour la manière de les faire.
J'ai l'impression d'y voir des tabourets, pour enfants, peut-être. Donc les pieds seraient, dans cette hypothèse, un peu volumineux et de diamètre important pour les faire au tour... Mais comme il n'a pas répondu ou apporté des informations complémentaires, nous ne pouvons rester que sur des suppositions...😟
😉

Medalegno
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Bonjour Fabien.
En précisant "sans persiffler", c'était justement pour ne pas être condescendant, et (tenter de) ne laisser aucun doute sur le sujet. Et bien, désolé de m'être mal fait comprendre, alors.
On ne sait pas forcément, lorsqu'on vient répondre ici, le niveau de connaissance de l'interlocuteur, sur le sujet sur lequel il pose une question. Et pour ma part, j'essaie de comprendre et envisager toute possibilité, en ce qui concerne ses compétences, et m'y adapter et me mettre à sa portée.
Sachant que de plus, dans quelque réseau d'échange que ce soit, les réponses écrites, et en seulement quelques mots, peuvent vite être mal interprétée ou toucher la susceptibilité de l'interlocuteur, par rapport à ce qu'une discussion en face à face donnerait, et qui permettrait immédiatement de lever tout doute... ou même éviter qu'il ne s'installe.
C'est raté semble t-il, et c'est même l'effet inverse qui se produit. Que faire, alors ? Ne plus répondre ? 😟