dneis Merci pour les infos, je ne connaissais pas l’essence de l’insert.
Alcool à 90 ou 95. En fait il faut d’abord identifier la finition : gomme laque, ciré, vernis modernes, à l’aide des différents solvants : alcool, white-spirit, acétone. Ensuite je frotte. J’utilise parfois la laine d’acier 000 avec les solvants.
Merci sylvainlefrancomtois !
Merci Sylvain mais j’aurais dû préciser que les chevilles ne sont pas traversantes.
Merci sylvainlefrancomtois !
Comme tu peux le lire dans la question revisité j’ai découvert que ce sont des chevilles métalliques, donc le chasse-goupille s’impose. Je ne m’attendais pas à ça sur des fenêtres anciennes.
C’est l’idée que j’avais mais comme j’ai découvert qu’elles sont métalliques le chasse-goupille c’est tout ce qui me reste.
sylvainlefrancomtois
Effectivement,au premier regard : gueule de loup, noix/contre noix, château construit fin 18ème; je me suis dit pourquoi pas fenêtres d’origine. Mais une fois démonté c’est bien début 19 ème.
sylvainlefrancomtois
Yes, j’ai vu, les mortaises sont aussi faites avec une sorte de perceuse et les tenons sont ronds aux extrémités.
Merci sylvainlefrancomtois !
Erebor j’aimerais bien être capable de l’avoir fait!
J’ai trouvé ça sur lbcoin, ça m’a l’air de ressembler.
dneis je l’ai mis parce que le fer est marqué « WOLFF » et le rabot est en chêne vert. J’ai aussi trouvé deux « moutons » Mines de Suède, par contre je ne trouve rien pour les noix et contre noix des montants des dormants.
dneis sur le lien que tu m’a envoyé il y a Johann Heinrich Wolff qui crée une métallerie en 1843 à Ulm.
Par la suite il semble que les Wolff aient travaillé pour l’initiateur d’Ulmia Georg OTT qui a débuté également à ULM en 1877.
Merci sylvainlefrancomtois !
En je ne faisais pas la différence, pour le site sur les croisées je connaissais car l’un des rédacteurs me l’avait indiqué, c’est vrai que c’est génial. Entre noix et gueule de loup c’est quoi la différence, la taille ou autre chose?
Ce très bel objet m’interpelle car de prime abord il semble réalisé à la machine mais plus on l’observe et plus on se dit qu’il a été fait à la main. Même l’assemblage à double rainure et languette n’est pas courant et les surfaces semblent corroyées à la main.
L’inscription dans fer a été clairement forgée à chaud dans le métal, donc pour moi pas un boiseux. Toute la construction s’est faite au trusquin, on le voit sur la photo que j’ai rajoutée, il y a même deux lignes qui devaient servir à régler le guide car elles figurent sur les deux extrémités.
Je suis un ancien garde forestier, le charme à une écorce gris uniforme et cannelée longitudinalement.
Impressionnant, faut le moral pour s’attaquer à un tel projet!
Au vu des dernières photos ça pourrait être un aulne.
Les feuilles de l’aulne sont doublement dentées, il y a d’ailleurs diverses variétés d’aulnes. Les feuilles sont disposées en alternance.
Il est effectivement possible que l'outil ai été détourné, il y a la trace de deux vis plantées un peu n'importe comment dans la semelle pour y fixer un guide certainement.
C’est effectivement un rabot à crémaillère, merci pour vos propositions. J’ai trouvé des photos, mais le diagnostic est désastreux.
C’est effectivement un rabot à crémaillère, merci pour vos propositions, j’ai aussi trouvé des photos.
Malheureusement le diagnostic est désastreux, pièce rapportée vermoulue et mal remise en place à l’aide de vis, un clou dans la lumière du grain d’orge pour repousser le coin qui a fendu le bois du corps et impossible à retirer, un fer qui ne semble pas d’origine, certainement pas assez large et qui a nécessité le raccourcissement drastique du coin. Je pense que je laisse tomber la remise en état.
Laquelle ?
Merci sylvainlefrancomtois !
Et à tous pour vos contributions, demain je le sors du congélateur et je fais un essai, je vous tiendrai au courant.
Faire ses outils soi même, plaisir et satisfaction! 
Très réussie, ça fait même rêver les grands!
Bien sûr, l’huile de lin nourrit le bois et la gomme laque le protège. Si j’ai pu nettoyer les rabots aussi efficacement c’est bien parce que les anciens les ont traités à la gomme laque.
En même temps comme les ébénistes d’il y a un siècle je suis très attaché à l’esthétique des outils.