Bonsoir, je ne sais pas si ce genre de demande est autorisé ou non ?
Je suis à la recherche de l'article sur les rabot Japonais dans la revue Le Bouvet n°194 janvier-février 2019.
Si quelqu'un l'a en sa possession et peut me fournir un scan je lui en serrais très reconnaissant !
1 réponse
Ce que j'en dis, c'est que la revue complète peut encore être commandée pour 5€50 sur la boutique de BLB ... mille fois mieux qu'un scan. Parce que ça fait vivre la revue et les auteurs qui y écrivent !
Ce n'est pas tant une histoire de prix c'est plus que j'ai pas trop d'utilité d'avoir une version papier et ils proposent que cela à l'achat, c'est juste une histoire de curiosité qui ferrais faire imprimer une revue et la faire expédier...
Ca serait un peu comme manger un biscuit en ouvrant un paquet dans une épicerie. Et sortir sans acheter le paquet parce que sur le coup, on a pas assez faim pour manger tout le paquet.
Les biscuits ne sont pas en vente à l'unité, parce que dans ces conditions, ils seraient plus cher à commercialiser.
Les biscuits sont en paquet parce que ça forme un tout qui lui donne une pérennité.
Le paquet une fois chez toi pourra même faire la joie d'une autre personne.
Bref, il y a une économie qui n'est pas que celle des géants qui veulent te faire consommer. Arrêtons de considérer que ce qui n'est pas matériel est gratuit et peu s'échanger à loisir.
La revue est déjà imprimée. Ils vendent les stocks. Ce qui a de la valeur c'est le travail qui a été accompli pour l'éditer. C'est ça que tu achètes, pas du papier.
Boris Beaulant a raison et sa métaphore est bien choisie.
+1 avec trente six seb ! Les revues sont déjà imprimées. Donc prêtes à être achetées et envoyées.
Je voulais brusquer personne, si j'avais supposé que ça aurait été comme un tel affront je n'aurais jamais posé la question.
Dans mon école on pratique beaucoup cela entre étudiant et sincèrement je voulais pas susciter de l'animosité...
Je vais laisser le paquet de gâteau dans l’épicerie en attendant d'avoir une faim insaisissable.
Arf, il n'est pas question d'animosité. Mais d'être conscient de la réalité.
Je sais très bien que dans les écoles ou les groupe de copains, etc ... on s'échange ce genre de contenu par divers format de copie.
Mais ce n'est pas parce que c'est une apparente normalité que c'est pas sans conséquences.
Si demain (et c'est bien parti pour), la vente de magazines ne se fait plus par un achat direct, mais chacun en préfère une version numérique duplicable et gratuite. Le modèle économique qui permet aux maisons d'éditions d'exister et de payer des auteurs se transformera. Il tendra certainement vers le model phare d'Internet qui est le financement par le publicité.
Or, si on déroule à long terme ce modèle du financement par la publicité, on se rend compte que notre magazine, on l'a payer par une surconsommation d'autres produits et on risque fort de le payer plus cher que sur l'achat ponctuel.
Sans compter que dans ce processus, les créateurs originaux du contenus échangé (l'article), sont les derniers à voir le petit centime qui pourrait leur revenir alors qu'ils sont la base de la richesse créée.
Acheter un magazine (de presse spécialisée comme celui-ci), c'est donc raccourcir les circuits de financement et redonner plus de force économique à la source, aux vrais créateurs des contenus et donc de la richesse.
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