Chez moi on descend à l'endroit, mais règle n°1 à respecter coûte que coûte : on ne fait JAMAIS demi-tour ! Et tu as raison, on se tient à la rampe...
Arrrrrrhhh ! Ça m'éneeerve ces trucs ! Même avec les explications je n'y arrive pas...
j'avais peur que les enfants en jouant aient le mauvaise idée de mettre le fiche dans un prise de courant
Et alors ? C'est pas grave, il faut que les enfants fassent leurs petites expériences eux-mêmes !
"Défumer" ??
En tout cas tu sauras quoi faire de tes copeaux !
Ah mais qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour attirer l'attention des gens !
Et... dis-moi... ça tourne dans quel sens ce coup-ci ? 
Très beau et en effet, voilà des pièces "tout carré" qui restent compréhensibles et "simples" à fabriquer (je veux dire : sans tournage et sans sculpture). Bonne idée !
Qu'il ait été scié en 2012 ou en 1962, c'est pareil ! S'il est stocké dehors depuis plusieurs mois, il s'est stabilisé à l'hygrométrie ambiante. Et l'été, il est à la même hygrométrie qu'à l'intérieur de la maison puisqu'elle est aérée et pas chauffée. Donc en travaillant le bois l'été tu ne prends pas de risque à le ramener à la maison. L'hiver par contre, il faut bien anticiper le % de retrait quand tu le rentres.
Oui tu as bon ! Quelques explications supplémentaires ici :
(je fais mon auto-promo, mais c'était le but !)
On entend souvent : "j'ai récupéré du bois qui a séché pendant 60 ans" sous-entendu qu'il ne va pas travailler. Grossière erreur ! Il travaillera comme n'importe quel autre bois (je fais abstraction du bois "fraîchement coupé", je ne parle que du bois qui a déjà séché naturellement ou en étuve).
Mais dans ton cas, si le bois est à l'équilibre, que tu le travailles cet été, que tu le rentres dans une maison dont le chauffage n'est pas nocif, et qu'il n'en sort plus, alors il travaillera peut-être un peu dans les premières semaines et puis fini. Si tu fais une fixation pas trop rigide (avec la clavette ou des trous oblongs), ça ne risque rien.
Que du bien ! Je pense que c'est riche car convaincu que tu n'auras que peu de variations, mais comme on dit : "qui peut le plus peut le moins".
Superbe ! Tu nous la montreras une fois montée ?
Très joli, bravo !
Oups ! Je n'avais pas vu que c'était toi l'auteur de cette porte jusqu'à ce que je voie la photo de la boucherie !
Elle est superbe cette porte !
Oui (en fait il n'y a pas de doute, c'est bien ton pseudo !) mais je ne l'avais pas regardé, et en voyant cette histoire de béarnaise je pensais que c'était un boiseux béarnais qui présentait sa porte. Le cerveau nous joue parfois de drôles de tours ! Mais finalement l'atelier est bien reconnaissable, tout comme le carrelage de Boris d'ailleurs.
Mais c'est génial !
(il suffisait d'y penser...)
JPM sur l'image tu considères que le rectangle jaune, c'est la pièce de bois. Le machin de Mig a deux petites bibites qui dépassent, une à chaque extrémité. Donc on le place de telle sorte que chaque bibite glisse sur le flanc de la planche, et le stylo va tracer une parallèle aux flancs. C'est le même principe de base que ceci :
(qui ne permet que de tracer le milieu, mais si tu as plusieurs trous, tu as alors le choix)
Les tiroirs qui suivent le fil du bois... j'ose un gros mot : putain que c'est beau !
On reconnaît bien le style Beaulant, à force, et, hem... on ne t'appellerait pas Monsieur Bibliothèque, des fois ?
De toute façon, si tonio veut faire de l'agencement, soit il sait déjà faire et il fait un CAP menuisier installateur en candidat libre (sans formation), soit il doit se former, d'une manière ou d'une autre, mais en menuiserie d'agencement. Si l'école Boule n'y prépare pas, no way !
Je me permets de remonter la réponse parce que malgré le côté un peu "fighting" qu'on peut y voir, l'ensemble de la discussion est intéressante. Or le -1 +1 = 0 donnait un air de "désintérêt" à la réponse.
Ouh-làà ! Rangez les couteaux les gars, buvez un verre d'eau... il fait un peu frais pour la mi-saison, vous ne trouvez pas ?
Oui, reste quand même que le diplôme est une sorte de "preuve" d'un certain niveau (y-compris pour le CAP qui n'est pas d'un niveau exceptionnel, on est d'accord), mais cela reste une preuve pour les autres et surtout pour soi-même, en tout cas c'est comme cela que je l'ai vécu.
J'ai été évalué comme les autres, j'ai le diplôme, je n'ai "plus rien à prouver", surtout à moi-même et en ce sens, le diplôme est un peu une fin en soi. Pourtant je savais déjà que j'étais capable de faire de la menuiserie d'agencement, bibliothèques, dressings, faire des meubles qui tiennent debout et qui sont esthétiques (pour ceux qui aiment), oui forcément tout ça je l'ai déjà fait. Mais moi qui avais l'impression d'être un "imposteur" quand j'ai utilisé pour la première fois récemment un rabot et un racloir, aujourd'hui grâce au diplôme je ne me pose plus la question de ma légitimité.
Certains risquent de me maudire (ne le faites pas, ne le faites pas !) heu, je vais formuler la chose pour ne pas blesser, je ne parle que de moi-même : "moi sans CAP, j'étais un bon bricoleur ; moi avec CAP j'estime pouvoir me réclamer professionnel". Je sais très bien que Boris B ou Olivier V, qui sont de très bons pros ne voient pas les choses comme ça, je dis juste comment moi j'ai vécu mon diplôme. Ça a aussi été une occasion de se confronter à un système, des profs, une institution ; d'apprendre des choses... si c'était à refaire je le referais !
Ou biaiser... considérer que la cuisine qu'on installe chez le client est un ensemble de meubles posés au sol et que cela ne relève donc pas de la menuiserie d'agencement. C'est sans doute "dans l'épaisseur du trait" !
Ce qui est sûr, c'est que le chien ne va pas se barrer...
Et pour la barrière et le portail, j'ai prévu ceci (tous les avis sont bienvenus !).
Merci pierrottt pour le lien !