Les 9,6% correspondent au retrait total entre le bois vert (à saturation, environ 30% d'humidité) et sec.
Le retrait "en service" est d'environ 9,6/30 = 0,3% de déformation par pourcent de variation d'humidité. Si on suppose 3-4% de variation d'humidité en moyenne sur l'année, ça fait 1% de variation de longueur à prévoir.
Merci
Pour les outils j'ai utilisé fermoir, néron et gouge méplate, il n'y a pas besoin de beaucoup plus.
Le motif provient du livre "Symboles Bretons et Celtiques, méthode de construction" de Michel Le Gallo. C'est un motif classique donc trouvable assez facilement je pense, et il peut se mettre sous forme de frise. Le tracé est assez simple, il s'agit principalement de parallèles à la diagonale du carré et un coup de compas pour faire les parties arrondies.
Maintenant dis lui que finalement, tu penses qu'il s'agit de chêne, il va sûrement t'affirmer que tu as raison avec une certitude déconcertante, comme il l'a fait pour le robinier après avoir pensé que c'était du frêne 
Un biais de maximum 5°, oui ça change le profil mais très légèrement seulement. Ça ne serait des petites modifications à faire.
Merci.
C'est le genre de profil où on hésite à faire un dégorgement par dessus et non par le côté.
Le fer est biaisé dans l'autre sens sur un rabot à recaler (pour bien plaquer la pièce, sinon ça la soulève lors du travail), à moins que ça ne soit un rabot de gaucher.
Oui, mais il était minuit quand j'ai écrit ma réponse 
De plus, ça ne marche que si les longueurs sont identiques ce qui ne semble pas être le cas (sinon l'outil ne permettrait pas de mesure des angles supérieurs à 90°).
Si on note ces longueurs L' (la "fixe") et L" (la mobile)
Il faut alors faire une simple adaptation de la formule d'Al-Kashi (Pythagore généralisé) donnée plus haut et on obtient une formule analogue donnant l'angle comme l'arc cosinus d'une expression, à savoir
alpha = arccos( {L'² + (L - x - d)² - L"²)} / {2 L' (L - x - d} )
En plus de ce qui a déjà été dit, j'ai l'impression qu'il y a du platane pour la structure du bureau, le côté du tiroir est en hêtre.
Une vraie xylothèque ce bureau !
Il y a de l'eau dans l'air ambiant, dans le bois que l'on travaille, il y a de la condensation qui se forme entre votre main et la rabot quand vous l'utilisez, il y a de l'eau partout !
Ça n'est pas une quantité infime d'eau contenue dans l'alcool, essuyé immédiatement, qui va rouiller de façon irréversible de la ferraille.
Le movingui est connu pour avoir un composé jaune qui est soluble dans l'eau (et encore plus dans l'alcool, je viens d'essayer). Par contre, il n'est pas gras, donc inutile de le dégraisser.
Il aurait fallu là aussi essayer sur un petit endroit peu visible avant de passer tout l'escalier à l'alcool. Je crois qu'il va falloir tout reponcer pour éliminer au maximum les tâches irrégulières si c'est trop moche. Sinon, ne rien faire, surtout si le reste est passé ensuite au brou de noix ?
Merci.
La poignée est collée. Comme vous pouvez le voir, il y a en plus une encoche en V à l'arrière de la poignée (et la contre-forme dans la mortaise), ainsi qu'un coin à l'avant placé au moment du collage pour verrouiller le tout. Ce petit coin n'est pas visible sur les photos.
Merci.
La finition c'est huile de lin puis cire.
Merci.
Non ça va, pas trop galère, faut jouer du bédane. D'autant plus que je n'ai pas fait de guide copeau pour éviter le bourrage avec des copeaux de travers-fil; la mortaise se retrouve donc très ouverte (en V), ça facilite le travail.
Oui c'est le contre-fer qui est une tôle en inox pliée en son bout. En gris clair sur les photos.
Super, mais c'est dommage de devoir en arriver là. C'est le genre de chose qui ne devrait pas passer le contrôle qualité à l'usine, même si j'ai du mal à comprendre d’où ça peu venir, les pièces étant quand même standards.
À tout hasard, les pièces sont bien toutes d'origine sur le rabot ? C'est peut-être possible qu'il s'agisse d'un rabot "Frankenstein" et que ça finisse par créer une situation d'incompatibilité.
PS : pense à avancer le chariot car tu as une lumière de presque 10 mm 
Oui ça semble être le même, juste plus exposé aux aléas du temps.
Tu peux laisser les chiffons/bloc de mousse à l'air libre, dans un espace non confiné, sans les mettre en boule le temps que l'huile "sèche". Ensuite, il n'y a plus de risque et tu peux t'en débarrasser dans la poubelle normale.
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