Ca ressemble à du chêne !
Le bois est coupé depuis plus d'une année mais tu l'as stocké où ? Un testeur d'humidité sous la main pour voir approximativement l'humidité du bois ? Parce que là, il est presque dans un état brut, l'humidité va avoir du mal à s'évacuer.
Comme dans ton autre question, je ne veux pas te refroidir pour ta table, mais il y a aussi d'autres problèmes. Le bois va probablement encore beaucoup travailler (tu peux apercevoir son cœur sur la dernière photo).
Dommage d'avoir fait deux questions.
Peut-être que tu peux faire une autre question, nous en disant un peu plus sur toi (tes outils à disposition, ton expérience du travail du bois etc...), ce que tu comptes réaliser (un schéma, un plan) et les méthodes de fixations (pieds plateau par ex) ? A ce moment-là, il sera bcp plus facile de t'aider !
Cortodomasticy, la colle à bois ne va pas limiter le mouvement du bois.
Hmmm je suis pas sûr de comprendre. La fenêtre chauffe un truc dans la boite au dessus (la tour de séchage c'est ça?) ?
C'est possible d'avoir un peu plus d'infos histoire de comprendre le fonctionnement ?
merci pour les précisions !
Ara un vitrificateur PU ? Dans l'absolu je crois qu'il y a pas vraiment de différences si ce n'est la présence d'autres additifs, mais je peux me tromper !
etiennedesthuilliers merci pour le complément d'infos !
ldebs
Pour le choix entre vernis et vitrificateur, tu risques d’avoir autant d’avis que de personnes qui répondent. Chacun a ses produits fétiches.
La seule vraie règle, selon moi, c’est de bien vérifier qu’il s’agit d’un vernis PU (polyuréthane) — c’est le gage d’une bonne résistance et d’une durabilité correcte.
Personnellement, j’ai un faible pour les vernis “Bistrot” de Libéron. Ils ne m’ont jamais fait défaut (et je souligne le jamais).
Petite mise en garde au passage : méfiance avec les appellations marketing comme "vernis marin". On trouve vraiment de tout sous ce nom, du très bon… comme du franchement décoratif sans résistance sérieuse. Un coup d’œil attentif à la composition vaut mieux qu’une étiquette séduisante (coucou Rubio 
)
Tu peux aussi attendre l’avis d’etiennedesthuilliers ou d’autres qui en appliquent à longueur de temps — leurs retours de terrain valent de l’or !
Ned Je comprends tout à fait que ce terme puisse irriter les designer, cependant comme le remarque Jean-Claude Di Fazio, le Larousse nous indique qu'il est largement répandu dans le langage courant comme adjectif.
Mais Ned Rob1dbois vous avez raison sur l'étymologie et son usage historique, à la base c'est un nom !
Je mourrai moins bête 
!
MaderaMan, je pense que tu as une partie de la réponse (et les autres sont tout aussi pertinentes). Pour ma part, ma scierie travaille presque exclusivement le chêne, avec comme principal client la SNCF (traverses de chemin de fer). Du coup, j’ai accès à beaucoup de chêne à des prix très intéressants. En revanche, pour les autres essences, il lui arrive parfois de m’en donner… À voir donc avec lui s’il ne souhaite pas s’en débarrasser.
En partie d’accord. Cependant, on achète rarement un combiné pour effectuer de petits travaux de type lutherie — même si je peux me tromper.
Comment peut-il savoir si elle fonctionne bien et en sécurité ? Si les accessoires sont corrects ? Et quid de l'entretien et des réparations sur une machine de 40 ans (cf. questions régulières sur AdB "ma Lurem est en carafe") ?
C’est justement l’intérêt de l'Airdubois ou d’un forum : pouvoir s’instruire sur un sujet, le potasser et poser des questions.
Mais sans réponse ou précision de sa part (comme c’est souvent le cas), on ne va pas pouvoir l’aider beaucoup plus…
normandie A cause du mouvement du bois je suppose ? Effectivement je n'y avais pas pensé 
, la fatigue. Il m’est déjà arrivé de le faire sans réel souci, mais uniquement sur une petite surface et de façon très localisée.
Absolument pas ! Et si as tout hasard tu as l'équipement de normandie normandie alors tu peux essayer le cintrage.
je viens de faire un essai avec 2 planches de sapin/pin de gsb, collées 36mm d'épais au final,j'ai laissé 1.5mm ça a tout cassé au pliage...
C'est exactement ma crainte. Passer plus de temps à trouver la bonne épaisseur, sans pour autant avoir un résultat garanti.
Segments + gabarit + calibreur et zou. Plutôt rapide.
Tu as une toupie et un calibreur ? (ceci dit ça se fait à la défonceuse aussi, mais c'est probablement moins rapide).
Par curiosité, combien de tu laisses la mise sous vide pour le placage ?
Ps : petit MP
en plus de MarcFrerot , une ou plusieurs photos du salon serait appréciable. Pourquoi ne pas montrer ton plan histoire que l'on puisse se faire une idée ?
Tysam974 , prendre la mouche pour si peu. A la base mon message n'est vraimmmmment pas bien méchant.
Je résume ; tu débarques, tu balances trois mots sans forme, tu refuses qu’on te le fasse remarquer, et derrière tu fais un drame parce que l’accueil ne correspond pas à ton ego fragile tout en écrivant trois fois plus pour t’offusquer que pour poser ta question.
A mon tour donc de faire un effort. Si tu veux vraiment partir, fais le bien : supprime ton compte, ça évitera d’encombrer la base de données.
+1
alexidoia, quelle est ta lame ?
C'est quoi comme bois et son épaisseur ?
Pourquoi ce n'est pas ton guide selon toi?
alexidoia Tu rencontres plusieurs problèmes.
Ta lame.
Ta lame de 48 dents n’est pas du tout adaptée au délignage (rip cut). Pour ce type de coupe, il faut une lame avec peu de dents, par exemple une 12 dents. La raison est simple : une lame avec peu de dents évacue beaucoup plus facilement les copeaux, ce qui évite l’échauffement.
Le terme "finition".
Dire qu’une lame est "de finition" ne veut pas dire grand-chose en soi (pas de ta faute, c'est du marketing). En réalité, tu coupes soit dans le sens du fil (rip cut), soit à travers le fil (cross cut). Une lame de bonne qualité, même avec peu de dents, peut donner un très bon état de surface. Tout dépend de la conception et de l’affûtage.
Pour le délignage, on choisit une lame avec peu de dents.
Pour la coupe en travers fil, on privilégie une lame à grand nombre de dents pour limiter l’arrachement.
Une lame avec trop de dents lors d’un délignage n’arrive pas à évacuer les copeaux assez vite, le bois va noircir par échauffement, la lame chauffe, perd son tranchant, se voile (à vérifier).
Ton guide parallèle.
Enfin, ton guide parallèle peut être une source de problème à lui seul. As-tu vérifié son parallélisme par rapport à la lame (au pied à coulisse ou avec un comparateur) ?
Il va donc falloir fonctionner par élimination.
Tu vérifies dans un premier temps le bon parallélisme de ton guide par rapport à ta lame (en supposant qu'elle même soit bien parallèle aux fentes qui laisse passer un guide).
Tu vérifies ta lame sur une surface plane. Si elle est bombée ou voilée => poubelle. Nettoie soigneusement ta lame et vérifie l’état des pastilles carbure. Tu effectues une nouvelle coupe à travers fil. Si le bois est toujours noircit, elle est bonne à affuter de nouveau.
Enfin, tu achètes une bonne lame pour le délignage.
Il existe d'autres lames pour le CP, le medium, etc. Si tu envisages de couper ces matières qui désaffutent les lames, tu peux te procurer une lame à tout faire.
Grosso modo, avoir deux, trois, quatre lames en fonction de ce que tu coupes est tout à fait normal.
Pour ma part j'en ai quatre.
1 => Délignage massif => 12 dents.
2 => Cross cut massif => 36 dents.
3 => Une "multi purpose" de chez CMT => CP, Medium etc.
4 => Une pour l'aluminium => 64 dents.
Ca fait pas mal d'informations à digérer, je laisse volontairement de côté le type de denture.
Tivoly fait de bons forets et mèches, pour les lames j'ai un doute.
Tu peux investir sur des marques reconnues (CMT, Freud, Bosch Pro, Bayerwald).
alexidoia de rien
En parcourant rapidement les questions que tu as posées, il me semble que tu as travaillé du stratifié.
Le stratifié émousse les lames assez vite en raison de sa nature beaucoup plus abrasive que le bois.
C’est justement le type de situation où tu n’as pas envie d’user prématurément une lame de qualité — une lame cross cut haut de gamme, par exemple — sur un matériau aussi agressif.
Dernier petit point : pense à nettoyer régulièrement ta lame afin d’éviter l’accumulation de dépôts (sciure, résine, colle, etc.) sur son corps ou sur ses pastilles.
PS : dans la mesure du possible, utilise toujours le guide parallèle. Sans lui, le bois peut légèrement se déplacer ou vibrer lors de la coupe, ce qui peut voiler la lame. Plus important encore, un manque de guidage peut provoquer un kickback : la pièce risque d’être projetée brusquement vers toi si elle se coince ou se dévie.
En complément, un abri fermé (mais respirant) peut être la solution
Quelle idée ! Formidable !