L'Air du Bois est une plateforme Open Source de partage collaboratif ouverte à tous les amoureux du travail du bois. (En savoir plus)

Rejoindre l'Air du Bois Se connecter

539 commentaires
Bonbonveronbi

les limons de mur peuvent être en 32 mm car on peut multiplier les points de fixation, coté jour le problème est différant 46 mm est déjà faible cela me semble un minimum ou alors doublé coté jour 2x32 mm . Pour le doublage des solivettes j'ai peur d'un affaissement à la longue donc je renforce la trémie en doublant afin d' avoir une section plus importante. Une autre solutions serait de remplacer le potelet par une tige fileté dans un tube décoratif pour pouvoir remonter l'escalier si il s'affaisse. A noter que la technique de la herse trouve toute son application dans les quart tournants plus ou moins égaux ici nous avons même une inversion du balancement. il faudrait joindre la vue en plan de stairdesigner avec les retombés de chevêtre pour juger de l'échappé et du balancement.

Bonbonveronbi

Non je me contentai de doubler la solivette pour éviter quelle ploie dans le temps (voir schéma) en déportant le potelet on pourra surement le moiser entre pour avoir un assemblage de tête solide. il faut bloquer vous limons en pieds et à l'arrivée et vous pouvez vous passez des poteaux coté mur si vous avez la possibilité de fixation solide dans ceci. Pour votre balancement cela se complique car votre escalier est fortement balancé . La bonne nouvelle est l'absence de main courante fait que ses conséquences se reportent que sur sa praticabilité et la courbe inférieur du limon et des assemblages d'angle. Dans un escalier comme le votre l'utilisateur ne va suivre tout a fait suivre la ligne de foulée mais va mettre son pied perpendiculairement au nez de marche suivant.
Donc à mon avis il faut lisser tout cela en balançant quelques marches de plus et vérifier la progression géométrique des queues et collets.
je vous invite si cela n'est pas déjà fait à lire le traité de sylvainlefrancomtois sur l'escalier pour comprendre les conséquence du balancement.

Bonbonveronbi

Merci
je ne connaissait pas la technique si j'ai l'occasion j'essaye sur quelques lames car de prime abord je m'inquiète pour le serrage de lame bien que le dessous de la lame est dégraissé encore merci

Bonbonveronbi
( Modifié )

D'abord merci pour votre réponse je suis d'accord sur certaines constations des articles le démontage doit être plus facile à la tête homme car souvent la pointe reste plantée dans la lambourde et coulisse dans la lame. Mais si cet état de fait se produit en service la lame ne sera plus tout à fait en contact avec la lambourde et le parquet chantera. Doit t'on penser la pose en notion de réversibilité ou de pérennité, les deux bien sûr mais le client lui va remarquer la qualité des joints et le niveau sonore du parquet.
Poser le parquet au cloueur est pratique mais il utilise souvent des pointes tête homme et en cas de lame un peu déformé cela ne serre pas aussi bien que une tête plate. Les lames ne sont pas au dixième identique et donc pour garder la ligne on doit serrer plus ou moins la tête plate n'as pas les limites de la tête homme car si on doit recourir à la masse pour redresser le rang la compression de la tête la laisse la lame fixée, la tête homme coulisse.
l'auteur indique commencer sa pose le long d'un mur pour un petite pièce sans doute mais pour les chantiers plus important on commence souvent au milieu en faisant une fausse languette pour pouvoir clouer en languette de part et d'autre , l'avantage est de travailler facilement à plusieurs, diviser par deux l'éventuel faux parallélisme des murs et de ne pas s'inquiéter d'une éventuelle bande passante.

j'ai pratiqué les diverses méthodes et d'ailleurs elles sont différentes d'une région à l'autre je ne dit pas avoir raison je vous fait part de mes conclusions pour que chacun puisse affiner sa méthode.

Bonbonveronbi
( Modifié )
Bonbonveronbi

Voila
Déjà nous avons beaucoup plus de précisions.
Donc traverses et pieds galbés.
1 ) En massif d'une pièce la masse capable demande des plateaux important; de plus selon la flèche du galbe le fil du bois va pas suivre la courbe à moins de trouver des plateaux avec fil compatible ce n'est pas dans la poche.
2 ) En massif avec collages le sciage va faire apparaitre des joints disgracieux.
3) on plaque il est plus facile de trouver une bille dont les fils suivent la courbe et d'avoir une symétrie sur les quatre pieds de plus votre projet n'intègre pas le sens du fil car on pourrait envisager de plaquer non longitudinalement pour éviter le fil interrompu. Votre plateau à moins d'être en arasé ( autres problèmes) sera en placage donc cela est assez cohérent. Reste la solidité des arêtes mais une table n'est pas un établi.
4) En lamellé collé le sciage va faire apparaitre un autre dessin que on peut certainement étudier en 3D . C'est un choix esthétique et il faudra étudier sa cohérence avec le plateau et les traverses.
il faut déjà intégrer le sens du fil ou intégrer le sciage du lamellé avant de s'orienter sur un choix de fabrication.
Ce choix va être conditionné par le prix et les matériaux que vous pouvez vous procurer et aussi du temps différent que va engendrer telle ou telle méthode.
Reste l'intégration du tiroir qui pour l'instant m'échappe.
je ne vous donne pas de réponse mais simplement une série de questions pour vous inviter à poursuivre l'étude de là jaillira le choix de fabrication.

Bonbonveronbi

De mon point de vu la solidité n'est pas le critère qui peut départager les méthodes de fabrication pour votre table.
le lamellé conditionne une esthétique et s'accorde parfaitement à des pièces cintrés ici nous somme sur des pièces galbées et le sciage fera varié la largeur des joints.

Bonbonveronbi

Selon que l'on poursuit le bardage dans le tableau ou non les cas peuvent être légèrement différents.
En gros rabattre le pare pluie ,poser le pièce d'appui ; calfeutrer; ; poser la bavette ;assurer la continuité du pare vapeur ; compribande devant la menuiserie.

Bonbonveronbi
( Modifié )

Votre menuiserie doit être une série 48 mm un compriband de 15 mm et une cale de 10. La cale n'as pas besoin d' être large elle n'assure que le niveau.

Bonbonveronbi

Oui

Bonbonveronbi

oui c'est une solution , mais il faut tenir compte de la finition si on fait le tout sur le même plan le laquage par exemple est plus compliqué.
Certes le matériau est fragile mais pas au point de renoncer à la fabrication de portes.
une laque vernis donne des portes très dur beaucoup difficile à obtenir en massif à cause de la dilatation.

Bonbonveronbi

ça change rien .

Bonbonveronbi

je ne suis pas sûr mais pour un appartement normal au environ de 60 %
d'humidité relative et en admettant qu'il chauffe en permanence à 20 degré le bois ne descendra pas sous les 11 %.

Bonbonveronbi
( Modifié )

Non ce n'est pas tout à fait cela : Le gonflement ou le retrait de la porte va se concentrer sur l'extérieur des montants ouvrants car les traverses s'oppose au mouvement.
Il a pas besoin de fers pour réaliser un panneau à table saillante c'est simplement un panneau qui vient en embrèvement au dessus du nu du bâti. une simple rainure suffit il et souvent complété par un revert d'eau pour protéger sa parti supérieur.
Cela élimine le problème de l'eau qui s'infiltre dans la rainure basse
qui malgré le trou de drainage fini toujours par se détériorer.

Bonbonveronbi

oui tout à fait

Bonbonveronbi

Le mi-bois en séchant prend du jeu un tenon ; Domino ou tenon traversant à clef semble mieux adapté.
la fixation à taquets laisse la table libre de jouer dans les deux sens et répartie la fixation sur toute la table pour des projets plus imposant ou peux ajouter des traverses pour amener des points aux milieu. ( coupe de principe taquets ~ 60 x 50 ).
Pour la table une hauteur de 50 mm semble faible.

Bonbonveronbi

Alors le panneau à table saillant prend déjà moins l'eau dans sa partie
haute car comme car cela est situé plus haut et donc en principe moins exposé. Néanmoins on peux lui adjoindre un revert d'eau embrevé dans la traverse.
Voir coupe de principe.

Bonbonveronbi
( Modifié )

Les surcotes usuelles sont:

  • en longueurs 30mm
  • épaisseur donnée par votre plot exemple: une planche de 27 mm sera
    tirée entre 24 mm et 22 mm selon la qualité du sciage. la règle est simple on tire au plus large.
  • largeur selon la qualité de votre Débit et la nervosité de la bille.
    soit 5 mm pour un débit très précis et une bille de fil jusqu'à 10 mm
    pour un débit moins précis et bois plus nerveux.

Vous avez dessiné votre table à ce stade rien ne sert de pousser trop loin l'étude car c'est le bois qui commande.
Je m'explique vous avez prévu des traverses de 30 mm d'épaisseur donc vous tirez dans du 34 mm seulement pour diverses raisons vous pouvez sortir propre que du 28 mm .
Point d'importance vous corriger les arasements pour rester bon au cotes d'encombrement.

La règle est la suivante :

Choisir l'épaisseur du plot en fonction de vos besoins puis tirer au plus large.

L'important est de préserver les cotes d'encombrement de l'ouvrage 1 ou 2 mm de plus ou de moins ne changera pas dans la majorité des cas l'esthétique de l'ensemble.

Toutefois ceci est valable pour des fabrication artisanales pour une fabrication plus industrielle cela est différent.