Le principe est le suivant voir dessin . La toupie derrière les dérouleur nous faisait une pente sous la moulure. Puis on faisait les coupes à 45 des petits bois à la format butée en arasement en tête. puis pour les montants on posait un petit calibre un petit coup de scie et un coup de ciseau. La profondeur de l'entaillage est très faible de l' ordre de quelques mm cela va très vite. Je pense d'ailleurs que on aurait pu le faire avec une petite affleurese et finir que la pointe.
Maintenant il le font à la numérique. La moulure était une fesse et pas une patte d'ours comme dans ton cas mais cela n'a pas d'importance. on avait étudier le truc pour que la pente soit le plus parallèle à la moulure pour avoir le moins de profondeur d'entaillage. Et si on se loupe un peu il y a toujours du bois sous la coupe et cela ne se voit pas.
Merci pour ton retour, oui pour les copeaux le problème est plus important avec un appui sur le guide arrière . 
Non on tâtonne pas tu fais ton réglage de fraises puis tu fixe n'importe où une butée avant et une arrière. Tu passes une pièce d essai tu vas obtenir un usinage . Il suffit de remonter avec une équerre les pointd limites de cet usinage et de les reportés sur le guide,la pièce en contact alternativement sur les butée avant et arrière toupie arrêtée évidemment. Ces traits servent a positionner le manière précise la butée arrière. Mais a vrai dire en entreprise on utilise pour ainsi dire jamais la butée . Parfois pour des séries .
Bonjour
je sais en entreprise on utilise pas assez les butées mais c'est un constat.
Et l'accident de ce pays en est le triste résultat. Mais il reste que bon nombre d’établissement de formation explique le toupillage avec appui sur guide d’entrée.
Alors il y a une rupture car la quasi totalité des anciens pratiquent ou pratiquaient en guide avant et cela n’empêche pas la butée soit dit en passant. Et nous ne voilons pas les yeux un jeune en entreprise sous les yeux d'autres ouvriers
qui ne mettent pas la butée ou pour toutes mauvaises raisons un jour ou l'autre enlève la butée, je déplore mais c'est ainsi. Alors pourquoi ne pas apprendre avec un contact sur guide avant au moins ses mains seront en amont et le rejet est moindre.
Je suis d'accord il n'y a pas de sécurité absolue mais les mains en amont tant que l'on est pas au guide me semble une sécurité de plus.
Je sais que vous êtes prof alors peut être je prêche un convaincu ou alors il y a une raison que je n'ai pas intégrée ?
En tout cas j'ai visionné vos vidéos chapeau bas vos élèves ont bien de la chance.
Amicalement.
Bonjour
Pour les usinages très près du bout un guide continu est une réponse on peut envisager aussi de recouper les abouts après ou de rallonger la pièce. Pour la butée elle ne pose pas de problème quand elle est contenu a l'intérieur du guide ,dans les autres cas un système de rainure ou autre dans les rallonges de tables est envisageable pour le reste et je pense que c'est le plus dur convaincre les gens je n'y peux rien.
Bonne journée
Bonjour,
j'ai du mal à comprendre . un croquis en plan de votre escalier serait souhaitable pour essayer de vous conseiller. indiquer les points de suspension des câbles et la place du noyau , la manière dont les marches sont tenues coté queues et les dimensions d'encombrement.
Il sera plus facile à la communauté de vous aider.
Amicalement
Alors déjà il rare de plaquer un panneau entier. Puis tout les panneaux faut bien les envoyer sur la scie à format et il font 70 kilos et je pose encore tout seul sans forcer les vieux ne sont pas costaud alors ils rusent .
Quel l’intérêt pour un menuisier de fabriquer sa porte ,alors qu'il peut l'acheter et peut être gagner plus.
Alors là on touche à la philosophie de la vie , se réaliser à travers son Métier????????
Il faut utiliser le poids du panneau. Nous avons fabriquer un u de 19 intérieur en cp avec une petite barre de fer qui dépasse on le visse dans le chant du panneau. Evidemment on un chariot à plaque on s'approche de la scie à format que l'on as bloquée on pose le petit tube sur l’extension de chariot et suffit de le laisser tourner par son propre poids en douceur.
Et si le chant pvc appartient à un comptoir de forme elliptique et dont l’élévation est un cône renversé. Trêve de plaisanterie Le plus dur dans nos métiers est de faire le travail basique de tout les jours avec une superbe qualité et rapidement. J ai souvent ces discussion avec les jeunes qui bizarrement rejettent un peu la plaqueuse ,ou la commande numérique . L'autre fois un aspirant 4 eme année me disait que la commande numérique ne lui plaisait pas et que l'on faisait que de la m---- avec . Alors que c'est un combat qui est déjà perdu , ces machines sont incontournables mais derrière il y a un homme et rien n’empêche de faire de la qualité avec. Au contraire elles offrent des possibilités incalculables.
Alors oui plaquer un chant est pas très kiffant C'est pourquoi on a une plaqueuse pour pouvoir le faire vite et bien. Il hors de question que la plaqueuse n'affleure pas bien on corrige le défaut immédiatement.
Avec un fond c'est mieux pour le reste je suis l'avis de kaj
Tu as surement raison c'est une question de budget mais maintenant acheter de nos jour une plaqueuse qui n'a pas les caractéristiques que je te mentionne je pense que c'est une erreur il vaut mieux attendre.
Et j'ai beaucoup de mal à comprendre le raisonnement de ton voisin , si il y a quelque chose de pas flexible c'est bien la prépa usine.
Tu tombes un panneau, et tu est reparti pour une commande, le client veut un surplus et hop on recommande , on passe tu temps à trier à décoller les étiquettes , demande leur de coller du stra ou du bois tu va voir. La manip des panneaux je comprends pas quand il vont arrivés de l usine il y aura plus de manip. Mais j'ai trouvé la solution rachète la machine de ton voisin 
Bonsoir,
la règle des 1/3 alors oui on apprend cela à l'école . Maintenant
oui tu prends des planches de 27 tu les corroient à 24 . 3 X 8 = 24 TENON DE 8 NICKEL. Mais il faut de la souplesse admettons que j'ai que un outil de 10 sur la mortaiseuse Je vais faire un tenon de 10. Vous avez des traverses de 27 faite un tenon de 15 vous aurez deux arasements de 6 par exemple. L'important est d'essayer d'avoir tout les tenons de même taille à l'intérieur du même ouvrage. La longueur du tenon: faite une coupe du dessus de votre pied les tenons vont se croiser cela vous donne la longueur. Ne vous focalisé pas sur la Règle des 1/3 elle doit être adaptée en fonction de pas mal de critères . Sur un ouvrage j 'ai deux épaisseur de traverse 24 et 30 je faire le même tenon centré sur le 24 .
30 c'est pas très long mais de toute façon sur un pied de 70 même en décalant les traverses sur l'extérieur tu va pas récupérer grand chose . Bien collé cela va le faire.
12 c'est pas mal mais 10 ça peux aller. Avec une mèche de 10 tu peux faire 10 ou 12 avec un calibre adapté. Effectivement pour le plateau 30 c'est court.
NON POUR LA RAINURE 15 CELA SUFFIT VOIR 12 SI LE BOIS EST BIEN SEC.
il y a pas de standard pour la largeur de la rainure tu fait un essai sur un bois de l’épaisseur de tes montants , tu pousses tes deux moulures et tu vois ce qui reste dans le milieu et si c'est compatible avec ton épaisseur de panneau .Si c'est possible on fait la rainure de l’épaisseur des tenons c'est plus facile pour les barbettes. L’épaisseur du panneau juste la largeur de la rainure à l'endroit ou le panneau rentre. plate bande teinté sur la profondeur de rainure avant montage . sylvainlefrancomtois me semble avoir raison ton panneau de frise semble un peu grand à la vue ton petit croquis . Mais c'est presque impossible car les portes anciennes étaient bien plus grande.
Toutefois je le réduirai un peu si c'était moi.
Dans le temps on considérait que l'on était menuisier quand on savait faire une fenêtre à la française. L'ouvrage est technique et réclame une certaine précision. Pour une fenêtre à étanchéité renforcée, même au niveau artisanale c'est juste un empilage de fraises. Les opérations de réglages sont numérique ou réalisé grâce à un calibre . L'ouvrage n'a rien à voir avec une fenêtre à la française. Je pense que vous serez déçu et à mon avis il faut le train d'outils qui représente une dizaine de fraises.
Amicalement
Si le dessus est en massif on ne pas gérer le tuilage mécaniquement car on doit laisser le bois se dilater. la couche du dessous à pour but que les deux faces respirent de la même façon. Il est vrai que beaucoup de tables anciennes ne sont pas vernis . La chaleur des appartements modernes et leurs hydrométries est différentes, les finition sont aussi différentes.
Pour vous convaincre empiler trois ou quatre panneaux massif l'un sur l'autre. un ou deux jours après le panneau du dessus de la pile aura creuser. Faite la même expérience en rajoutant un cp sur le dernier panneau . Le panneau du haut ne creusera pas car le cp le place dans la même situation que les autres panneaux . Souvent on place les panneaux entre des serre joints pensant que cela empêchera de bouger rien n'est moins vrai la respiration des faces n'est pas équilibré et le panneau du dessus bouge quand on desserre. Alors vernir le dessous n'est qu'une précaution supplémentaire, et il se peut que s'en dispenser n’entraîne aucun désordre.
Amicalement
Le bois est un matériau hygroscopique c'est à dire que sa teneur en humidité varie en fonction de l' humidité de l'air et de la température ambiante.
Evidemment pour l'exemple du soleil vernir en dessous ne sert à rien il se produit un déséquilibre trop important , une planche en plein soleil creuse mais là c'est du cintrage.
Prenons un exemple je fabrique une table en chêne mon bois est sec a 12 % , le lieu ou elle va être est a 9% .
Le retrait radial du chêne est de 0,20 % soit 3 x 0,20 = 0,6
Pour une table d'un mètre de large la table va bouger de 6 mm.
C'est un peu plus compliqué que cela car il y a d'autres retraits je concède que je schématise.
Avec un trou oblong tu peux gérer ce retrait radial si il permet ce retrait de 6 mm mais pas le tuilage qui est dans l'autre sens,
le tuilage va se gérer par le choix du bois: planche sur quartier par exemple, alternance des cœurs .
Alors c'est déjà peut être une explication pour les tables anciennes , une autre explication est que le bois à une mémoire ,
l'équilibre hygroscopique d'un bois est long à obtenir, et un bois qui est descendu à un certain pourcentage reprendra beaucoup moins.
l'exemple que l'on prend est celui d'une éponge : prenons une éponge neuve on la mouille elle va tripler de volume, une vieille éponge toute rabougrie avec le même volume d'eau va gonfler mais beaucoup moins.
La couche de vernis du dessous à pour seul but de troubler le moins possible cet équilibre hygroscopique entre les deux faces.
Mais c'est pas la panacée , savoir l'humidité de ses bois , ou ils vont aller, et leurs établissements doit être plus important.
Par contre je pense qu'au 18 éme le bois était déjà hygroscopique
Palissandre
Voilà enfin de compte on a que des points d'accords , tu tiens compte que ta table va bougée , tu dit que l'on peut pas employer que du bois de quartier donc tu tiens compte de l’établissement des bois. Et pour terminer tu vernis en contre parement
Nul doute que quand tu fabrique une table elle tient compte de tous ces paramètres . Donc je suis d'accord on ne maîtrise pas la nature mais j'ai l'impression que tu l’encadre pas mal quand même.
Amicalement
Bravo!