
Si tu réalises l'ensemble des usinages à la défonceuse, ce guide à mortaise ne me semble pas le plus adapté : déjà il est plutôt prévu pour des mortaises, donc distances courtes ; ensuite tes fraises vont prendre dur à ce type d'usinage car l'évacuation des copeaux sera difficile => fraise qui se désaffute et travail imprécis en vue ; toujours en terme de précision : le travail à chant à la défonceuse sur de grandes longueurs, ça fatigue et ça augmente le risque d'erreur en fin de passe.
Perso je partirais plus sur une fraise à rainurer avec roulement de ce type là
Et avec ce type de fraise, tu peux là aussi travailler en contre-parement et économiser une étape de travail...

objection !!! L'huile de tung a une odeur caractéristique assez forte, mais de là à dire qu'elle pue tout de même...
Je dirais même qu'en suivant l'avis moyen de la population qui se balade devant mon stand de marché, ça sent plutôt bon.
Pour ce qui est des jouets, ça dépend si c'est une destination perso ou commercial : une fois bien seche l'huile de tung n'est pas plus dangereuse pour la santé des petits qu'un cocktail aux phtalates et au bisphénol comme en ont bouffé tous les enfants entre 1950 et 2000 ; par contre à ma connaissance elle n'entre pas dans la norme EN 71-3 donc inutilisable pour un professionnel.

J'ai démarré avec le même dispositif, perso la pierre des pyrénées m'a coûté 10€, je retourne régulièrement chez le même fournisseur pour en offrir aux copains.

guillaume9433 la quincaillerie ambulante du marché d'ancenis... pas de vente en ligne, pas de VPC...

oui c'est ça, par finition j'entends tous ce qui est appliqué pour donner son aspect définitif au bois : teinte, bouche pore, vernis, cire, lasure etc...

l'usure du bois au papier de verre peut poser problème quand on est face à un meuble plaqué (risque de percer le placage) ; ou quand on travaille un élément mobile et ajusté type cadre d porte ou tiroir (risque que ça ne coïncide plus bien avec le reste du meuble).
Dans ton cas, pas de gros dégats en vue si tu perds 2mm de bois, il en restera assez.
Pour les racloirs, je parle des racloirs d'ébéniste, avec une gamme de racloirs plus ou moins fins/souples qui permet de s'adapter à différents cas de figure.

tout est dit.
Et pour te "vendre" derrière, il vaut mieux avoir un book avec tes création qu'un joli diplôme encadré dans ton bureau ;)

un ébéniste va par défaut produire des meubles, qui ne font pas parti intégrante du batiment (on peut les déménager sans laisser de traces dans le bâtiment que l'on quitte) et dont l'installation n'est donc pas susceptible de causer des dommages relevant d'une garantie décénale.
Un menuisier lui fait partie des métiers du bâtiment ; il lui faut le diplôme correspondant pour s'enregistrer et pouvoir par la suite souscrire une garantie décénale auprès d'un assureur.
C'est valable même pour un agenceur : si le poids de l'agencement est inadapté au mur sur lequel il est fixé, et qu'au bout de 4 ans le mur se casse la figure à cause du poids, l'ensemble est couvert par la décénale (en théorie).
Pour un ébéniste, si le meuble est mal conçu et se casse à cause de cette mauvais conception, sa réparation relève du service après vente et non de la garantie décénale.
Pour savoir quel métier est une appellation protégé ou non, il faut se renseigner auprès des chambres des métiers.

d'accord la chalarose est une sal***rie, mais de là à dire sans photo dès qu'un frêne est mort quelque part en France que c'est probablement elle ; le raccourci est trop alarmiste.
La chalarose n'est pas présente partout en France (environ 40% du territoire épargné), et les frênes avaient inventé plein de raison de mourir avant l'apparition de ce champignon. Elle ne touche pas trop ; ou avec un impact sanitaire limité ; les frêne dans des forêts diversifiées où ils représentent moins de 20% des arbres. Elle ne touche pas autant les vieux arbres ; il existe des cas de résistance naturelle ; des cas de rémission... j'ai même entendu une rumeur colportée par un naturaliste comme quoi les frênes angustifolia ne seraient pas touchés du tout.
Et puis un peu de lecture ne fait pas de mal.
Au vu des informations disponibles (un frêne de 110cm de diamètre, sec en un an) je dirais que la chalarose me semple peu probable, et dans tous les cas une cause non exclusive du décès.
Désolé du format coup de gueule ; mais par chez moi certains c** essaient d'utiliser cette maladie comme prétexte pour arracher du bocage ; alors ne pas alimenter leur folie serait louable.

je pense qu'il vaut mieux partir sur un mandrin plus qualitatif avec un seul jeu de mors, compléter par la suite les mors au fur et à mesure des besoins, et éventuellement rajouter un deuxième mandrin dans un troisième temps. Les kits pas cher valent ce qu'ils valent... beaucoup de vibrations, problèmes d'excentricité des mors qui font que la pièce ne tourne plus rond si tu la reprends plusieurs fois...

y'a plus qu'à.
C'est chouette que vous ayez travaillé au gobelet (ou godet, ou emprunt, ou ...), je trouve cet accessoire malheureusement négligé alors qu'il offre des caractéristiques hyper intéressantes : pour faire de la petite pièce type échiquier, je préfère un gobelet qui va faire 1cm de diamètre de plus que ma pièce et tout lisse qu'un mandrin de 10cm de diamètre avec des petits coins métalliques qui sortent dans tous les sens.
Et ça donne envie d'essayer le crochet jurassien.

et au delà... à 15kms de chez moi il y a une scierie qui a une très bonne réputation qualité, à priori en bonne santé financière (j'ai pas mis le nez dans leurs comptes) seulement le gérant part à la retraite dans 1 an, et faut de repreneur l'outil industriel est en cours de démantèlement. Les petits peuvent se retourner vers des scieries mobiles, mais la prestation n'est pas la même (pas de séchage, essences et tailles limitées...).
Et les professionnels de la transformation finale ne se plaignent pas : il y a des négociants à 40kms, leurs tarifs de livraison et économies d'échelle font que ce n'est ni plus cher ni plus compliqué de travailler avec eux, donc tout va bien... jusqu'à ce que la "crise" du bois soit médiatisée.
Pour moi le problème c'est que les différents éléments de la filière ne communiquent pas assez entre eux (c'est sur il faut avoir le temps, on est débordés tout ça tout ça), et on ne se rend compte des difficultés que quand on est au pied du mur.

Pour mon encaustique à l'huile, je fais chauffer mon huile de lin (attention avec une couverture anti-feu à côté), j'y dépose délicatement un pain de cire d'abeille et des billes de carnuba (environ 75%d'abeille pour 25 de carnuba) et quand tout est liquide et bien mélangé, je trempe une cuillère dedans, je la pose sur un pain de glacière pour faire figer la cire rapidement, et je vois si la texture me convient. Trop liquide, je rajoute de la cire ; trop dur je rajoute de l'huile.