
C’est pas un fer plat qui pourrait résister aux forces du bois. Donc ça va bouger, c’est sûr.
Avec ce bois, très probablement non sec (et qui ne descendra jamais à un taux de grande stabilité qu’on ne peut atteindre qu’avec un séchoir), il faut être patient : le fixer sommairement sur l’arrière près du mur, le laisser évoluer. Dans de nombreux mois, s’il est resté à peu près plat, on fixe sur l’avant et on jointoie au mur. S’il a trop bougé ou fendu, faudra scier en long et recoller, voire l’aplatir à nouveau.
Joint acrylique ou silicone sur mur pierre, ce serait dommage. Privilégier plâtre ou chaux, après avoir fait un fond de joint en filasse (celle des plombiers par exemple). Le plâtre peut être coloré par pigments, il est dur et va fissurer mais restera naturel.
Protection par huile cire incolore (OSMO top oil ou hardwax) en deux passes fines.

Collage marches d'escalier : adhérence colle à parquet sur vitrificateur ?

Pour beaucoup construire en CP bouleau, le 18 pourrait suffire.
Deux précautions cependant et un conseil :
- les contremarches des marches 2 et 3 mériteraient d’avoir une reprise de charge directe, à l’instar de la contremarche 4 ;
- les grandes étagères en tête de lit, si utilisées pour des livres, méritent soit un fractionnement supplémentaire pour réduire la portée, soit un fond structurel pour reprendre la charge ;
- le sommier en agglo 30 sera extrêmement lourd (manipulation puis charge sur le piètement. De plus, une certaine flexion est agréable pour un sommier de futon. Enfin, bof les COV qu’on va y respirer en dormant. Je privilégierais du CP et selon son épaisseur, retravaillerais la reprise de charge par le piètement. Le peuplier 22 me semble être un bon compromis résistance/coût
Quand on veut utiliser du bois, on n’essaie pas de l’empêcher de bouger. Au contraire, on conçoit et assemble pour accompagner ses mouvements, sans rompre son esthétique ni sa résistance mécanique.