
De tous les livres sur le trait en charpente ou menuiserie que j'ai pu consulter, ça finit toujours par se superposer.
J'imagine que cela vient du fait que le tracé de l'épure se fait au sol. A moins que ce ne soit le fait qu'éloigner les vues fait perdre en précision des tracés ?

Héhé, ça donne envie de faire des maquette de charpente, c'est chouette.
Quelles sont les dimensions approximatives ?

quentin44 merci, ça suffira. C'était pour avoir une idée de l'encombrement.

Sinon, faut piquer des feuilles à JCDecaux ;)
Mais les encres sont épaisses et le papier plutôt transparent pour permettre le rétroéclairage, du coup on voit l'impression par derrière aussi. Choisir donc plutôt des enseignes à tons clairs et peu chargées...
Sinon ta collection de poster de ton groupe préféré.

Tiens, as tu pris des section "à l'échelle" des sections réelles qu'il faudrait employer ?
Et simple curiosité, tu utilises quel matériel de dessin ? Notamment pour tracer les // et |_ ?

Moment fléchissant, entendu dans le contexte de la théorie de la Résistance des Matériaux.
Dans ce cas, le terme le plus approprié est plutôt moment d'inertie quadratique, qui entre en compte dans la raideur en flexion d'une poutre.

Dans le cas présent, j'ai plutôt l'impression que le problème principal est plutôt de limiter la flexion du panneau dans sa longueur, étant donné la distance entre le pied et le meuble à gauche.
Auquel cas il faudrait ajouter une poutre (au sens RDM) pour supporter les bord libre de la planche entre le meuble et le pied.

etiennedesthuilliers je comprends parfaitement la démarche.

Souhaitons alors la fin du tout numérique puisqu' l'on se met à rêver
Car à mon humble avis, cela fait beaucoup plus de ravages que le plastique...
qqf.fr/infogra...notre-quotidien
qqf.fr/infogra...-clic-au-declic

Tu mets les angles que tu veux, pourvu que les sections et les assemblages supportent les charges courantes et accidentelles.
Pour cela, il faudrait savoir notamment la région, l'altitude... car la neige est à prendre en compte par exemple.
Ton design ressemble à une marquise géante. Tu peux peut-être t'en inspirer...
ps: il y a des pas à pas intéressant sur la charpente sur ce site, profites en pour les lires

Les boîtes à mécanismes secrets n'ont pas de limites autre que l'imagination
Il y en a avec un nombre incroyable de mouvements

Bel ensemble, joli.
Les assemblages utilisés ne sont pas très clairs, peux tu donner des détails ?

CBado je pense qu'il faudra surveiller tes aisselier (contreventements), car s'il tiennent uniquement avec les chevilles, ça peut bouger progressivement à l'usage avec les secousses.

CBado là je ne saurais donner de prescription pour résoudre le problème tel qu'il est posé.
Oui, il doit être possible de rajouter des vis, toutefois ce sera moche (ce qui n'est pas un critère de solidité) et il faut les mettre dans la bonne direction...
Le mien est peut être de poser la question dans la rubrique appropriée.

Réponse claire et bien argumentée de Marmouille.
Les propriétés mécaniques des essences sont présentes dans certaines fiches techniques. Notamment celles de TROPIX et TropicalTimber. Les propriétés qui nous intéressent sont:
- le module élastique (pour le calcul des déflexions statiques);
- la résistance en flexion (pour le calcul de la résistance statique);
- les résistances en compression, en fonction de l'orientation (pour le calcul des assemblages. Voir les exemples d'assemblages de charpente, livre ci-dessous. Les assemblages sont souvent les points faibles, notamment à cause des réductions de sections dues aux assemblages, et aux changements de sections et fibras coupées qui peuvent induire des concentrations de contraintes;
- les résitances dynamiques (aux chocs), plus difficiles à caractériser et donc à trouver.
Exemple de l'azobé, dont les liens vers des fiches externes (avec caractéristiques) sont nombreux:
Dimensionnement des assemblages (en statique...):
Pour aller plus loin (impact strength, essai de résistance Izod):
Ross, Robert J., and Forest Products Laboratory USDA Forest Service. 2010. ‘Wood Handbook : Wood as an Engineering Material’. General Technical Report FPL-GTR-190. U.S. Department of Agriculture, Forest Service, Forest Products Laboratory. doi.org/10.2737/fpl-gtr-190.

On voit qu'on atteint très vite les limites de l'approche énergétique avec le temps de choc. Qui d'ailleurs repose sur l'hypothèse d'une conservation de l'énergie. Or s'il y a de la déformation plastique (=permanente) cela va absorber de l'énergie...
En réalité, la force d'impact (= de contact) va fortement dépendre des deux raideurs locales (liée à la géométrie et au comportement du matériaux) mises en jeu lors du choc. Faire un modèle de cela est fort complexe !

benjams l'approche énergétique permet uniquement d'estimer l'énergie mise en jeu dans le choc. Le calcul de la force va ensuite -entre autres- dépendre du temps de choc ou bien de la distance d’arrêt (exemple), et là ça devient très approximatif, ou plutôt, repose sur des hypothèses.
Comment calculer/évaluer cette durée de contact ou la distance d'arrêt ? Je pense qu'on peut difficilement se passer de mesure expérimentale.
Mais je suis d'accord, ces approches permettent d'avoir des ordres de grandeur, et ce de manière rapide, toutefois avec des intervalles très larges.
L'énergie cinétique représente le travail nécessaire à amener la masse à l'arrêt
Tu fais donc l'hypothèse qu'il n'y a pas de rebond...

Ça donne envie d'enfiler des bottes rien que pour les utiliser !
le fil du petit pied n'est pas dans le bon sens (il devrait être perpendiculaire à l'axe de la glissière en queue d'aronde). Il est très fragile dans ce sens.

FAGEcreations on est d'accord, peu d'effort ici en principe par rapport aux dimensions de l'assemblage. Mais ça accroche l'oeil quand même
l'avantage supplémentaire est que l'orientation du tranchant est connu de ta main avec un manche pas rond.