Merci de ton conseil
Je pense tester avec du frêne
En cas de besoin j’ai du chêne et du buis en stock
Cordialement
Désolé, je ne l’avais pas mentionné car ça me paraissait évident, mais ça va mieux en le disant. Merci de ta contribution
En réponse à Jutoto : J'ai eu bien peur que tu aies eu raison, car ce projet est déjà ancien et je ne me souvenais plus du fonctionnement ! Mais, à la réflexion, je vois que les angles des barres du X peuvent varier grâce aux deux axes sur chaque pièce de jonction, de même que les bloqueurs peuvent également pivoter.
Avant de serrer au serre-joint, on ajuste les angles du X et ceux des bloqueurs pour que les 4 coins du cadres soient maintenus par les 4 bloqueurs. Comme tout pivote, il me semble que la force de serrage se répartit assez équitablement. Qu'en penses tu ?
Pas encore réalisé ! Je le ferai quand j'aurais une cadre à serrer.
En fait j'aime bien dessiner sur SketchUp et partager mes trouvailles ou mes projets en les dessinant.
Quant à ton idée, il faudrait la dessiner pour la bien comprendre et vérifier si c'est opérationnel.
Belle ingéniosité et sympathique partage, bien détaillé et documenté, merci !
ça donne envie de s'y coller pour ma C210b de 1975
1- comment fixes tu la tige filetée (pliée en S si je comprends bien) à la table ? Une photo zoomée serait bienvenue.
2- As-tu réfléchi à développer un système analogue pour la hauteur de sortie de la scie ?
Je trouve ce dernier réglage difficile, aléatoire et pénible.
Cordialement
Merci pour les nouvelles photo : tout est clair pour moi
Pour la scie, j’utilise aussi le réglet de toupilleur mais j’ai de gros problèmes de réglage car l’action du levier est brutale et imprécise par ailleurs il me faut régler 1mm en moins environ pour avoir la cote souhaitée
Peut-être à cause d’un léger jeux de l’axe de scie
Je suis preneur de meilleures pratiques
Cordialement
Je pense que c'est bien le dispositif encadré en rouge au milieu de la photo qu'il conviendrait de motoriser (moteur pas à pas).
Actuellement, ce dispositif est actionné par le levier de levage, lequel pivote sur l'axe noté avec un cercle rouge sur la photo.
A l'arrière de cet axe (voir vieille photo ci-dessous) il y a une manette qui libère ou bloque cette rotation par serrage.
Il faut tenir compte du moteur qui pivote librement, sa courroie étant mise en tension manuellement en fonction de la sortie de la lame.
En cas de motorisation, ce levier serait à supprimer.
Merci beaucoup pour vos deux réponses. J'avais bien vu ces deux goupilles élastiques, qui sont actuellement en position suffisamment rentrée pour ne servir à rien tel quel, ce qui n'est pas normal. A noter que l'antiretour a une échancrure de chaque côté pour éviter semble-t-il que les goupilles ne jouent ce rôle de taquet d'arrêt ! Etrange ! Lorsqu'on les sort au maxi , ça arrête effectivement la course de l'antiretour, mais trop haut pour qu'on puisse rabattre complètement la table de sortie de la dégau quand on repasse en position dégauchissage.
C'est pour cette raison que j'avais mis cette surépaisseur en soudure.
Mais là ça n'est plus suffisant. Il faut que j'analyse pourquoi.
Sur ta machine, est-ce que ce sont bien ces goupilles qui bloquent l'antiretour ? Si oui, n'as tu pas de problème en refermant la table ?
Pourquoi ces échancrures ? Grand merci de m'aider à m'en sortir. Cordialement
Je sors juste de l'atelier. Mon problème venait du jeu (important) de l'axe de l'anti retour. J'ai replacé et resserré tout ce qu'il y avait à resserrer et c'est reparti, après changement de fers évidemment. Reste cette question des deux goupilles élastiques qui ne servent à rien dans mon cas.
Merci de votre amicale attention. Cordialement.
On dirait une (très belle) ruche ! ça doit faire peur au facteur ?
Chaque printemps dans ma boite aux lettre en fonte c'est une guêpe qui vient faire son nid primaire, mon petit-fils s'est déjà fait piquer en aventurant ses petits doigts. Dans ta boite aux lettres, c'est tout un essaim qui risque de s'installer !
Bravo pour la belle intégration à ce site remarquable.
Eh oui, incroyable, il a encore tous ses doigts ! Pourtant ça passe bien près de la scie.
Surprenant aussi est qu'il exerce dans une des Mecques de la Jet Set, car son chalet doit valoir une vraie fortune. Il préfère sans doute à l'argent rester attaché à ses valeurs familiales traditionnelles, ça le rend encore plus touchant.
Et tant pis pour les inspecteurs du travail !
Merci du partage.
Si l’on veut qu’il survive dignement, dans la beauté et non la pourriture, il faudra l’orienter vers la charpente d’un monument prestigieux
Le laisser par terre c’est comme laisser un mort sur le champ de bataille
Effectivement c’est sûrement compliqué techniquement lONF a peut être des solutions que les privés n’ont pas
Pour l’aspect écologique, les forêts gérées durablement et certifiées PEFC doivent contenir au moins 2 gros arbres morts sur pied à l’hectare seuil qui est largement dépassé un peu partout à cause des dépérissements dus aux sécheresses successives
Bonjour Tom, merci pour ton post de persienne. ça m'intéresse beaucoup car je m'apprête à en réaliser une paire (pour commencer) et j'ai en publié les plans . J'ai anticipé le risque d'écart entre lames, même infime, mais multiplié par le nombre de lames. Pour limiter le problème, j'ai conçu un gabarit pour six rainures à la fois. Les 3 registres contenant chacun 17 lames, le report d'erreur (éventuelle) ne se fera que 2 fois
Merci d'avoir posté cette vidéo, c'est vraiment très intéressant.
Cela dit ça ne donne pas envie d'acquérir un produit, si beau soit-il, qui est produit dans un processus industriel digne du XIXème siècle, tout au moins pour la partie fonderie, avec une sécurité et des conditions de travail parfois choquantes. Pour le reste du processus, beaucoup d'opérations répétitives manuelles, où tout dépend du geste et de l'œil de l'ouvrier. Là c'est plus de l'artisanat que de l'industrie, ce qui pour de l'outillage de série n'a pas beaucoup de sens. Paradoxalement, c'est la partie travail du bois qui semble la plus moderne et la plus convaincante.
Le produit fini est tout de même très beau. Pour y arriver, le service contrôle final joue probablement un rôle de filtre important et on aimerait avoir une idée du taux de rebut qu'il génère pour assurer cette qualité.
j'ajouterais mais c'est de la capillotraction comme dit savamment Chaluthier :
La désignation normalisée des boulons (pas très menuiserie ...) en mesure métrique, soit M8, M10 etc. fait penser à la numérotation des objets célestes, créée par Messier en 1774 et toujours utilisée, de M1 à M110. Ex.: M42 = Nébuleuse d'Orion
Que ça ne va pas pour les petits cadres (d’où mon plan SketchUp qui semble démontrer le contraire), que c’est plus simple avec une sangle à cliquet et quatre coins rentrants (ce qui est peut-être vrai …), etc.