 
        Depuis le début de mon activité j'ai pris le parti de ne faire que des projets qui me plaisent et/ou qui ont un intérêt dans mon apprentissage. Ça peut paraître orgueilleux certes, mais la vie est courte, alors nique ! 
 
        Merci Hollywood , pour des raisons géographiques j'ai prospecté chez Tollens et Sikkens. Le 2e a su répondre à mes attentes en tant que pro, j'ai été mieux informé sur les produits et ils avaient tout en stock.
Je ne connais pas précisément les références des produits que j'ai pris mais ce sont les apprêts et laques pour boiseries, j'ai tout pris en phase aqueuse, le plus mat possible et pulvérisable. Le tendu est très bon. J'ai essayé dernièrement sur du lisse c'est parfait. En revanche le noir brillant était solvanté, une catastrophe...
 
        Merci Bonbonveronbi pour ce partage d'expérience, c'est très instructif ! J'avais déjà potassé ce pas à pas il y a deux ans et je reviens aujourd'hui dessus pour voir quelle est ton approche concernant les fileurs. J'ai toujours évité d'en faire mais sur le chantier qui arrive je n'ai pas le choix. L'agencement est entre murs, les murs vont être enduits, le chantier est loin et j'ai déjà pris les côtes... Bref pas de chichi je vais devoir y mettre un fileur ! Ma question est la suivante, d'après toi, quelle est la largeur minimale pour un fileur toute hauteur à tabletter ?
 
        Merci Grabouille pour ton partage d'expérience ! J'y vois plus clair ! 
 
        Voici une chute du noyer en question, il n'est pas etuvé, il vient de Savoie, il y a environ 14cm de partie claire. De ma modeste condition de menuisier bleu bite j'imagine que c'est de l'aubier mais j'aimerais en savoir plus. Qu'en penses-tu etiennedesthuilliers ? Après ton explication sur l'étuvage j'ai fait qques recherches et j'ai été stupéfait de voir à quel point la pratique uniformise la teinte du noyer. Le morceau en photo est le premier que j'ai menuisé et depuis j'en ai revu passer, de l'étuvé en l'occurrence et c'est incomparable.
 
        Personnellement je débite et précorroie mes bois puis je les stock dressés sur chant bien à plat pendant 15 jours. J'ai effectivement appris aussi à les mettre sous presse pour éviter toute déformation mais je le fais rarement. Je préfère que le bois s'aere uniformément et je reprends le corroyage donc 15 jours plus tard pour réajuster les déformations et finir à la côte désirée. etiennedesthuilliers je prends note de la couverture  En revanche dans le cas que j'expose ce n'est pas un problème de stockage, je n'ai pas laissé mes bois pendre à plat de part et d'autre d'une servante, je fais ça si je veux faire un sommier
 En revanche dans le cas que j'expose ce n'est pas un problème de stockage, je n'ai pas laissé mes bois pendre à plat de part et d'autre d'une servante, je fais ça si je veux faire un sommier (2nd degré hein) Non la banane elle est immédiatement là une fois le bois dédoublé.
(2nd degré hein) Non la banane elle est immédiatement là une fois le bois dédoublé.
 
        Salut Bonbonveronbi ! J'ai apporté quelques précisions au plan peut être que ça t'aidera à comprendre, si tu as une suggestion pour le bâti elle est la bienvenue. Je le fais en feuillure car je ne vois pas comment faire autrement au vu de la maçonnerie en "meurtrière". J'ai opté pour la feuillure contre feuillure pour maximiser le passage utile.
Concernant > Dans une porte à recouvrement on pose un joint à queue de sapin avec une gorge de décompression devant , c'est l'air qui s'engouffre qui vient plaquer le joint au bâti.
Si tu peux pas faire une porte à recouvrement ton joint est mauvais , il faut un joint de feuillure
Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris, pourrais-tu me faire un dessin stp ?
En tout cas merci pour toutes ces infos
 
        Effectivement c'est le plan A  Je veux démonter la porte d'origine pour réutiliser le bardage comme parement. Mais la chirurgie va être ardue car il faut que je retire les clous forgés qui sont repliés comme des attaches parisiennes derrière la porte et il y en a plus d'une 50aine
 Je veux démonter la porte d'origine pour réutiliser le bardage comme parement. Mais la chirurgie va être ardue car il faut que je retire les clous forgés qui sont repliés comme des attaches parisiennes derrière la porte et il y en a plus d'une 50aine 

En cas d'échec le plan B c'est de bruler/brosser/griser du mélèze pour que ça y ressemble.
Dans tous les cas je dois refaire du neuf mais pas trop benjams  pour les raisons de ventilation que tu soulignes, c'est pour ça que je n'isole pas la porte et que je préfère utiliser un joint qui ait des compétences "standard".
 pour les raisons de ventilation que tu soulignes, c'est pour ça que je n'isole pas la porte et que je préfère utiliser un joint qui ait des compétences "standard".
 
        Quand la planche est trempée ça fait ressortir le tanin du bois et ça peut tâcher le plan de travail si ça stagne trop longtemps, mais il suffit de sécher la planche rapidement une fois que tu as fini de l'utiliser
 
        Franchement ça dépend de la bécane, dans mon atelier on a mis des fers hélicoïdaux à plaquettes sur la dégau. Quand on a vu qu'avec ça on pouvait faire des passes de 8mm avec du chêne tout noueux sans forcer on a testé en bois de bout par curiosité, et ben en faisant des passes toutes fines c'est nikel... mais attention c'est pas bien faut pas le faire !
 
             
                        
 
                         
                         
                         
                        
 
     
                         
     
     
                        
 
                         
                        
Merci pour ton commentaire !
Effectivement les photos ne permettent pas d'apprécier le texturage à sa juste valeur. Quand on est devant la bibliothèque il y a vraiment un effet "whaoOo !"
Techniquement il fallait pouvoir monter la bibliothèque directement dans son logement. Impossible la monter au sol et de verticaliser. La seule solution que j'ai trouvé à été de glisser les étagères depuis l'avant comme on fait avec les divario. La languette est en queue d'aronde pour assurer le serrage des éléments entre eux et que tout soit parfaitement plaqué.