
merci pour l'info dneis

l'os frais c'est du phosphate/carbonate de calcium, proche du calcaire/dolomite + du collagène, protéine soluble à chaud (la gelée des œufs en gelée), à la cuisson le collagène est dissous au moins en partie dans le bouillon. L'os est beaucoup plus dur et rigide que la corne (kératine - protéine riche en soufre, comme l'ongle).
les outils à bois (scie/ciseau/rabot) me semblent inadaptés pour l'os (les lames de scie à ruban de boucher ressemblent plus à des lames de scie à métaux), à l'exception des limes et râpes...

Bonnes questions.
Pour les angles, la largeur de la fente permet une certaine latitude, mais je pourrais envisager de graver un ensemble de lignes aux angles les plus courants (90°, 60°, 45°, 30°) de façon à produire des tranches rigoureusement calibrées...
Mon couteau est Frrrrançais, Môssieur, je ne coupe qu'en poussant, et du premier coup
Cela dit, la prise est quand même plus sure, même en tirant, puisque le risque de glissade de l'ensemble est éliminé

On les ramasse, pardi !
Avec un large éventail de méthodes : d'un revers de main, d'un coup de balai, de chiffon, d'éponge, d'aspirateur pour les plus modernistes, voire en louant les services d'une poulette ou d'un moineau
Plus sérieusement, comme je coupe le pain craquant au sortir du four, les miettes giclent de toute façon bien au delà de la planche à pain brevetée classique avec caillebotis intégré...
pas mieux
le tout c'est de bien régler la servante au niveau de la table de la SAR, et d'y aller en douceur