Ara 20 mm de marge pour la tension, ça fait une marge raisonnable pour monter la lame sans trop galérer et pouvoir la tendre correctement, c'est à peu près ce que je pensais au pifomètre à doigt mouillé. Dans mon exemple ça ferait une longueur à 3030 mm, mais ça mérite la mesure "pour de vrai"
Je suppose que c'est valable pour les scies courantes en menuiserie, les petites SAR de table ont sans doute une marge un peu plus faible, les grosses tolèrent sans doute un peu plus.
Bonjour
c'est un bon début, mais il serait intéressant de nous en dire un peu plus sur les assemblages, qui sont cachés par la cornière bleue, comme sur les dimensions et autres choix techniques 
Bonbonveronbi
merci infiniment de partager ton expérience avec des néophytes comme moi. Ces partages, comme ceux de sylvainlefrancomtois , de José Das Neves et de tant d'autres sont précieux et font la qualité remarquable de l'ADB 
Très chouette, ça change des barreaux. 
Je verrais bien ça aussi sur une rampe d'escalier ou de mezzanine, si ça ne contrevient pas trop aux normes et règlements
C'est vrai que c'est un accessoire très pratique et trop négligé. Il était pourtant très courant il y a 50 ans à la campagne et partout où les gens faisaient un jardin potager.
Superbe idée
très beau le design, le bois, le cannage, les photos
Bel exposé sur cette famille de rabots, merci du partage
Superbe idée et jolie réalisation pour amener les enfants au travail du bois
Juste une inquiétude à terme, le fil du bois du toit est en travers de la pente, ce qui limitera sa tenue dans le temps, même s'il est assez épais.
Un chapeau (ardoise, tuile ou tôle) pourrait être utile
Belles observations !
Pas mal comme idée, ça fait une boite-vitrine très originale.
Juste un petit quelque chose : le verre du couvercle a l'air brut de coupe, il vaudrait mieux chanfreiner ou arrondir les arêtes pour éviter les coupures et aussi les éclats au moindre choc. C'est possible au lapidaire ou à la cale à poncer, en démarrant avec du grain assez fin (100 ou plus). J'avais procédé ainsi (cale à poncer) pour usiner les bords d'un aquarium en verre. Le tout est d'avoir la main légère pour éviter des contraintes excessives qui entraineraient la casse
Classe !
de futures recrues pour l'ADB
bonjour, je n'en doute pas, mais de quel outil s'agit-il ??? 
Alors il vaut mieux corriger le texte dans la question, en cliquant sur l’icône du stylo en haut à droite
désolé, je n'avais pas vu le changement de titre 
Bel outil!
un peu de détails sur les dimensions ?
Apparemment tu cumules deux systèmes de tension de la lame, un par la torsion de la cordelette, l'autre par le boulon avant (je suppose que le sommier a un peu de jeu dans les mortaises, dans le plan des montants, pour permettre le réglage par la torsion de la cordelette). c'est ceinture et bretelles
Merci du partage, ça donne des idées, les scies à chantourner de GSB étant vraiment de qualité très limitée
bel objet!
le trou étant assez large, il sera plutôt utilisé par des étourneaux que par des mésanges, mais les deux consomment beaucoup de bestioles pour nourrir leurs petits
Des plateaux de cèdre à 300 € le m3 au détail ! Fabrique des cintres avec Ça donne une idée des marges des multinationales et de la voracité des actionnaires...
Ici je n'achète plus de bois en GSB depuis que j'ai calculé le prix au m3 des tasseaux de pin (>5000 €)
sylvainlefrancomtois quand la bulle spéculative éclatera...
lamalleencoin
je crains que dans l'exemple cité, le coût de production (matériau, usinage, emballage, transport depuis l'Empire du Milieu, mise en rayon) ne représente pas plus de 10% du prix facturé au consommateur...
je suis d'accord pour payer correctement le travail, à quelque niveau que ce soit. ce que j'aime beaucoup moins c'est d'apprendre par ex que les actionnaires de telle chaîne de grandes surfaces ont touché l'an dernier 9000 € de dividendes par caissière, et qu'on nous bassine à longueur d'année avec les "charges sociales" (qui sont en fait du salaire différé et mutualisé en partie) et le coût de la main d’œuvre (jamais celui des dirigeants des grosses boites, qui sont des génies qui méritent ces sommes mirobolantes, même quand ils se plantent et détruisent des milliers d'emploi)
Je suis d'accord avec Ara, il sera toujours possible d'acheter des rubans sur mesure.
Il est possible de calculer la longueur à commander
si on mesure l'entraxe E entre les volants en fonction du réglage de tension et le diamètre des volants D.
La longueur du ruban est égale à deux fois l'entraxe (brins libres montant et descendant) plus 2 demi-circonférences des volants soit (2xE)+(3.1416xD).
En réglant la tension on fait varier l'entraxe E entre un minimum Emin (lame totalement détendue) et un maximum Emax (ici le volant monté au max avec une marge de sécurité sous plafond.
La longueur de la lame à fabriquer doit donc être comprise entre un peu plus que (2xEmin)+(3.1416xD) pour pouvoir la monter sans souci, et un peu moins que (2xEmax)+(3.1416xD), pour pouvoir la tendre correctement.
exemple, si l'entraxe varie entre 70 et 75 cm et le diamètre des volants vaut 50 cm, la lame devrait faire plus de 2970 mm et moins de 3070, soit en pratique 3000 à 3050 mm...