à la plane, en utilisant un "gabarit" (une planche avec un trou du diamètre désiré) et traçage du cercle idoine en bout de tasseau pour ne pas aller trop loin. l'avantage c'est qu'on peut tailler un bout légèrement conique qui permet de serrer l'assemblage et de limiter le risque de jeu, voire de corriger d'éventuels défauts angulaires des percements. c'était la méthode courante dans la fabrication des échelles en bois, des trépieds, par exemple
idem, un trait de cordeau pour bien marquer la droite de chaque bord, et roulez
le guide ne sert pratiquement à rien, sauf à avoir une scie hyper bien affûtée et un bois parfait - pas de nœud, cernes symétriques (bois sur quartier), homogène, ce qui n'arrive pratiquement jamais, la lame dérivera toujours un peu dans un sens ou un autre... il vaut mieux tracer le trait de coupe et le suivre au plus près, ce qui vient avec un peu de pratique
ponçage à la main, huile de coude et pétrole/paraffine 
juste éliminer de possibles bavures qui dépasseraient (abrasif assez fin).
la rayure elle même n'aura pas d'incidence sur la glisse ni sur la géométrie, sauf à vouloir raboter des cure-dents ou du papier à cigarette Il restera juste un souvenir...
idem, une scie fine guidée par un tasseau, puis bedane ou ciseau et/ou guimbarde en fonction de largeur/profondeur
absolument, donc se nourrit d'autres bestioles
xylophage à coup sûr
n'ayant pas d'aile ni de longues pattes elle ne peut guère venir d'ailleurs que d'une des galeries, en essayant d’échapper au xylophène
sur la photo, la lame semble être en position de rangement
pour travailler elle serait bloquée au fond de la rainure...
Pas sûr qu'avec des machines courantes on arrive à faire quelque chose d’aussi esthétique qu'à la main. En plus, le temps de régler les dites machines, de s'équiper avec les EPI nécessaires... il y a longtemps que les deux tenons seront terminés
le framiré semble correspondre