
Merci !
Effectivement. Du coup, j'avais mis un lien pour la recette :
jasminecuisine...il-tomates.html
Tu valides ?

Merci !
Oui, brûlage au câble , ou plus exactement avec un gros fil de cuivre, métal qui conduit mieux la chaleur que l'acier.
Pour les bandes, j'utilise encre de chine ou gros marqueur, faute de cuir ... mais je retiens l'astuce ;-)
(on peut aussi utiliser de fines bandes métalliques (que je n'ai pas non plus)

@ ebenober
S'ils te lisaient, certains se retourneraient dans leur tombe ;-)
Ces dépenses devraient s'appliquer aux différents cultes mais c'est un autre débat...
@ Jakob
Beau boulot, Bravo !
En espérant que ces bancs accueilleront des postérieurs plus jeunes que la moyenne d'âge habituelle...

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"L’église" ne veut rien dire en soi sur le plan historique et sous ce terme se sont côtoyés des saints et des escrocs, des groupes d'hommes ouverts et généreux et d'autres rétrogrades et violents, etc
Ceci dit, de nos jours, peu d'endroits offrent le calme et la fraîcheur d'une église, que ce soit pour se poser quelques instants ou pour réfléchir et méditer plus longuement... assis sur de beaux bancs ;-)

Oui, bon... c'est dans l'air du temps et il y a tout de même un tas de bouquins de "reconversion". Toujours de métiers cérébraux vers des métiers manuels.
Très souvent des métiers "abstraits" (finance, com, pub, etc) où les gens retrouvent des "gestes", des "racines", du "terroir" et autres termes fourre-touts. Origine sociale souvent aisée et assise financière qui constituent des garde-fous à une évolution professionnelle certes risquée mais réversible sans trop de dégâts.
L'inverse est devenu impossible de nos jours, alors que c'était cela qui faisait l'objet de livres et d'admiration il y a quelques décennies, avec des réussites remarquables bénéficiant à la collectivité (l'ouvrier qui devient chef d'entreprise, par exemple).
Là, il s'agit d'épanouissement personnel dans une activité solitaire à valeur "artisanale" voire "artistique", ce qui représente le summum. Des personnes douées en tout et qui peuvent passer sans grande difficulté à un métier manuel.
Et les autres, ceux qui n'ont pas le choix et suivent des filières professionnelles sans appétence et n'ont les moyens d'ambitionner autre chose. Finalement, pas sûr que cela valorise les métiers manuels ?!

Sympa !
Tu trouves facilement du Grand natte endémique ?!
mi-aime-a-ou.c...grand_natte.php
STP il faut me dire où car il ne m'en reste que quelques chutes que je garde précieusement...
L'aubier au centre, c'est étrange et antinomique. Peut-être plutôt un champignon ou une maladie qui a affaiblit le coeur du bois et induit une variation de couleur ?
Nicolas
(St-Benoît)

OK !
C'est donc pas du "Grand natte" à proprement parler mais un cousin auquel les revendeurs donnent ce nom, plus évocateur localement. Attention aux imports de ces bois venant d'Afrique où ils sont hélas décimés sans aucune considération écologique (coucou M'sieur Bolloré...). Aucun label fiable à 100 % pour le moment.
Abattage aussi mal géré à la Réunion durant les derniers siècles et c'est pourquoi il est très rare ici :-(
Ceci dit, celui que tu as acheté (Ravate ? Mangrolia ?) est un très beau bois, agréable à travailler. Un peu "gras" donc demande de l'attention pour sa finition vernie.
Par définition, l'aubier est la partie périphérique du bois. Il peut s'agir aussi d'une coupe dans un repli du tronc d'où l'inversion des parties (scierie pas très sérieuse...). Ça reste du costaud et j'ai un tabouret réalisé il y a une dizaine d'année, avec la même nuance de deux teintes et une séparation franche entre les deux.

... et de bonnes astuces de réalisation, adaptées à ton tour basique mais efficace (modèle unique DIY ? )
Tu devrais te tourner un maillet pour frapper le bois, mieux qu'un marteau standard.
Et ta gouge mérite un petit affûtage (je trouve qu'elle avance pas beaucoup dans le pin).
AMHA et entre tourneurs ;-)

Joli test... à garder en déco car boire dans du pin traité classe 4, c'est risqué !
En finition, il faudrait peut-être une huile épaisse pour une bonne tenue dans le temps, genre celle-là ?

Effectivement, le couple du moteur est un point fondamental pour un tour et tu risques d'être très gêné pour travailler des bois plus durs que le pin ?!
Autres critère important : une basse vitesse permettant de tourner des grosses pièces sans risque.
Pour les gouges, regarde chez BORDET, ils vendent les fers seuls et tu as donc le premier plaisir de tourner le manche sur mesure (j'ai pas d'actions chez eux, ils sont juste bien fournis et efficaces).
J'ai regardé la chaîne de PAOSON et il y a des trucs très sympas, son petit couteau pliant par exemple.

1700 t/m, c'est beaucoup et j'imagine que tu descends souvent ?
Du coup, c'est sans doute ton variateur qui te faire perdre du couple. Essaie de varier plutôt le diamètre de la poulie pour avoir une vitesse de base à 1000 t/m... si possible ?
Si tu envisages un achat, regarde la marque JET TOOLS qui propose une gamme variée de tour pour un rapport Q/P très intéressant. J'ai leur référence 1440 et je peux te dire que le couple est présent de 350 à 2500 t/m, pour une puissance réelle de 700 W (attention aux valeurs de pic données habituellement), entre autres qualités.
Je suis aussi un grand adepte du DIY mais pas encore lancé dans la construction de gros outillages, trop de contraintes et question de sécurité ; pourtant certaines scies à rubans me font de l’œil !

+1 pour le sapin !
On utilise ce bois cheap parce qu'on pense que ce sera moins grave si on plante le projet et que, de toute façon, on le refera plus tard en bois "noble". Mais ça ne se passe pas comme ça... ou rarement, car on a n'a pas forcément envie de reprendre tout à zéro.
Conclusion : utiliser un beau bois d'emblée. La différence de coût est rattrapée par le plaisir de travailler dans le "luxe", la meilleure tenue technique du bois et le résultat final ;-).
Passer du pin au frêne, par exemple
Beau petit tabouret, Bravo !
+1 pour les brûlures (vitesse et/ou désaffûtage). Solution : ponçage sans enlever trop de matière, compromis parfois délicat...