
Boris Beaulant C'est entre autre l'effet du pas constant en angle.
A mon sens, tu ne peux pas te passer du calcul de la courbure locale pour pouvoir mettre plus de point là où la courbure est la plus grande d'emblée (étapes 1 et 2 de ma réponse).
Une fois que tu as les valeurs des courbures (ou, mieux, l'expression de la courbure en fonction de l'angle de coordonnée polaire), il est possible de répartir les points selon ce profil de valeurs.
Une méthode (pas tout à fait directe) et de traiter la courbure comme une densité de probabilité (c), l'intégrer (C), prendre l'inverse (C^-1), et ensuite, pour N points, tu calcules la valeur de C^-1 à intervalles réguliers.
C'est la méthode de la transformée inverse mais avec un échantillonnage régulier plutôt qu'aléatoire.
Tu noteras qu'il est possible de faire du tout analytique ou du numérique, en tabulant les valeurs.
Sinon, tu demandes "How to distribute points on an ellipse so that the point density matches the local curvature?" à ChatGPT, et il te dit à peu près pareil...

Désolé, c'est surtout que je me limite à donner les grandes lignes pour voir s'il y a un intérêt, mais je peux mieux développer (je le ferai sous ma réponse). Après la mise en pratique peut aussi réserver des surprises...
Pour le reste, je ne crois de toute façon pas que l'on apprenne ça au lycée

Boris Beaulant Que représente la vague, en fait ?

Mais est-il possible d'obtenir une discrétisation à dérivée continue approximant une ellipse par des arcs de cercle ?
Deux cercles approchant voisins vont forcément s'intersecter en un point où la dérivée est non continue, non ?
Est-ce que je rate quelque chose ?
Sinon, c'est intéressant.

benjams Merci pour le complément. Ca m'a l'air élégant.
Une chose qui me trouble : si je considère les 4 points d'intersection de l'ellipse avec ses axes et que j'essaie d'appliquer cela, ça ne marche pas : les normales se croisent au centre, et il n'existe pas de cercle ayant ce centre et passant par les points d'intersection (étant donné qu'ils ne sont pas à la même distance du centre).
Je pense qu'il en est de même pour toute paire arbitraire de points sur l'ellipse (notamment, des points plus proches, comme dans l'application concernée).
Du coup, comment on traite ça ? On approxime ? Ne perd-t-on pas alors la continuité de la dérivée première ?

Défi : Comment trouver analytiquement l'approximation d'une Ellipse par une série d'arcs de cercle ?

1ère étape : exprimer le problème dans le repère de l'ellipse (axes coïncidant à x et y : a = 0, C = (0,0)). Au moins dans un premier temps, il vaut mieux chercher à résoudre le problème dans ce repère et appliquer les transformations adéquates avant et après .

Avant de résoudre analytiquement un problème mathématique, quand on a l'habitude, on commence par l'exprimer dans sa forme la plus simple. Ca fait partie du "processus" de résolution...
Tu ne verras jamais un mathématicien traiter le problème (ou y réfléchir) directement sous cette forme.
D’où ma suggestion à Boris Beaulant...

Ca permet de réduire le nombre de variables et supprimer les couplage avant de commencer à réfléchir.
Sinon Kentaro, je peux encore en placer une sans que tu viennes m'emmerder ? T'as que ça à faire de tes journées ?

Bonne année Boris Beaulant, je te souhaite le meilleur (et moins d'échanges comme ceux-là - j'en suis désolé).
Justement, si ton algo actuel opère dans ce repère général, une résolution dans le repère de l'ellipse (avec transformations appropriées avant et après) éviterait les "effets de bord" que tu observes, puisque le découpage en arcs de cercle serait indépendant de l'orientation / position de l'ellipse (lorsqu'observé dans le repère de l'ellipse, s'entend). C'est une solution.
Transformation avant : translation en (0,0) puis rotation.
Transformation après : rotation inverse puis translation en C.

Les formules m'ont l'air bonnes... Par contre, tu peux essayer de remplacer ellipse_def.angle par -ellipse_def.angle (et/ou angle par -angle, dans une moindre mesure), car il dépend de la convention utilisée (que j'ignore).

Boris Beaulant, en complément, voici ce que j'obtiens avec tes formules, pour
ellipse_def.center.x = 3
ellipse_def.center.y = 2
ellipse_def.xradius = 0.8
ellipse_def.yradius = 0.2
ellipse_def.angle = 0.2
et angle qui varie par pas de 0.1.
En somme, ça fonctionne... Ton problème doit donc venir d'ailleurs.

Voilà un problème de réglé...
Et au fait, Martin Müller n'a pas d'idées sur une méthode ? Il parait pourtant plutôt bien armé pour ça...
J'ai bien peur que la détermination d'une solution optimale nécessite une approche itérative, ce qui n'est pas ce que vous voulez, j'imagine ?

je ne vois pas pourquoi tu prends la mouche...
Probablement que benjams, comme j'ai pu le faire moi aussi, essaie notamment de corriger, en fournissant des éléments quantitatifs, la vision "ce sont les couches les plus externes qui confèrent la rigidité à l'ensemble" que tu continues pourtant de répéter.
Un CP est un milieu dense et homogène (même matériau partout, si on met de côté la notion d'orientation des fibres)... On ne peut considérer que les couches extérieures pour calculer la rigidité.
On voit que le dernier terme, par exemple 64 est bien plus important à lui seul que la somme de tous les termes antérieurs.
Et avec 10 couches ça donne quoi ?
10^3 = 1000
1^3 + 2^3 + 3^3 + ... + 9^3 = 2025 ...
et tout s'écroule...

Il se trouve que je connais un peu le sujet...
Si il y a 10 couches (dans une demi-épaisseur, et en ne prenant que celle qui sont "bien orientées"), est-ce la 10ème ou l'ensemble de toutes les autres qui confère le plus de rigidité à l'ensemble ?

Il reste que la rigidité de l'ensemble est la somme des contributions des couches individuelles.
On en conclue que certes la couche externe a la contribution la plus importante (parmi toutes les couches prises individuellement), mais que la rigidité de l'ensemble cumule l'effet de toutes les couches, et repose même davantage sur les couches internes que sur la seule couche externe quand le nombre de couches est "grand", par un effet cumulatif...
Les couches externes ont un effet largement prépondérant pour un CP 3 couches ou 5 couches (la couche centrale ne travaillant guère), puis moins prépondérant pour un nombre supérieure, jusqu'à ce que ce soit l'ensemble des couches internes qui contribue le plus au comportement global.
Un CP n'est donc pas réductible à deux couches de surface qui seraient séparées d'un matériau sans de contribution notable à l'ensemble, comme cela peut exister par ailleurs (avec des propriétés mécaniques qui diffèrent de plusieurs ordres de grandeur).

Oui, l'avantage de ces petits objets, c'est qu'on peut mettre le paquet sur le choix du bois (tout en passant les chutes)...

Merci ! Oui, j'ai eu les réactions de l'enfant : "trop bien", "transportable" (rapport aux poignées de la boite). Il y a juste les portes qui apparemment mériteraient amélioration... parce qu'elles sont d'abord passées pour des portes de placard, ou les portes du cinéma local...
Et le tout a fini dans le camion poubelle... Voilà donc un jeu qui vivra !

Merci !
Pour les fenêtres, ça n'est quand même pas ce qu'il y a de plus facile à fabriquer... Il me faut encore peaufiner mes gabarits...

DînerChocolat oui, c'est ça. Je coupe des clous en 4, pour faire des tiges de 10 mm de long. Les clous font 2.8 mm de diamètre, pour des trous percés à 3 mm. Une petite tige de chaque côté...

Merci Remym !

Boulou Très chouette. Est-ce que tu as appliqué la finition toit-même au parquet ? Saurait-il me dire ce qu'elle est ?
Conseil si tu le gardes en intérieur : remplace au plus vite la chaussette par une cartouche filtrante. Ca coûte un gros billet, mais c'est le jour et la nuit en termes de filtration (ou la nuit et le jour, plutôt !).
Sinon, c'est bien qu'il ait une arrivée par le haut. Mon AF-14 a une arrivée par le bas, et avec un réseau au plafond il faut faire un 180° du coup...