
J'avais présenté cet d'établi dans les trouvailles . La version exposée n'est pas dotée de deux presses. Le plateau présente l'avantage d'être en deux parties et d’accueillir selon les besoins un "casier" permettant le rangement d'outils fragiles et servant de butée.
Un commentaire pertinent de GG78 accompagne cette trouvaille.

zeloko Oui je reconnais que c'est surprenant, mais quand on voit la complexité et la sophistication de la machine et le nombre d'outils du plus gros au plus petit qui interviennent, en ligne, les uns derrière les autres, on ne s'étonne plus.
Pour ma part encore une leçon d'humilité,et aussi et surtout: "A quoi ça sert que je me décarcasse"

A propos de pompier et à l'heure ou nos esthètes usent leurs pantalons sur les sièges de diverses académies et se creusent la tête pour féminiser le nom de certaines professions,je n'ai rien lu ni entendu à propos des Femmes exerçant la profession de Pompier,Menuisier,forgeron, serrurier, Plombier Charpentier......
De là à en déduire soit qu'ils éprouvent des difficultés dans leur métier,soit que le travail manuel est le cadet de leurs soucis,

Vu en accéléré il se dégage une impression de facilité .La réalité est autre il y a là un savoir faire authentique .
On notera que Monsieur Adolphe Lafont, créateur de vêtement de travail, au XIXème siècle en faisant le tour des des divers corps d'état avait concernant les charpentiers crée le "Largeot" en apportant entre-autres quelques innovations répondant ainsi à leur demande .
A savoir:
- La création du fameux velours "peau de taupe" Indéchirable qui a sauvé des vies. Le charpentier pouvait compter sur la solidité de son pantalon en cas de chute due à un clou qui dépasse. Les métiers à tisser élaborés pour la confection de ce tissu ont été ferraillés depuis longtemps
- Le rétréci aux chevilles alors que le fessier est ample .le premier répondait à l'inconvénient de la présence de chevilles qui dépassent le second à la facilité à se baisser .
-La poche passepoilée pour le mètre assurait qu'il ne quitterait pas son logement même en position accroupie.
-La poche pour la montre à gousset Située sous la ceinture .
-La braguette ouvrant a gauche pour éviter de l'accrocher avec le manche de la tarière au risque d'un déséquilibre.
Manifestement le personnage de la vidéo néglige cette dernière option .

Bravo pour le choix de l'essence.
Au premier coup d’œil on sent que l'ensemble a nécessité réflexion, organisation, logistique... As-tu coordonné avec d'autres corps d'état?
Peux-tu éclairer ma lanterne concernant le plan de travail et la crédence ?
Pourquoi se focaliser sur le démontable Quand on peut espérer qu'un tel ouvrage a été conçu et réalisé pour durer?
(je passe sur le savoir faire dont je ne doute pas au vu de tes autres réalisations )

Bel objet, j’apprécie le fait qu'il semble qu'avant de le réaliser ,tu ais fait l'inventaire de ce qu’il devait contenir.
Une réponse à tes interrogations.
- e-boutet.fr/
- la-laitonnerie.com/
- ferrures.com/
- bouvet.fr/default.asp
- dubois.fr/
- lenne.com/fr/p...s/catalogue.php
- faure-fils.com
- serrure.fr/ls.com/
- garnier-remy.com/
- legallais.com/
Voila une propositions de maisons sérieuses qui proposent pour la plupart d'entre elles de la quincaillerie de qualité.
Encore une fois le prix s'oublie la qualité reste.Quand je relis cette dernière ligne , on dirait l'affiche qu'il y avait Derrière monsieur et madame Battout les très sérieux épiciers qui tenaient boutique à côté de chez moi quand j'étais enfant ( il y avait des rodoudous,des aspire frais et des bâtons de réglisse) . Je dois commencer à radoter?

Merci de ton commentaire .Hélas je ne l'ai pas photographiée après acquisition ,mais ce genre de table a été fabriqué en quantité de l'entre deux guerres jusqu'au milieu des années cinquante .Je ne manquerai pas de poster une photo si j'en trouve une similaire.
Pour la finition il y existe une alternative:
Soit une substance filmogène genre vernis polyuréthane qui a sa place dans les pièces humides ou en extérieur Mais dans ce cas la mise en valeur du ramage du bois est faiblement assurée ,quand au toucher il apporte sensiblement le même plaisir que la caresse d'une bouteille en plastique,par contre la protection est efficace.
Soit la finition cirée qui nécessite après la teinte une protection anti-taches obtenue par l'application au coton à mécher d'un fond dur cellulosique. Pour ma part je le passe trois fois de suite avec entre chaque passe un égrenage à la laine d'acier 000 . Puis pour réchauffer la teinte et donner de la profondeur au veinage du bois L'application au coton à mécher de la mâtine gomme laque en deux passes sans négliger un égrenage entre les passes .Enfin la cire que l'on applique uniformément à la laine d'acier 000 . Après séchage ,brosser énergiquement avec une brosse en plumes de queue d'oie (seules ces brosses sont assez dures pour échauffer la cire ) Et polir avec un chiffon de laine d'agneau .Le tout dans un endroit tempéré à l'abri de la poussière.
C'est à ce prix qu'un meuble ,en dehors de sa fonctionnalité offre un double plaisir: Celui de la vue et celui du toucher .
Pardon d'être un peu bavard mais ceci explique cela .

je serais surpris de l'absence de normes. Je veux croire que le législateur, si friand en la matière , n'a pas commis cet oubli.
Je l’imagine normalisant un point à la verticale du garde corps. De ce point normalisé pendrait un câble normalisé . Au bout duquel serait accroché une masse normalisée ,"On" reculerai cette masse d'une distance normalisée ."On" la lâcherai . "ON" prendrai des mesures que l"On" se dépêcherai de noter Avec cachets et tampons et signatures .
J'exagère peut-être un peu ,
Bravo pour cet escalier .
Bravo,simple, fonctionnelle,économique. longue vie à cette "chariotte".