

Vous, oui, mais on peut aussi donner des pistes à Kentaro puisque justement, il y a des chances que nous sachions où elles se trouvent.

Ladislas
C’est on ne peut plus exact et c’est pour cela que l’apprentissage existe. Sauf que pour le commencer on s’économise rarement d’au moins « tourner autour » de LA Littérature ; sinon à traiter d’abrutis tous ces gens qui, à toutes les époques, ont pris la peine d’écrire sur leur métier. Ne le prenez pas mal Ladislas : il est tout à fait acquis, pour moi, que ce n’est absolument PAS votre genre. Mais rappeler que la Littérature existe, à fortiori dans le cadre d’un complément de cet ordre auquel vous avez, c’est évident, répondu avec toute la probité requise, reste quand même un de mes domaine réflexe, un peu, aussi, parce que s’en faire l’économie (par habitude, facilité ou, prétendue modernité), c’est, selon moi (et je sais que vous savez ; mais on nous lit), être épouvantablement passéiste. Vous ne l’êtes pas ; vous touchez juste un sujet qui, vous le savez encore, est assez cher à mon cœur.
Kentaro
Trouver la base (ce qui ne veut pas dire toute la pratique) du calcul des diamètres de tuyaux d’orgues est une chose un peu facilitée, en français, depuis quelques années ; j’ai dû y contribuer un peu ; toutefois notez-le bien : jamais assez. Après, vous pourrez toujours nous demander s’il s’agit de diamètres intérieurs ou extérieurs (réponse : intérieurs). Et puis viendra un moment ou l’on parlera, en ce lieu si plein d’Air, plus de bois que de métal, ce qui nous permettra (gentiment hein !) de vous envoyer doucement paître sur un tableur résoudre la quadrature du cercle. À mon humble avis, vous devriez trouver ça nettement plus simple que de concevoir un télescope.
Après cela, vous pourrez aussi retourner auprès de la Littérature dite princeps et, au lieu de vous emmerdoyouner à tracer ces reliques à la plume d’oie sur palimpseste (Ahr, çakrilaiche!), faire joujou avec mes petits calculateurs qui accouchent de zoulis-zoulis PDFs, à l’échelle 1 (chadaure touchour çé bitites pestiauleu ki mé phon rikaulé).
Sachant enfin que pour les orgues dites « de barbarie », c’est-à-dire à carton ou à papier (purement pneumatiques), le Wouaibe regorge de tutos, allant de l’infamie contreplaquée collées à la néoprène (s’il vous plaît, Kentaro, ayez la gentillesse de tourner le chef afin de ne me vomir séant sur mes petits petons que j’entends encore pouvoir définir charmants), à un très joli complément en poirier pour une horloge suédoise (suivez mon regard).
Un grand écart dont j’aime à souligner que L’air du bois montre souvent des penchants qui me portent à m’épancher.

Kentaro
Ô Vous « qui, comme Ulysse, ... », ne substituez pas la « sagesse » à l’« usage » (1) puisqu’enfin Le Poète y porte une attention ! Car même si le second apporte à la première, vous avez toujours su qu’on ne peut être juge et partie. Et justement encore, l’usage n’apporte-t-il pas, d’abord, raison, puisqu’aussi bien sagesse n’est jamais que jugement (d’autrui) ?
Vous trouvez l’usage « compliqué » ? Pratiquez-le. Plantez-vous ; lamentablement (splatch, zi-va-t’es-kon-ou-koi ?). Défiez les rires-crétins ; d’un regard noir : jamais vous ne serez jugé pour avoir la méchanceté du mien à l’endroit de vos contradicteurs (ce qui devrait vous rassurer : y’a pire). Jamais, non plus, vous n’aurez nos sarcasmes parce que, justement en cet exercice, il se trouve quelques chances assurées que nous vous ayons précédé.
Et bien d’autres avant nous ; c’est aussi pour cela que j’aime La Littérature : ils nous rabâchent tellement, à longueur de pages, à quel point ils hésitent et ne savent pas, désirant tant que nous, leurs descendants, sachions mieux qu’eux, nous donnant encore le peu qu’ils avaient, tellement supérieur à ce que nous imaginions, avant de les lire vraiment, qu’ils puissent avoir autant. Faites comme eux : témoignez de vos erreurs pour dire au monde à quel point vous êtes nul. Les vrais n’apportent pas témoignage tant ils pérorent ce qu’ils savent ; c’est-à-dire toujours ― beaucoup ― moins que Vous, Kentaro. Et croyez-moi s’il vous plaît sur Parole tant je suis convaincu de m’y connaître en ces choses, sans doutes les seules dont ma propre vie m’a rendue vraiment expert.
Merci énormément, et dans tous les cas, de votre invitation ; il est, pour ma part, extrêmement rare que je descende de mes hauteurs (être perché peut, parfois, offrir certains conforts). Mais je vous promets une chose : celle de me souvenir qu’effectivement vous habitez dans ce triangle doré entre Paray-le-Monial, Autun et Châlon-sur-Saône.
(1) Même pour un texte du XVIe, actualiser « usage » par « sagesse » me semble être excessif, puisque l’usage est ici entendu comme une connaissance, une expérience. On pourrait, peut-être, remplacer raison par sagesse, parce que là, les deux relèvent de l’esprit. Se souvenir de ce jeu de mot italien : « Tradutorre : traditore » ; c’est tellement mieux de ne toucher à rien quand cela reste possible...

Bien cher Kentaro,
comment ai-je pu faire une chose pareille ?
Pour nous faire croire que vous êtes moins bon que nous alors que vous nous ressemblez (vous voulez que je vous la fasse, moi, la liste de mes kaunneries ?). Oubliez ; nous sommes sur L’air du Bois, pas sur « mesure-moi-la ». Ainsi, donc, avant que quiconque ici vous juge digne « d’un gamin de la téléréalité », il y aura un pas que nous penserons à franchir, sans doute plus tard ; ou pas. Et, avant cela, vous me permettrez, je suppose, de me faire votre avocat, y compris pour vous défendre de vous-même.
Mais vous devriez, effectivement, prendre le temps de corriger (même si c’est sûûûûûûûper-chiant) ; c’est tellement important, je crois, de ne pas être un traître.
Car vous qui téle-scopez, vous savez bien que le moindre petit espace de mouvement à la base empêche de pointer sur ce que vous désiriez voir, précisément. Que cet échange vous fasse bien comprendre une chose kentaro : vous êtes lu au-delà de ce que vous pouvez imaginer ; ça ne fait pas de vous un sur-homme, pas plus qu’une merde. C’est juste un échange humain, teinté parfois, et justement, d’une humanité bienveillante que ce lieu nous permet de partager.
En on dira qu’en c’moment, c’est pÔ du luxe .
Bien à vous,

Hallo alle,
Et pour les petits curieux qui comme moi, se posent des questions fondamentales, le livre photographié dans le présent fil s’intitule : « Die Bau- und Kunstzimmerei: mit besonderer Berücksichtigung der äusseren Form », édité à Leipzig en 1893. La chose possède un volume de texte et un « Atlas » de Planches.
Et on accède bien entendu d’un clic aux pages 191 et 192 dont la photo ci-dessus nous donne déjà une idée...
Je n’ai pas de compte sur le visage à barbe où ces questions se posent. Je suis d’ailleurs prêt à parier que l’on doit ignorer en ce lieu que le domaine public propose d’un clic l’accès à ces germaniques merveilles.
M’est avis que d’aucun, en celui-ci (nettement plus respectable et ouvert), vont se plaire à poursuivre ma présente bafouille pour poser par ici une prose par moi provoquée.
En s’arrangeant je vous pris, d’à la fin de vos phrases, vos verbes poser.
Ahr ! Wie schöne ist Daß !

« revendeur de matériel charpente a l'ancienne chicos bon genre » ; ça Kaß. Mais enfin, ça a pourtant l’air très zooooli ce qu’ils font !!! C’est juste une présentation « très tendance », « très propre », « très polie ». Les musculatures exposées ne sont pas là pour puer de suint (doux Jésus, mais quelle hÔr-reur !!!), mais pour faire frémir de désir ; et pas que les dames dont je ne suis pas. Par contre, eux, seront parfaits pour reconstruire les charpentes de cathédrales du XIIIe que nous n’avons pas su préserver. Après cela, on pourra aussi continuer le travail sur « l’image », beaucoup plus satisfaisante en re-production qu’en réalité. Pourquoi s’affliger de ce qui constitue l’essence-même de notre modernité ?
Le chieur que j’entends bien rester note quand même que l’édition du Monsieur est moderne puisque l’originale, celle de 1893, photographiée par l’Université de HHHHHHHHHeidelberg possède une pagination qui met (très traditionnellement puisque c’est un numéro impair) la page 191 à droite et la suivante à gauche, contrairement à cette édition contemporaine. C’est mal de faire ça ; fort mal.
Retournons donc de ce pas nous rincer l’œil pour nous consoler de nos névrotiques obsessions, puisqu’aussi bien il est admissible que même un Viollet-le-Duc, dans sa vision très perso qu’il offrait au monde de « son » Moyen-Âge, n’aurait ― n’en doutons pas ― assez peu renié la première vidéo en bas de page...
Modernité, vraiment ?

Bonjour à tous,
Il y a quelques années de cela, surtout parce que ce travail-là n’est pas du tout dans mes cordes (..!), j’avais eu à faire un travail assez similaire. Et comme j’aime bien noter ce que je fais, je l’avais mis en ligne. En fin de page, j’ai programmé un « calculateur » qui a eu le mérite de me faire travailler le SVG
et JavaScript réunis de façon basique, toutefois efficace. Le code y est d’ailleurs particulièrement mis en forme et commenté pour être accessible dans le navigateur à n’importe qui s’en donnera la peine ([Ctrl] + [u]).
De votre côté, ça vaudrait peut-être le coup de reprendre cette feuille de tableur pour, via macros, accoucher de graphiques, par exemple sur Draw (qui reste un module de la suite bureautique Libre). J’ai déjà un chouïa glosé là-dessus, là encore, il y a des années... Notez que je reste naturellement apte à entendre que la destination sur Sketchup serait sans doute plus en usage par les visiteurs de ce lieu qui en sont très friands. Mais pour ma (stricte) part, la licence de Sketchup, qui n’a rien de l’esprit ouvert (open-source) m’interdit d’y passer deux secondes.
L’avantage de pouvoir imprimer les formes, pour les petites pièces, c’est évidemment de pouvoir coller la feuille de papier sur le bois avant découpe. Et, sur ce point précis, parce que la suite bureautique Libre permet, via macros, de faire communiquer les modules qui la composent, cela laisse imaginer des pans entiers d’explorations pour des problématiques très ciblées (telles celle-ci) qui, une fois énoncées, peuvent être plus efficaces que les usines à gaz logicielles demandant souvent plus de temps d’apprentissage à l’utilisateur basique.
Pas plus que la description des particularismes de ses modules distincts (et évidemment, surtout de Draw), LibreOffice ne figure actuellement pas dans le catalogue logiciel du présent site. Je concède aussitôt que je pourrais me bouger mon petit-gros cul manque à tous mes devoirs de promoteur du logiciel libre et que votre présente publication m’y rappelle plus que jamais. Allez, si aucun événement imprévu ne la perturbe, ce sera sans doute pour la fin de semaine qui vient !

De par la troisième édition, les liens www sont maintenant morts. Voici les liens directs.
Tome 1
- Tuto 01 : Les essences de bois (fichier PDF).
- Tuto 02 : Les assemblages (fichier PDF).
- Tuto 03 : Placages précieux issus des défauts des bois (fichier PDF).
Tome 2
- Tuto 04 : Montage réglage de rabot (vidéo Youtube).
- Tuto 05 : Débit sur planche (vidéo Youtube).
- Tuto 06 : Optimisation du débit des panneaux (mauvais fichier sur le site de l'éditeur - erreur 404)
- Tuto 07 : Affutage de ciseau (vidéo Youtube).
- Tuto 08 : Réalisation de frisage en losange (vidéo Youtube).
- Tuto 09 : Réalisation frisage en damier (vidéo Youtube).
- Tuto 10 : Coupe et collage du stratifié (vidéo Youtube).
- Tuto 11 : Serrage et controle d'ouvrage (vidéo Youtube).
- Tuto 12 : Usinage de panneau sur scie circulaire (vidéo Youtube).
- Tuto 13 : Usinage sur dégauchisseuse (vidéo Youtube).
- Tuto 14 : Montage et réglage toupie (vidéo Youtube).
Tome 3
- Chapitre complémentaire A (fichier PDF).
- Chapitre complémentaire B (fichier PDF).
- Tuto 15 : Le relevé de mesures (fichier PDF).
- Tuto 16 : Tracer un trait de niveau (fichier PDF).
- Tuto 17 : Le tableau de recherche des niveaux d'antériorité (fichier PDF).
- Tuto 18 : Centre d'usinage (vidéo Youtube).
- Tuto 19 : La pose d'un meuble haut de cuisine (fichier PDF).

Bonsoir à tous,
ABSOLUMENT SUPERBE, mais je m’étonne...
Si je vous suis donc, vos claviers sont en prévision de faire sonner cet orgue. Voulez-vous dire que l’on revient à la dimension des claviers d’origine de 1719 ??? Vos trois claviers (encore une fois magnifiques), font chacun 48 notes (quatre octaves sans premier Do♯), soit huit notes de moins que les claviers « actuels ».
La console de cet orgue, jusqu’à il y a peu, c’est ça (ambiance cockpit 1935). Elle ne peut, de par cette photo, être attenante à l’orgue lui-même. Or, les touches axées en queue que vous présentez laissent entendre que l’on soit en voie de retrouver, non seulement la console d’origine, mais, forcément aussi, son type de mécanique. Elle sera donc attenante au buffet, ce qui, tant dans ce que l’on trouve actuellement en ligne que ce que l’on voit en photo, laisse entendre une refonte complète de l’instrument, encore corroboré par la vue de vos claviers, très historisants.
Confirmez-vous que l’instrument est actuellement en très grande restauration et que je suppose qu’on est en train de le re-rendre mécanique alors que ses transmissions étaient, depuis 1935 rendues électro-pneumatiques ?
Dites nous en un peu plus, encore et s’il vous plaît, sur les plaquages de vos bras de clavier !
- Noir→Ébène ? Poirier teinté ?
- Jaune→Buis ?
- Blanc→Os ? Ivoire ?
Les frontons de touches semblent très joliment plaqués sur le bois de bout de chêne de chaque touche. Est-ce du bois ? Si oui, quelle essence ?
Je suis un peu curieux... Sans doute aussi un peu de la partie...


Cette réimpression dont vous parlez, JPA33, fut faite en octobre 1997 chez l’éditeur de la « Bibliothèque de l’Image ». On la trouve encore sur le net, mais à des prix exorbitants (ISBN-10 : 2909808459 ; ISBN-13 : 978-2909808451) alors qu’à l’époque de sa parution, elle était, au contraire, extrêmement accessible...
Ces 1800 pages ne forment pas exactement trois volumes. En fait, quatre, puisque le tome dixième est publié à part. C’est d’ailleurs fort intelligent puisque c’est un tome d’index, particulièrement des lieux cités dans les neuf volumes tomes qui précèdent.

Outre l'excellente transcription de Wikisource déjà citée dans la description, quelques liens directs sur ce qui se trouve sur le net actuellement.
Internet Archive
- Tome premier
- Tome deuxième
- Tome troisième
- Tome quatrième
- Tome cinquième
- Tome sixième
- Tome septième
- Tome huitième
- Tome neuvième
- Tome dixième
Gutemberg
- Tome premier
- Tome deuxième
- Tome troisième
- Tome quatrième
- Tome cinquième
- Tome sixième
- Tome septième
- Tome huitième
- Tome neuvième
On note l'absence de tome dixième (index par communes) chez Gutemberg. Et je m'étonne encore de ne rien trouver sur Gallica, alors que la transcription des figures pourrait y être excellente à récupérer...


Bonjour à tous,
Pour un avant-goût de cette présentation,
le tome premier (bois droits), c’est par ici
et le tome second (bois croches), c’est par là.
« Deuxième édition » aussi, mais impression antérieure de douze ans à 1876 ce qui peut laisser envisager de possibles et légères différences.
Sébastien.

Bonjour à tous,
Merci (énormément) pour cette trouvaille que je ne découvre qu’aujourd’hui, presque un mois après sa publication, et qui, évidemment, n’en est pas une pour moi puisque je suis l’auteur de ce site. Je dois préciser deux ou trois bricoles et rien n’est mieux que de le faire sur cette page de « L’air du bois » dont je salue au passage l’ouverture d’Esprit, autant de son créateur que de ses acteurs, qui, tous, me font souvent découvrir et apprendre des choses, toujours passionnantes.
Roubo.art est, presque exclusivement, un travail d’hiver, au bord de la cuisinière à bois, dans un contexte qui mêle étrangement le XIXe siècle (il fait froid dans les fermes non restaurées du Plateau de Millevaches) et le XXIe... C’est aussi un travail fait dans un esprit de décroissance, sur un tout petit Raspberry-Pi... C’est aussi (et je le regrette) un travail qui subit un peu la résonance de ma disponibilité, en fonction de ma vie personnelle, pas forcément toujours prévisible. Notez, par contre, que j’ai eu d’autres projets dans ma vie, dont certains ne sont pas achevés, mais qui ne sont jamais lâchés. Je veux dire, par là, que ce qui est commencé trouvera sa fin ; particulièrement pour ce projet-là.
Depuis relativement récemment (un pur hasard, naturellement), l’éditeur « Les passerelles du temps », donne à télécharger en PDF l’ensemble de ses numérisations du texte de Roubo comme un exemple à voir de sa production. Si l’on prend les seules tables des matières, la transcription en question est pleine de fautes. Parfois l’orthographe originale est respectée ; parfois non ; sans que l’on sache pourquoi. Ce fait frise le ridicule dans certains titres de Planches. Par exemple, la numérotée 62, le titre original de la Planche parle des « embrasements de croisées ». Corrigé par l’éditeur, cela devient « embrassements ». Soit on suit l’orthographe, très variée, du XVIIIe siècle, soit on modernise. Mais si cette dernière solution est choisie, alors on se fixe une rigueur à suivre autrement plus poussée que celle que nous pouvons constater ici. Là, c’est du grand n’importe quoi, sans parler du respect des majuscules ou de la typographie. Certains mots des titres de Planches manquent (Planche 109). Pour ce qui est de l’OCR, il est naturellement automatique, jamais corrigé, et celui que vous pourrez télécharger gratuitement sur Internet Archive et d’une qualité infiniment supérieure.
C’est la raison pour laquelle je me permets de non seulement rejoindre « sciunto » (dont le lien sur savoirscom1.info est particulièrement à-propos dans le présent fil) mais aussi appuyer là où cela fait mal, à savoir la qualité plus que minimale de cette appropriation.
Toutes les Planches, même les plus larges, ont été réduites GRAPHIQUEMENT, à une largeur de page A4. Dans le cas de la très large numéroté 94, cela donne, tout de même, cela... C’est, selon moi (et pour le prix), juste inacceptable. On peut faire la comparaison avec la version actuellement disponible sur Wikimedia Commons ou revenir à mon paragraphe sur le traitement spécifique des Planches qui détaille, je crois assez bien, la problématique d’une transcription numérique de cet ordre. Si, dans le même texte, j’oppose une vue « qui se hisse jusqu’à une pensée éditoriale », c’est peut-être, aussi (...), parce que cette transcription commerciale me semble être une insulte à l’esprit-même de son auteur. La page Wikipedia qui lui est consacrée (et pour laquelle j’ai quelques affinités) abonde en citations relevant l’état d’esprit de Roubo ; on peut encore s’y référer, juste pour se rappeler à soi-même cette sienne attention à « concourir à la perfection d’un monument fait pour illuſtrer notre ſiecle, & éclairer l’avenir ». Si, au pesé de l’excellence de la gravure sur cuivre dont Roubo a signé presque cinquante pour cent de leur réalisation complète, le « répond » de l’avenir que nous sommes, avec les outils qui sont les nôtres, consiste à supporter des bouses de cette ampleur, cela illustre alors à merveille l’absolue nullité de notre propre époque. Sinon, vous pouvez toujours vous convaincre que vous allez apprendre l’Art du Trait avec la version commerciale de la Planche 140 (et celles qui précèdent ou suivent) ; à défaut de vous en souhaiter bien du plaisir, il apparaît, quand même, que la possession de ce CD-ROM commercial relève plus du snobisme bobo que de la connaissance. Il faut alors retourner aux citations-mêmes de l’auteur, évoquant les « demi-Savants, qui regardent comme inutile tout ce qu’ils n’entendent pas, ou ce qu’ils n’ont pas le courage de vouloir apprendre ; ce qui leur fait préférer des abrégés qui ne leur enſeignent que des mots, dans la connoiſſance deſquels ils font conſiſter toute leur ſcience, si cependant c’en eſt une que celle qui ne ſert qu’à ſurcharger la mémoire ſans éclairer l’eſprit, & qui fait plutôt des ignorants orgueilleux que de vrais Savants. »
Vous avez dit modernité ?

dneis
Je n’ai jamais vu que le travail de cet éditeur ait été d’avoir fait systématiquement un lien entre les appels aux Planches du texte vers l’iconographie. Même le travail inverse, qui consiste à répertorier tous les appels depuis les Planches, vers le texte, en répertoriant tous les appels notés dans les marges (et non, encore, dans le texte proprement dit) est un travail qui a été fait sur Roubo.art, mais qui ne me semble pas être réalisé par l’éditeur commercial...
Pour ce genre de traité, je suis très bien placé pour savoir à quel point c’est épouvantablement fastidieux puisque c’en est un que j’ai commencé (et jamais terminé) pour un autre traité, contemporain de celui de Roubo, et relatif à mon propre métier, ceci dès 1998 (ici, un exemple parlant) ! Ce travail pourra effectivement se faire lorsqu’une version correcte du texte, par exemple dans sa typographie originale, aura été extrait des versions photographiées. Vous pouvez commencer par aller fureter sur le forum dédié, pour vous rendre compte que vous êtes loin d’être le seul à éprouver le désir qui est le vôtre. Je reste à croire que c’est un travail qui doit se faire par une communauté, puisque cela demande d’être extrêmement relu pour obtenir quelque chose de pas trop mauvais. Dans tous les cas, la production du texte, par exemple balisé en XML, pourra se décliner dans tous les formats de la création : PDF, ePub, ODT &c. Je vous promets qu’il sera très aisé de vous le fournir sur votre Minitel de récup, installé en réseau dans votre atelier (car rien n’est plus résistant à l’obsolescence programmée qu’un Minitel) ..!
Et puis faudrait automatiser le tout, car y'en a des pages !
1312 et des brouettes dans le format in folio... L’automatisation de la reconnaissance des s longs est (très) loin d’être évidente. Je vous conseille d’aller lire ici et là les propos déjà échangés avec Jean-René Bastien, précisément sur le sujet spécifique du texte de Roubo... Vous comprendrez peut-être que tout cela n’est pas simple et ne peut pas (on en est autant désolé que vous), être résolu d’un clic de souris. Jean-René Bastien a une idée très précise de ce que c’est qu’une police de caractère. Comme lui, le sujet peut être abordé par n’importe qui ... à la condition de savoir s’y tenir...
Dans tous les cas, je dis (et je rabâche) que je ne crois pas à un seul relecteur. Il faudrait être des dizaines pour produire correctement un texte aussi dense. Je ne dis pas que cela ne soit pas possible ; je dis juste que cela demande d’y croire.
Beaucoup.

Je connais, évidemment, beaucoup plus le traité de son pote (ils se citent mutuellement) : Dom François Bédos de Celles... Mais disons que c’est « un bain », dans lequel je suis rentré un peu comme « en religion » au sortir de l’adolescence, donc au début de mon apprentissage. Ils étaient une « bande », tournant autour de Duhamel du Monceau et Grandjean de Fouchy . Et franchement, ce n’était pas, exactement, des brêles... Leurs désirs étaient énAUrmes... Et, comparativement à nous, ils n’avaient RIEN. Donc ce sont des gens qui, au-delà-même de la notion de temps qui nous sépare nous foutent des baignes à tire-larigot, à longueur de lignes et de traités. À nous de les recevoir comme telles ; avec, toujours, comme but, de les dépasser. Nous sommes des nains sur des épaules de géants, mais nous voyons plus loin qu’eux ; malgré tout, parce que l’Histoire s’est déroulée entre temps et que notre conscience s’est, malgré tout elle aussi, éclose en nous.
Je reste, pour ma part, convaincu qu’une fois qu’une version numérique TEXTUELLE, parfaitement conforme à l’originale, existera, il sera possible, en un tournemain, de la passer dans un français plus accessible à ceux qui, comme toi, n’ont pas l’aisance dans la pratique des textes anciens. Le passage, dans ce sens, est très automatisable. Connaître ces textes anciens n’a rien de passéiste ; c’est, au contraire, en plein XXIe siècle, très moderne. Mais c’est une modernité qui place son centre de gravité sur la conscience et ça, cela demande un effort, souvent considéré comme superflu. Passer à côté, c’est, pour moi, faire précisément acte de dépendance à une routine, à une absence de maîtrise ou de conscience donc, principalement, de Liberté.
Et il est peu d’homme qui, comme Roubo, préfigurent ce que sera la Révolution, non dans ce qu’elle aura de pire, mais bien dans ce qu’elle désirait de meilleur.

Il n’est pas, selon moi, de philosophie ou d’anthropologie qui ne trouve sa résonance dans le moindre tenon-mortaise, queue d’aronde ou autre bout de bois... Imaginer une productique en faisant fi, d’un revers de main, l’individu qui l’a produit, c’est se mettre au niveau des machines. Qu’on me pardonne d’être pourvu de plus de prétentions. Puisque tu lis Léon Jamin (Roret reste un éditeur...), encore plus d’un siècle plus tard et à chaque page, tu ne peux ignorer ses piqûres de rappel d’un humanisme fondamental à la signifiance de chaque geste. C’est la société industrielle, naissante à l’époque de Jamin (et devenue cancérigène de nos jours) qui a tué cette évidence. À nous de relever le défit de résilience de cette maladie productiviste : savoir, de ses propres mains, faire une queue d’aronde, ce n’est pas à dessein de faire de belles photos sur InstaMachin ; c’est un acte qui accompli la maîtrise que nous avons sur le monde, donc sur nous-même, et qui a comme résonance, entre autres, de ne pas polluer les océans de plastiques merdiques (incroyable non ???).
Donc Roubo, comme n’importe quel autre, a une vie, des émotions, des points de vue ; il bouffe, chie et baise Madame, comme n’importe qui. Là où il est exceptionnel, c’est que sa pensée, en l’occurrence technologique, traverse le temps et nous parvient. Ça, ce n’est pas donné à tout le monde. Et l’Internet n’est qu’un supplément d’âme fort peu pesant au regard de l’ampleur de leurs témoignages. Alors à défaut de savoir comment il s’y prenait avec Madame, on se questionne sur ses points de vue ; lui, et les autres de la bande. Ils sont d’une probité et d’une élégance aussi propre à leur siècle qu’à la mentalité de la nation qui les a pétris ; il n’y a pas d’égal, au monde. Nous parlons encore leur langue ; « ZI-VA-sa-mère ! », elle a si peu changé...
C’est, précisément, parce qu’ils n’avaient rien de « machines » qu’ils nous ont laissé une foison de notes de bas de page où abondent leurs humanités. Et c’est encore précisément ici, bien au-delà de l’apprentissage d’une technique lambda, de l’évocation rhétorique d’un tour de main (même s’il peut, encore aujourd’hui, se révéler toujours aussi efficace, sinon plus, que toutes les défonceuses « Blanches & Droites »...), que leurs lectures nous aident à nous sentir nous-même autre chose que de simples objets techniques, technologiques, sans faille et avec, surtout, toujours moins de goût.
Un exemple ? J’avoue que c’est fort peu et que plusieurs seraient plus parlants... Alors c’est parti : nous ne sommes pas encore tout à fait en 1789, mais l’esprit du temps n’est plus à la déférence crétine à l’endroit de l’aristocratie. On la sert encore (parce qu’elle a du pognon propre à survivre), mais elle commence à nous les briser ; menu. Et puis les corporations c’était bien, mais faut pas déconner : cette appropriation des outils est ridicule ; ouvrez les fenêtre et laisser rentrer l’air. Ça pue.
- On commence gentil en note de bas de page, page 52.
- On sera nettement plus mordant, plus tard en page 897 (« Les menuisiers ébénistes se servent, pour la construction des ouvrages dont il est ici question [...] »), sans oublier de bien mettre les points sur les i en note de bas de page, page suivante.
- Les snobs me gavent, note de bas de page, page 36 du « Traité de la construction des théâtres et machines théâtrales ».
- Avant, c’était mieux, note de bas de page page 982 et 983. Pure merveille de l’ambiguïté d’un homme qui voudrait, aussi, que la modernité ne le bouffe pas (rien de nouveau sous les tropiques).
- Et puis la merde, c’est de la merde, note de bas de page page 601.
Il faudra attendre la « Conclusion de l’Art du Menuisier » pour en savoir un peu plus sur sa vie même si, en début de Seconde Partie, l’« Avertissement de l’auteur » (1770, non paginé) nous donnait quelques bribes d’informations sur sa vie privée dépassant largement ce que les journaux de l’époque, ici ou là, pouvaient nous laisser entrevoir de sa vie publique, bien avant que ne naisse l’histoire, presque légendaire, écrite au XIXe. Il est (très) clair qu’il en a chié... Mais comme tous les grands, et à longueur de page, il n’a jamais oublié cette attention nécessaire portée à l’ouvrier qu’il n’a jamais cessé d’être.
Il est trop tard, ce soir, pour que je cite de mémoire tel ou tel passage marquant chez Roubo. Alors j’ai envie d’en faire un du même ordre (les deux hommes étaient vraiment potes), chez Dom Bedos. Dans un contexte de calcul d’une soufflerie d’orgue, il s’agit de pratiquer une racine carrée « en faveur des ouvriers qui ne ſauroient pas faire cette opération » (outre les orgues, le gars Bedos était quand même spécialiste des calculs astronomiques utiles à l’établissement des cadrans solaires). Et c’est reparti pour une diatribe, en caractères de notes de bas de page (plus petits, donc on en bafouille nettement plus), étalée sur plus d’une page et demie.
Je mets au défi quiconque de me trouver un tutoriel internautique sur n’importe quel sujet technique de cette profondeur. On a perdu cette concentration, cette attention, ce sens du détail qui s’inscrit dans un ensemble. On veut Roubo, là, maintenant, tout de suite ; mais le savoir n’est pas un bien de consommation. Le savoir est un bien humain ; aucune machine, aucun CD-ROM bâclé pour le commercialiser ne peut nous aider à l’intégrer. Pour lutter contre les connards qui détruisent les ponts du Moyen-Âge ou ne savent pas travailler dans une charpente du XIIIe sans la brûler, c’est la société-même qu’il convient de changer. Et cela, c’est d’abord par nous et en nous que cela commence.
« C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante »
Le renard, s’adressant au Petit Prince.
Antoine de Saint-Exupéry

Le propre d’un échange comme le nôtre est précisément de pouvoir prendre le temps et y revenir à souhait, de partager aussi bien au-delà des acteurs qui y interviennent. En conséquence sois bien rassuré sur le fait que je n’attends pas de réponse de ta part, à fortiori parce que j’ai bien conscience d’être plus à l’aise que la moyenne dans la connaissance des choses évoquées dans le présent fil.
Encore une fois, Roret n’est PAS un auteur mais un éditeur, principalement du XIXe siècle, très connu pour son « Encyclopédie pratique ». Si tu te tâtes à retourner à ton ancien métier, alors tu peux aller réapprendre les bases, façon pleins et déliés, avec le Manuel du banquier, bien entendu en version manuel Roret... Toutefois je reste à croire que tu seras sans doute plus sensible à cette citation d’Albert Einstein qui disait qu’« un jour, peut être, l’artisanat sauvera l’humanité »...
Les livres disponibles sur le site du « Bois + Le Bouvet » présentent presque Roret comme un auteur, ce qui est grandement du n’importe quoi. Ce site commercial présente un ouvrage, en deux tomes, intitulé « Menuisier en Bâtiments » et un autre « Sculpture sur bois » comme un « manuel » ou une « encyclopédie » Roret. Quid de l’auteur ? Sait-on si c’est un mixage de plusieurs éditions ? À partir de quoi ces textes ont-ils été établis ? Cela sent évidemment Nosban et Maigne à plein nez... Mais quelle édition ? Dans sa version en deux tomes, de 1843 ? Dans celle, en un tome, de 1929 ? Avec des inclusions du « Marqueteur et du tabletier » ? On ne sait pas, et c’est, pour le moins, moyen.
Le catalogue de la BNF nous montre que Nosban a été publié depuis 1827 à nos jours. C’est par cet intermédiaire que j’ai, après recherches (laborieuses), fini par comprendre que ce que vend Le Bouvet est un reprint de 2007 de l’édition de 1882.
Le manuel Roret sur la Sculpture sur bois a été écrit par un dénommé S. Lacombe. Il y a, là aussi, eu plusieurs éditions dont la première semble bien être de 1868. Au pesé du nombre de page annoncé (484), on suppose que celle que vend Le Bouvet reprend l’édition de 1929. Mais comme le reste, c’est uniquement commercial : tu achètes un truc, mais tu ne sais même pas ce que tu achètes ; c’est tout de même très (très) approximatif ! C’est comme si on te vendait une bille de bois en te disant « c’est du bois d’arbre, maintenant, démerde-toi »...
Pas du tout (mais alors pas-du-tout) le genre de choses qui m’exaspèrent...

Dans le même genre d’analyse iconographique amusante (ici, particulièrement riante sinon littéralement funny) je propose, ici le texte, et là une bonne définition de l’image. C’est au début du siècle et je dois dire que je trouve le sens mécaniste de ce garçon tout à fait épatant puisque sa connaissance tant des principes des leviers mais aussi des échappements est tout bonnement remarquable.
Autre chose : il devait avoir un sens de l’affûtage pour le moins aiguë ; aussi est-ce dans ce contexte de maîtrise et de doigté que l’on ne peut que se régaler du sens journalistique du dessinateur dans l’excellence apportée à la peinture des outils de cet atelier, faisant comme un écho à tant de technicité.

Une rapide recherche sur le Wouaibe nous apprend que le verso de ladite affiche est consacré à la poissonnerie... Faut-il, dans ce contexte, demander au pédagogue de sodomiser le diptère dans la présentation généraliste du métier ??? Soyons indulgents ; il en existe d’autres, pas forcément mieux...

Wouarf ! Par ailleurs, les volants de scie à ruban sans carter, c’est paaaaaar-fait pour les petits-n-enfants (et Médors aussi il est content).
Affiche recto-verso (la luge - le menuisier) de 1969.
Dans la même série Rossignol il y a aussi « Le travail de la maman le matin. » et « Le retour du père après sa journée de travail ».
Et en 2019, je suggère : « On reste calme ».

j'aime bien le principe. simple et efficace
Version moderne (et remarquable) des « étreignoirs » de l'ami Roubo.
Planche XVIII, évoqué page 82.

C'est certes pour une pub... Mais c'est quand même extraordinaire non ???
Et puis c'est Johann Sebastian, le choral « Jesus bleibet meine Freude » de la cantate BWV 147.
Un « tube », c'est acquis. Mais un beau tube quand même...

Table des matières pour ce volume (E-rara, Internet Archive et Gallica) :
roubo.art/tabl...p4.htm#partie_4
Table des Planches pour ce volume (E-rara, Internet Archive et Gallica) :
roubo.art/plan...p4.htm#partie_4
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roubo.art/tabl....htm#partie_3-3
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roubo.art/tabl....htm#partie_3-2
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roubo.art/plan....htm#partie_3-2
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Sans oublier l’indispensable Traité théorique et pratique de l’accord des instruments à sons fixes, l’harmonium, l’orgue à tuyaux et le piano, contenant une Théorie complète du Tempérament musical et des Battements, par ce cher Napoléon Fourneaux, après avoir, peut être, commencé par étudier les proportions desdits tuyaux puisqu’aussi bien ces choses ne s’improvisent quand même assez peu.


