
Hello,
Bravo pour t'être lancé et être allé au bout. Certes, il y a de la marge d'amélioration, mais il faut bien débuter quelque part. Et les premiers essais comportent leur lot d'enseignements. Il faut persévérer.
Dans le cas présent, je pense que le principal problème vient (au delà de la juste remarque d'Erebor sur le sens du fil du bois) du fait que tu as une collection impressionnante de livres. Je devine que le poids supporté par les étagères est important. Dans ce cas tu a plusieurs pistes envisageables :
- Au risque d'avoir à "sacrifier" les images reconstituées par les tranches, tu peux envisager l'ajout de montants verticaux
- Tu peux augmenter les épaisseurs utilisées pour construire, ou utiliser plusieurs épaisseurs contrecollées, pour augmenter la résistance des planches
- Ou alors choisir des essences de bois qui sont moins sujettes au fléchissement (voir les experts pour le choix optimal en la matière)
- Enfin il existe des possibilités moins accessibles (mais faisables à postériori, moyennant un démontage) comme inclure dans tes planches horizontales des renforts (en carbone, en profilé alu ou en acier) : une rainure à la défonçeuse, un peu de résine pour le collage... et le tour est joué.

Encore une fois je ne suis pas expert... mais pour le coup j'ai eu un incendie récemment à la maison
Ton expert en assurance va essayer de te dire que tout ton matos était pourri. Il faut lui tenir tête, en te basant sur une valeur de remplacement. Exemple bête : t'as une machine qui a 10 ans d'âge. Ton assureur te dira qu'elle ne vaut plus rien car elle a passé ses 5 années d'amortissement (par exemple). Si tu dois la remplacer à l'identique sur le marché de l'occase, c'est pas cadeau... c'est cette valeur qu'il faut déterminer.
Sinon, d'un point de vue pratique, il est probable qu'une partie de ton équipement peut être remis en état... en quel cas faut faire prendre en charge. Certains fournisseurs seront peut-être plus ou moins arrangeants... à toi de négocier pour te permettre de t'y retrouver...
En tout cas bon courage

Ah ça c'est intéressant/amusant. J'avais la même réponse de glaude. Nous-autres en france, on appelle bouleau un bois à l'écorce blanche (Betulaceae, on est d'accord, dont on travaille aussi l'écorce).
Mais en revanche le merisier n'est que l'une des multiples espèces de cerisiers. Ca n'est pas un bouleau...
Le Merisier est aussi appelé "cerisier sauvage" (Prunus avium, d'après wikipedia), et sert souvent de porte greffe pour d'autres sortes de cerisiers...
CF, sans que soit une garantie : fr.wikipedia.o...g/wiki/Cerisier

J'allais proposer "faire revenir l'artisan". Après il existe plein de solutions : régler les ancrages (si celui du faut sort plus que celui du bas, il y a une force parasite et le volet va vouloir se mettre à 90° par rapport au mur). Il est aussi possible d'ajouter une barre de maintien entre le mur et le volet, avec des points d'attache multiples par exemple, pour pouvoir entrebâiller...

Mon vendeur de matos ossature bois propose une bande caoutchouc de grosso modo 1cm d'épais à intercaler entre le béton et le bois de la structure. D'une part ça désolidarise la structure d'un point de vue vibratoire (c'était important pour moi, puisque je faisais une salle de musique), et c'est également étanche.
J'ai utilisé ça sous ma structure, et vissé directement au travers de ma semelle bois et dans le sol avec des vis béton, et prenant en sandwich la couche caoutchouc.
Pour finir, le bardage étant en déport, sur liteaux, et pas en contact avec le sol, il y a bien désaccouplement et le bas de mon mur est sain.

ncommiss sinon tu leur mets un groupe électrogène dans la cour ;-)

Merci du conseil, je n'y aurais pas pensé.
J'ai plus qu'à trouver un frigo pour l'atelier, sinon j'en connais une qui ne va pas être heureuse ;-)

Atelier Eustache ce sont les petits trucs comme ça qui font la différence ;-)

j'ai toujours tendance à surdimensionner mon outillage. L'avantage, c'est que je fais effectivement plus de choses que ce que j'avais prévu au départ, mais que je n'ai pas eu à changer... sauf pour ma scie à onglets einheill... la marque manque de sérieux (réglages peu fiables en particulier, laser tombé en panne très vite).
Je dirais donc scie 165mm, y'en a à pas cher y compris dans de grandes marques.
En lutherie, pour faire du placage sur des courbes "dures" on utilise un fer à cintrer, une sorte de profil d'aile d'avion métallique et chauffant (exemple ici. En mouillant le bois préalablement, on peut le courber peu à peu en le mettant en contact du fer. En prenant son temps, on peut faire des courbes incroyables et régulières. Reste qu'il faut être patient, car on peut vite brûler la surface du placage.
Enfin ça me parait complètement adapté à la situation. Et sans acheter un truc spécifique, tu peux bricoler un équivalent avec un décapeur thermique, et utiliser trois tubes métalliques de diamètres différents comme gabarits