A quelle hauteur percer une muralière de 225mm de haut par 100mm de large destinée à soutenir des solives de 5m de long, le support est une poutre en béton armée de 300mm de haut par 300mm de large, la muralière doit être posée à environ 50mm au dessus du bas de la poutre en béton armé
ChatGPT a dit :
Pour déterminer la hauteur de perçage de la muralière (225 mm de haut x 100 mm de large) destinée à supporter des solives de 5 m, et fixée contre une poutre en béton armé de 300 mm x 300 mm, voici une réponse claire et technique.
Données récapitulées :
• Muralière : 225 mm (hauteur) x 100 mm (largeur), posée verticalement.
• Poutre support (béton armé) : 300 mm x 300 mm.
• Position de la muralière : son bas est à 50 mm au-dessus du bas de la poutre.
• Objectif : fixer solidement la muralière par tiges filetées ou goujons à expansion dans le béton.
Calcul de la hauteur de perçage dans la muralière
Pour un bon ancrage et une bonne reprise de charge :
- Placement optimal des fixations dans la muralière :
• Il faut éviter de percer trop près des bords (minimum 50 mm recommandé).
• Pour une muralière de 225 mm de haut, un perçage centré est idéal :
◦ Hauteur de perçage dans la muralière = 225 / 2 = 112.5 mm depuis le bas de la muralière. - Traduction de cette hauteur sur la poutre béton :
• Puisque la muralière est posée 50 mm au-dessus du bas de la poutre :
◦ Hauteur du perçage sur la poutre béton = 50 mm (espace entre bas de poutre et bas de muralière) + 112.5 mm (position du trou dans la muralière)
◦ Hauteur du perçage dans le béton : 162.5 mm à partir du bas de la poutre.
Réponse finale :
Vous devez percer la muralière à 112,5 mm de son bas (soit en son centre vertical),
ce qui correspond à 162,5 mm à partir du bas de la poutre béton armé.
Remarques techniques :
• Utilisez des tiges filetées M12 ou M16 avec scellement chimique ou goujons d’ancrage adaptés au béton.
• Respectez un entraxe de fixation de 600 mm à 800 mm selon la charge et le type de solives.
• Prévoir au minimum 2 points d’ancrage par solive répartis sur la longueur de la muralière.
Si vous me donnez le type de bois, la section des solives, et la charge prévue (plancher, habitation, grenier, etc.), je peux affiner les entraxes et le dimensionnement de la fixation.
Vous avez dit :
En perçant à 112,5mm la muralière la hauteur utile en compression au niveau des points d'ancrage ne sera que de 112,5mm
ChatGPT a dit :
Très bonne remarque. Tu touches là à un point structurel important :
La hauteur de bois utile au-dessus du point d'ancrage joue un rôle clé dans la capacité de reprise des efforts en compression verticale/transversale, et dans l’écrasement du bois sous l’effet des réactions des solives.
Problème si on perce au centre (112,5 mm du bas) :
• Tu as 112,5 mm de bois sous le point de fixation, mais seulement 112,5 mm au-dessus.
• Or, la réaction d’une solive crée une poussée vers le mur/muralière, qui doit être transmise à la fixation et reprise par le bois au-dessus du point d'ancrage.
• Cette zone comprimée (bois au-dessus du goujon) est donc structurellement active.
• Si cette hauteur est trop faible, il y a risque d’écrasement du bois autour de la fixation, ou d’un arrachement.
Objectif :
✔ Maximiser la hauteur de bois au-dessus du point d'ancrage
✔ Tout en conservant une distance suffisante sous le trou pour éviter le fendage du bois
Recommandation :
Position optimale du perçage :
• Plutôt que de percer au centre de la muralière, il est mieux de percer plus bas, de sorte qu’il y ait :
◦ Environ 2/3 de bois au-dessus
◦ Et 1/3 au-dessous
Exemple :
• Si tu perces à 75 mm du bas de la muralière :
◦ Hauteur de bois au-dessus du trou : 225 – 75 = 150 mm
◦ Hauteur de bois sous le trou : 75 mm
◦ C’est un bon équilibre structurel
En conséquence, le trou dans le béton sera à :
• 50 mm (entre bas de poutre béton et bas de muralière) + 75 mm = 125 mm depuis le bas de la poutre
Réponse ajustée :
Perce la muralière à environ 75 mm de sa base,
soit 125 mm depuis le bas de la poutre béton armé.
Cela te donne 150 mm de bois au-dessus de l’ancrage, ce qui augmente nettement la résistance à l’écrasement.
Bonus – autres points à vérifier :
• Utiliser des entretoises métalliques ou des rondelles larges entre l’écrou et le bois pour mieux répartir les efforts.
• Vérifier le type de fixation : scellement chimique = plus souple pour les reprises de charge + meilleure tenue dans le béton.
• Adapter l’espacement des fixations à la charge reprise par chaque solive (calculs possibles si besoin).
Souhaites-tu que je t’aide à vérifier la résistance à l’écrasement du bois autour des points d’ancrage ? (il faut juste le type de bois et la charge reprise par chaque solive).
Vous avez dit :
oui
ChatGPT a dit :
Parfait ! Pour vérifier la résistance à l’écrasement local du bois autour des ancrages (dans la muralière), il faut que tu me donnes les informations suivantes :
Données nécessaires :
- Type de bois de la muralière (ex. : sapin, douglas, chêne, LVL, etc.)
- Section des solives (largeur x hauteur en mm)
- Entraxe entre solives (en mm)
- Charge totale reprise par chaque solive ou le plancher (en kg/m² ou kN/m²) :
◦ Préciser si c’est un plancher d’habitation, grenier, stockage, etc.
◦ Inclure le poids propre, charges d’exploitation, cloisons, etc., si possible. - Nombre de points d’ancrage par solive ou entraxe des fixations dans la muralière
- Éventuellement : type de fixation (tige filetée, goujon, diamètre)
Avec ces infos, je peux te calculer :
• La force transmise par la solive au niveau de la fixation (effort de réaction)
• La pression exercée sur le bois autour de la fixation
• Et comparer ça à la résistance admissible à l’écrasement du bois dans la fibre (fc90)
But : vérifier que
Pression exercée < Résistance à l’écrasement du bois
Tu peux copier/coller ce petit formulaire pour me répondre rapidement :
java
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Type de bois :
Section des solives :
Entraxe entre solives :
Charge totale (kg/m² ou kN/m²) :
Type de plancher (habitation, grenier, etc.) :
Nombre de fixations par solive (ou entraxe des fixations) :
Type de fixation (tige filetée, goujon, diamètre) :
Je te fais le calcul dès que tu m’envoies ça.
Vous avez dit :
Type de bois : sapin Section des solives : 225mm x 75 mm Entraxe entre solives : 500 mm Charge totale (kg/m² ou kN/m²) : 120 kg/m2 Type de plancher (habitation, grenier, etc.) : grenier Nombre de fixations par solive (ou entraxe des fixations) : 800mm Type de fixation (tige filetée, goujon, diamètre) : goujon de 12mm de diamètre
ChatGPT a dit :
Parfait, merci pour les données complètes !
Objectif :
Vérifier que le bois (sapin) de la muralière ne s’écrasera pas localement sous l’effet de la poussée des solives via les goujons d’ancrage (Ø12 mm, entraxe 800 mm).
Étapes du calcul
Effort transmis par chaque solive à la muralière
Données :
• Charge totale : 120 kg/m² = 1,2 kN/m²
• Entraxe entre solives : 500 mm = 0,5 m
• Longueur de solive : 5 m (donnée initiale)
• Portée unilatérale (appui sur muralière) : 1 seul point d’appui, donc demi-charge
Charge supportée par chaque solive :
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Charge par solive = 1,2 kN/m² × 0,5 m × 5 m = 3 kN
Réaction à la muralière = 3 kN / 2 = 1,5 kNDistribution de l'effort sur les goujons
Hypothèse : entraxe des goujons = 800 mm
=> une fixation tous les 0,8 m
Mais les solives sont espacées de 0,5 m, donc chaque solive est "entre deux goujons"
L'effort de 1,5 kN est donc reparti entre deux goujons :
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Effort par goujon ≈ 1,5 kN / 2 = 0,75 kN = 750 NRésistance à l’écrasement du bois (sapin) sous pression transversale
Valeur normative :
• Résistance à l’écrasement perpendiculaire aux fibres (sapin) :
◦ fc90,k ≈ 2,5 à 3 MPa (prenons 2,5 MPa pour rester conservatif)
• Coefficient partiel de sécurité bois = γM = 1,3
• Résistance admissible :
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fc90,d = 2,5 MPa / 1,3 ≈ 1,92 MPa = 1,92 N/mm²Surface de contact bois-goujon (zone comprimée)
Hypothèse conservatrice :
• La pression s’applique sur une zone autour du goujon de 12 mm
• Largeur prise = diamètre goujon = 12 mm
• Hauteur utile de bois au-dessus du goujon = 150 mm (si tu suis la recommandation précédente)
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Surface comprimée = 12 mm × 150 mm = 1800 mm²Pression réelle exercée par le goujon
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Pression = Effort / Surface = 750 N / 1800 mm² ≈ 0,417 N/mm²
Résultat final :
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Pression réelle : 0,417 N/mm²
Résistance admissible : 1,92 N/mm²
Marge de sécurité ≈ 4,6 fois → AUCUN RISQUE D’ÉCRASEMENT du bois autour du goujon.
Conclusion :
Tu peux percer ta muralière à 75 mm du bas, ce qui te donne 150 mm de bois utile au-dessus de la fixation,
et garantit une résistance largement suffisante à l’écrasement sous les charges d’un plancher de grenier.
✔ Recommandations :
• Continue avec des goujons Ø12 mm tous les 800 mm
• Privilégier un serrage modéré (pas trop fort) pour éviter d'écraser le bois au vissage
• Si possible, ajouter des rondelles larges côté bois
C'est bien mais ... il manque l'âge du Capitaine. Aie pas sur les doigts, je n'ai pas de gants