Oui mé non, j'ai vu quelque part une illustration du même genre où l'on voit une cheville posée en losange, et où le dessinateur a montré les fibres de bois qui se fendent...
(enfin tout cela n'a pas trop d'importance, avec l'abaque, Gilles devrait s'en sortir et faire des chevilles magnifiques !)
Ma parole ! Tu collectionnes les bouquins de techno ?
Bravo ! Sainte patience...
C'est quoi le "rubio coloré" ? Ça se met en œuvre comment ?
Ah, bon à savoir ! Parce que même quand tu n'en n'as pas 450, c'est toujours pénible de faire les 6 faces, en une seule fois sans gâter les faces déjà faites, et en les posant sur une arête pour qu'elles sèchent mais sans que ça n'accroche le support et sans salir...
Merci pour l'info.
Moi ce qui m'épate, c'est les rideaux... tu as fait ton atelier dans ta salle à manger ?
En tout cas pour de la récup. Ikéa, c'est très réussi !
Heu... tu peux préciser ? (là j'aurais besoin des verbes !)
Très joli ! J'aime bien le côté noir et blanc.
Tu pourrais montrer une photo des portes triangulaires, qu'on puisse voir comment elles s'ouvrent ?
J'ai fait un dressing du même genre dans la tour d'ivoire de ma fille (en 3 plis 22mm, monté sur place également et sans aucune vis ni tasseaux, juste des tourillons placés au bon endroit). Mais je n'ai pas eu de bonne idée pour les triangles justement...
Ben et le papier et le crayon ?
Il faut vraiment un ordinateur pour concevoir un meuble ?? (je dois vraiment être (très) vieux con moi !)
itou !
Merci trente six seb !
Oui, je n'ai pas osé le dire mais ça fait un peu gadget, ce truc. Moi il y a un truc qui me chiffonne : la surface de référence est la joue gauche de la scie (c'est là qu'il met la "tare" à zéro), donc si on ne tient pas compte de l'épaisseur de la lame, le morceau débité n'aura pas la bonne longueur. Or à un moment il montre la mesure avec un mètre à ruban mais son pouce gêne la mesure, on ne voit pas si c'est juste.
Merci à tous Oak, Bonbonveronbi, sylvainlefrancomtois , cocoM, bernardrebout, titimaster, trente six seb, Wil.
C'est un peu plus clair, mais c'est vrai que dans la mesure où je donne plus dans la grosse tambouille que dans le raffinement, cela ne m'a jamais été utile de faire une épure ou un plan sur règle. Mais j'y penserai à l'avenir, sait-on jamais, ça peut servir !
Encore merci à tous pour vos éclaircissements !
Ah ben oui, réflexion faite, le calibre G sert justement à donner une position angulaire identique à tes 3 fers. Ensuite le régleur E fait son office. Moi comme je n'ai pas le calibre G, je mets mes fers en butée arrière sur le régleur comme je l'ai dit, et cela m'oblige à retoucher ensuite la hauteur de la table de sortie.
Bravo !
Heu, tu es sûr de ton coup pour l'huile d'olive ? J'ai trouvé plein de discours contradictoires sur l'huile à utiliser. La seule info qui ressort, c'est de prendre une huile qui ne rancit pas (sinon odeurs), mais je n'ai jamais trouvé quelque chose de clair sur laquelle utiliser.
Yam59
Merci pour le lien !
Cela dit pour Manolo24 ce n'est pas irréversible : je pense qu'il faut juste laisser la planche sécher pendant quelques jours (quelques semaines ?) puis remettre de la bonne huile.
Pour "l'huile minérale de qualité alimentaire", tu aurais quelques exemples de marques ou de liens vers des fournisseurs ?
Moi c'est pareil, j'en ai fait deux, une pour offrir et une pour moi mais elle est restée brute (de toute façon sans huile tant que je n'aurai pas trouvé ce qu'il faut), et sans coups de couteaux...
Je devrais faire une psychothérapie, moi !
Superbe ! Petite question : à quoi sert la planche centrale qui a l'air amovible, avec les lumières percées dedans ?
Merci pour les infos, et alors comment tu t'y es pris pour faire en sorte qu'elle soit positionnable à la hauteur que tu veux ?
Ouah p'tain, j'adore... en général j'imagine des trucs d'une complexité invraisemblable, et là c'est simple, efficace, robuste !
Bravo !
Merci trente six seb ! J'ai déjà commandé les 3 tomes de Technologie des Métiers du bois, ainsi qu'un bouquin sur les escaliers. Et en effet la base d'examens m'a permis de savoir où je mettais les pieds, bien qu'elle ne soit pas exhaustive, il manque plein d'épreuves).
Et "Cours en bois" a l'air super, merci pour le lien.
Je fais de la menuiserie pour la plaisir depuis quelques décennies, mais le CAP est dans un projet de reconversion en... rénovation intérieure. Le diplôme est ce qui sépare un "bon bricoleur" d'un "professionnel", et j'ai besoin d'être qualifié de pro pour avoir "le droit de" poser des fenêtres (en général, il y a de la fenêtre dans une rénovation).
Par ailleurs, apprendre est ce que je sais faire de mieux, et me confronter à des épreuves notées me plaît bien : ça rafraîchit les idées, ça remet en question, c'est motivant !
Oui, bon... je ne vais pas entrer dans la polémique mais je comprends ton coup de gueule !
Toutefois, je suis tuteur d'un jeune en situation d'illettrisme qui est en CAP boulangerie, et quand je vois ce qu'il sait faire (qu'il a appris en 2 ans, malgré ses difficultés de langage), je suis épaté. Il fait du bon pain et quand je l'achète je ne sais pas si c'est lui qui l'a fait ou son patron. Je suppose qu'en menuiserie c'est pareil, il y a ceux qui sont par hasard et ceux qui aiment cela et qui feront du bon boulot. Pour le coup je suis donc assez optimiste sur le sujet !
Merci Laurent51 ! Bon, je ne vais pas t'infliger toute ma liste de vocabulaire (ce n'étaient que quelques exemples), mais en fouillant sur le web j'ai déjà trouvé pas mal de littérature. Je vais refaire le point et s'il y a encore des "mots nouveaux" je reposerai la question.
Et merci pour la référence au guide du constructeur, qui a l'air pas mal.
Ah, mais oui voilà ! (nom d'une pipe : ça fait 3 jours que ça me travaille cette histoire...)
Par contre je n'ai pas retrouvé le dessin des chevilles mises en carré ou en losange, il doit donc y avoir encore un autre bouquin illustré sur le sujet.
Là, il est clair sur la question : "On y enfonce les chevilles au marteau en prenant la précaution de placer un côté de leur section parallèlement à l’arasement. De cette façon, on comprime les tissus au lieu de les décoller, ce qui se produirait si l’on posait les chevilles obliquement (fig. 436 et 437)."