
Mais au fait, j'y pense... le mur mitoyen t'appartient de ton côté, donc rien ne t'empêche de le percer et d'y mettre quelques chevilles !
Donc tu fixes les deux montants de fond, et adieu tous contreventements ! Adieu même 80% de la structure arrière : juste un montant intermédiaire et tu peux visser tes plaques d'OSB. Ou même rien du tout : mur brut, selon l'utilité de cet abri (si c'est pour mettre une bétonnière et une tondeuse...).

Rakotouf tu n'as pas tout à fait tort sur le principe, je vais en parler dans la suite (j'ai découvert cette surprenante manière d'allumer les leds), mais ce n'est pas cette languette qui sert à cela, c'est un petit cylindre qui tourne avec la machine.

Kentaro oui j'ai fini par y arriver (c'est juste qu'hier à 1h du mat il était temps de fermer boutique !).

Ah, super génial que ça serve dès maintenant ! Du coup attend encore quelques jours que je finisse (je ne suis pas sûr d'avoir le temps ce soir) normalement en une soirée ce sera fait.
Par contre je n'ai pas pris de photo de tout, mais il n'y a aucun geste technique "de haute technicité", le plus chiant était de remettre le ressort de la manette de blocage de hauteur justement (mais j'y suis arrivé, alors c'est possible).

Alors pour le bruit de vis qui se promène, je ne vois que 3 possibilités
- le circlips de la colonne de droite qui se serait barré (et la rondelle associée), mais franchement, pour bousiller un circlips, il faut être très très très énervé !
- la cage filetée qui permet le réglage micrométrique (donc le bruit serait à gauche vers la manette justement)
- le sandwich de circlips dans le bouton de réglage de hauteur (facile à vérifier).

benoit96 quand tu feras ton démontage, si tu peux prendre des photos que je n'ai pas (notamment le mécanisme de réglage micrométrique), n'hésite pas à me les envoyer je les ajouterai au pas à pas.

Charmousse moi à part sur ce coup-ci (finalement réparé), je n'ai pas à m'en plaindre, surtout vu le prix. Mais j'en ai une utilisation occasionnelle seulement.

Jetable ? Alors qu'elle est presque neuve ? Jamais !
(bon, si j'étais professionnel, j'agirais autrement, encore que maintenant je saurais faire assez rapidement)
(mais je crois que je ne serai jamais un vrai professionnel obligé de jeter/racheter pour assurer son CA)

Je ne la sors pas très souvent non plus. Mais je me dis que j'aurais été content d'avoir un pas à pas pour expliquer le démontage. Comme il n'y en a pas, je m'y colle ! Tant mieux si ça sert à d'autres, c'est autant de temps gagné, surtout si ça évite de jeter...

Malijaï il n'y a pas du hosti aussi ? "Crisss", c'est le début de Christ ?
Manipulette(c) création originale de mes enfants, que je recase à chaque occasion (ce serait dommage de garder ce joli mot pour nous !).

Lutralutra dans un autre échange tu disais avoir rebobiné des milliers de moteurs, du coup je pensais que tu avais déjà vu cela et je comptais sur toi pour nous donner l'explication !

Lutralutra ah oui, j'avais mal lu !
Entre la languette et la carte des LEDs, c'est sûr que non ; entre la languette et le disque tournant en laiton, c'est presque sûr que non ; entre la languette et quoi que ce soit d'autre, j'ai un doute (forcément !), mais je crois bien avoir vu cette languette sur d'autres moteurs d'outils électroportatifs, et qu'elle n'était pas reliée. Concernant la défonceuse je ne vais pas la redémonter (trop pénible) mais à l'occasion redémonter une perceuse, pourquoi pas.
Ceci dit, de toute façon sur la platine métallique il n'y a rien d'autre à relier à part les LEDs...
Pourrait-ce être un moyen de récupérer de l'électricité statique par exemple ? Mystère !

fab29 ah je vois que je ne suis pas le seul à avoir des déboires... Pas que je sois vicieux mais je me sens moins seul !
Moi il faut que je rachète les charbons que j'ai bousillé...

Avec plaisir merci à toi pour ce retour !
Et donc si tu as une défonceuse, c'est sans doute que tu travailles le bois (oui oui, ma clairvoyance est impressionnante !), par conséquent tu es le bienvenu pour publier tes créations qui, je n'en doute pas, intéresseront du monde.

Sache en tout cas qu'il n'y a pas que des escaliers débillardés de haut vol et des charpentes de folie (et heureusement car sinon personne n'oserait publier quoi que ce soit !). Il y a aussi les toutes premières créations de débutants et elles ne sont pas moins utiles que les autres : ça peut donner des idées, montrer ce qu'on peut faire, pousser des gens à se lancer dans le travail du bois...
Tu es ici chez toi, comme tous les membres de L'AdB.

Ravi d'avoir été utile, HenriD !

Je n'ai aucune réponse à tes question, hélas, mais si tu as des infos, n'hésite pas à les mettre en commentaire, je mettrai à jour le pas à pas.

5) Vous vous demandez sûrement pourquoi je m'acharne sur ce "machin"....
En premier, j'ai horreur de ne pas comprendre
C'était inutile de le préciser, JPL65, je te prends quand tu veux dans mon club d'intellos-débiles-créatifs !
Merci pour ces explications fort convaincantes, et assez compréhensibles même pour moi qui suis nul en électricité.

Génial ! Merci pour ton retour, schgreg, ça fait plaisir.

Alors compte tenu du schéma de principe ici, vérifie que la pièce rouge est bien vissée dans la verte. Le plus probable est qu'elles soient séparées.
Si elles sont bien ensemble, alors c'est que la pièce jaune n'assure pas la blocage en rotation de la pièce verte. Soit que la verte se soit barrée de la bleue, soit que la jaune ne traverse pas la verte.
Après, sinon, il faut voir un sorcier...

Bah, sauf si tu peux le faire de l'extérieur (avec un scanner type aéroport ou médical), ou par imposition des mains (mais vu que c'est moi, Dieu, donc tu ne devrais pas y arriver), ou par magie (mais vu que tu n'y as pas pensé, tu ne dois pas être sorcier).
Ce qui tombe bien, c'est qu'un gars de L'Air du Bois a fait un pas à pas pour savoir comment démonter la machine, profite-en !

Voici un exemple chez mes parents... on dirait que le volet tombe sous son propre poids, mais pas du tout vu que certains tombent vers le bas et d'autres vers le haut !
Ce type d'assemblage est foncièrement contre-nature. Donc je ne sais pas dans quel sens on peut dire que c'est "stable", mais en tout cas le bois travaille, surtout dehors, et donc ça fait des losanges.

Nairod c'est une méthode originale, mais tu vois, chez mes parents il y avait 1 chance sur deux que ce soit dans le bon sens, et deux volets... 1 point partout la balle au centre !

Je ne sais pas... mais dans le meilleur des cas il contrebalancera l'affaissement naturel l'été et pas l'hiver, ou l'inverse, donc je sais que tu as très envie d'inventer un truc chelou (je te prends dans mon équipe d'intellos débiles créatifs quand tu veux !), mais ça ne me parait pas d'une fiabilité extraordinaire !

Nonon AnneLise, ça ne se voit pas bien mais il y a deux clous par lame.

Woah dis-donc, cray, tu me brosses un peu trop dans le sens du poil je trouve... tu as besoin de quelque chose ? Tu veux de l'argent ?
Grand merci pour ton travail, beau montage !

HA ! Ça a quand même de la gueule un titre comme ça non ? Mieux que "gna-gna-gna-bois qui travaille", hein !

Hello,
Je vais te donner une réponse à laquelle je ne suis pas sûr (vu que j'ai certes fait une conférence sur le sujet, mais je suis loin d'être spécialiste...). Je pense que c'est l'humidité relative, donc que ta planche va bouger quand elle passera de 6g d'eau à 20°C à 6g d'eau à 10°C. Et cela pour la raison que les 6g d'eau à 10°C sont davantage "condensés" dans l'air, donc sous forme de gouttelettes plus grosses qu'à 20°C. Et ces gouttelettes vont mieux pénétrer le bois.
C'est du moins mon analyse, mais cela reste à confirmer par quelqu'un de plus compétent que moi.
NB : c'est à cela que je faisais référence en disant que la chaleur diminue "mathématiquement" l'humidité, avec un bonus pour le chauffage par convecteurs qui surchauffent la vapeur, c'est encore pire.

Merci Nairod, tu est mon meilleur fan !

Je vais faire le rabat-joie mais si tu ne sais pas quelle machine il te faut, c'est que tu n'es pas prêt à en acheter une ! Et ce n'est qu'un détail (j'ose le mot) dans ton projet d'installation, qui comprend mille difficultés : administratives, financières bien sûr, les questions de formation, les éventuels diplômes, et avant toute chose le "modèle économique" et l'étude de marché.
Alors la bonne nouvelle c'est qu'en étudiant tous ces aspects + tous ceux que je n'ai pas mentionnés, on finit par y arriver (tous ceux qui sont installés y sont arrivés, donc il n'y a pas de raison que tu n'y arrives pas), mais la question du choix de la machine découlera assez naturellement de beaucoup d'autres choses.
Pour l'instant ton job, c'est BPI France et CMA.
Allez au boulot !

José Das Neves c'est quel fournisseur ? Les possesseurs de Lurem C260N ont un souci structurel avec ce type de courroies (que je viens de résoudre pour un peu plus de 600€, alors s'il y a mieux...)

Ho Franck, c'est pas un peu fini la sensiblerie ?
Boris Beaulant je me suis toujours demandé comment tu faisais les prototypes ? Sur la vidéo ça a l'air d'être déjà fonctionnel !

Bienvenue dans le monde merveilleux du soudage ! Moi j'ai un poste MAG, les rares fois où je soude à l'arc c'est une catastrophe. Mais comme le TIG, ce n'est pas le même budget. Du coup à part de l'entraînement jusqu'à ce que tes soudures soient belles, je n'ai aucun conseil à te donner (et vu des photos, le résultat est satisfaisant).
Pour le cintrage, soit à froid comme tu fais, soit au chalumeau :
- si tu as accès à un poste acétylène, la flamme est à 3000°C, ça devrait aller vite,
- Si tu n'as qu'un poste butane / propane, Jean Galmot a raison, il faut confiner la flamme, et si c'est un petit appareil compact, tu le mets à l'envers (bec en bas, bouteille en haut), ce qui te permet de gagner une partie de l'énergie de la détente, et ça chauffe un peu plus.

Après l'avoir allumé, tu le tiens comme ceci. Je ne suis pas super bon en thermodynamique, mais la détente du gaz nécessite de l'énergie (c'est pour cela que la bouteille refroidit), et pour une raison que je ne maîtrise pas, si tu brûles le gaz pendant sa détente, une partie de cette énergie part dans la flamme et ça chauffe davantage.
J'ai pu le constater à la belle époque où l'on faisait des exercices incendie dans un camion (l'instructeur allumait une bouteille de gaz directement à la sortie, sans détendeur !), et retournait la bouteille pour que ça chauffe plus. Au bout de quelques secondes, on se rendait compte tout seuls qu'il fallait se mettre au ras du sol pour ne pas étouffer !
Et je m'en rends compte désormais quand je fais cela avec mon petit chalumeau.
Je ne connaissais pas les gouttières nantaises, d'où je croyais que la cabane dépasserait. Mais elle est basse, tu vas devoir baisser la tête !