Bonjour
il y aura forcément une rétractation ou un gonflement du lambris.
de vos frises. Se lancer dans de l'araser (votre plan) demande une grande précision: on monte à blanc le panneau central sans la mouluration car sinon cela va éclater quand on fera l'usinage en bout; on calibre le panneau puis on toupille la languette en bout + éventuel joint creux sur le pourtour puis on démonte et on toupille la mouluration en bout. Et cela n'empêchera pas que le joint périphérique va varier avec la rétractation du panneau.
En supprimant l'arasé seul la petite mouchette crée un petit trou au niveau de la feuillure c'est très discret voir invisible si finition peinte et la rétractation cachée.
Un joint creux et un usinage qui souligne un joint pour masquer un peu sa dilatation. Rainure plus longue pour créer joint creux.(croquis)
Les photos montrent des portes extérieurs dont la conception n'ont rien à voir avec la porte de Agnes7 la première est une porte à lames sur barre ou bâti ou lames croisées donc pas de rainure. L'autre est à l'abri si elle était exposée il faudrait inverser la languette pour supprimer la rainure dans le bâti.
A vous lire j’ai bien compris que vous n’avez que un petit atelier.
C’est pourquoi je vous conseille une porte à cadre avec feuillures et Ravencements moulures arrêtées pour éviter la coupe et lambris du commerce. C’est le plus simple usinages limités le plus compliqué est le raccordement des frises au milieu mais vous pouvez opter pour les mettre que dans un sens.
Bonjour
les causes des fentes sont la conséquence que les panneaux ou le panneau sont bloqués quelque part dans la rainure ou les rainures sinon il n'y a guère de raisons de voir apparaitre de tels désordres.
Donc se contenter de boucher les fentes c'est essayer de soigner les conséquences et non la cause.
Il faut comme à l'origine que les panneaux puissent jouer librement
On peut bien sûr démonter l'ensemble mais avant d'arriver à une opération à cœur ouvert, opération lourde et onéreuse et pas sans risque. On peut envisager une intervention plus légère.
A savoir d'essayer de décoller les panneaux en vissant deux cales et en mettant un serre joint pour voir si le panneau bouge ( je test pour me rendre compte comment le panneau et contraint mais sûr il faudra décaper le panneau pour avoir un résultat satisfaisant). Essayer d'insérer une spatule dans la rainure pour casser les adhérences. On peut utiliser un outil oscillant mais en principe on n'a pas besoin d'en arriver là ( en faisant pénétrer le décapant un peu dans la rainure et en tapotant avec une cale sur les bords du panneau + spatule et serre-joint on y arrive dans la plus part des cas.
La réparation ensuite n'offre pas de difficultés.
Aprés a quoi sert vraiment cette barre . D’après les photos il semblerait qu’elle ne sert pas de battue en partie basse pour les portes je suppose qu’elle a son utilité pour la fermeture en bloquant une crémone derrière elle. Si c’est le cas on peux envisager de scier et de mettre une plaque à fleur dans le bassoir pour la crémone et éventuellement mettre des butées sur le volet pour venir en contact sur le devant du bassoir.
Et tout sera plat.
Donc il y a possibilité de supprimer cette barre est mettre les butées sur le volet pour faire arrêt sur le bassoir et la on tout est plat.
Je suis pas sur de la faisabilité dans ce cas précis mais c'est une technique que l'on emploi souvent car c'est pas pratique d'avoir la butée dans le passage . Pour la fermeture on fait un trou dans le bassoir avec une plaque. je joins un croquis de principe . A noter que on peux mettre un système de d'écrou sur la butée pour un réglage précis de la profondeur et elle peux être pas mal déportée par rapport au bassoir car enfin compte elle sert principalement à aligner la crémone avec son logement. Bien sur si on déporte trop la porte cela peut gêner en position ouvert.
Sans aller jusqu’à couper le bassoir. On peux peut être l’entailler pour permettre une patte courte en principe une butée suffit la battue règle le souci sur l’autre battant. Bien sûr l’entaillage n’as pas besoin d’être traversant il faut peut être trouver un habillage pour rester propre . A voir ????
Bonjour
Alors vous êtes sur ce que appelle une porte à lames. Pour genre de porte on ne colle pas les lames il faut laisser le bois bouger. la disposition oblique des lames fait que le retrait est donc perpendiculaire à leurs inclinaisons et par voie de conséquence les feuillures ou l'embrèvement à moins besoin d'être profond.
Votre disposition de lames apporte donc une complication supplémentaire. il vaudrait mieux garder les lames inclinées dans un seul sens. les clouer sur un panneau ne change en rien leur retrait ;simplement les lames ne se tasseront plus mais se retirons de part et d'autre de leur point de fixation.
Un panneau demande des frises sur les deux parements, main d'œuvre et fourniture vont être impactées. Je vous ai proposée d'utiliser des frises du commerce pour l'économie de main d'œuvre et pour avoir un bois sec, choisir de petites largeurs pour limiter le retrait.
Il existe une autre façon de concevoir votre ouvrage : C'est d'empêcher les frises de bouger à savoir diminuer leur épaisseur à 6 ou 8mm et les coller en plein à la polyuréthane sur un CP. Oui mais le coup de revient est totalement différent.
En feuillure les lames font double parement , vous pouvez aussi imaginer un cadre en rainure pour éviter la parclose mais il n' y aura plus d'accès facile aux lames.
si vous avez votre plan publiez le .
oui c'est juste un pan coupé sur un arêtier entraine un désabout sur ceci. Pour avoir l'angle de se désabout il faut considérer l'arêtier fictif qui résulterait de l'intersection de ces deux cotés en trouver sa projection horizontale et sa vraie grandeur que l'on coupe perpendiculairement (vue par bout) puis rabattement sur la trace horizontale qui avec le prolongement des trace des deux cotés le double de l'angle du désabout .
Effectivement cela complique la chose pour le guide cela n’est un problème il suffit de rajouter un bois en partie avant afin d’aligner la coupe ensuite sans chariot il faut trouver un moyen pour guider le bois après le sciage alors soit sur l’autre rive du panneau en mode calibrage mais difficile à mettre en place de façon précise sur genré de scie soit faire une continuation de guide qui prend appui sur la face de la coupe d’onglet. Cela est compliqué essayer de calibrer vos panneaux dimensions finies puis dégrossir l’onglet à la scie puis finir à la fraise à 45 l’idéal serait un multipente .
tu as raison en me relisant c'est peu clair . Alors les coupes d'onglets sont faites à la circulaire. le petit élégie en bout est fait sur le bois à dresser et à pour but de placer précisément la coupe dans l'angle et faire qu 'il n'est pas d'affleurement sur 50 mm . on colle à fleur du petit élégie car l' affleureuse ne pourra pas y accéder. Les éventuelles rectifications des coupes sont faites avec les cales à poncer outil primordial. On peux faire une feuillure dans le bois à dresser pour calibrer les élégies.
Formica est une marque de stratifié, probablement la première à avoir était utilisée . Son nom du coup est devenu synonyme de stratifié.
Alors tout les menuisiers le font moi le premier, mais taper sur une cale pour coller un chant à la néoprène est déconseillé la raisons m'échappe mais le technicien de la colle nous l'avez fait remarquer lors de stage de formation au stratifié . Ma mémoire me faisant défaut je ne me rappel plus son explication.
Sur votre plan on vois des hauteurs d'échappée mais pas exactement ou se situe la trémie. le plus rapide est de faire un développé au dixième de vos murs en plaçant la fenêtre et une plaquette d'arrivée et la trémie . Puis a l'aplomb de la trémie vous portez une hauteur d'échappée convenable en tirant une droite du nez de la plaquette et passant par ce point son intersection au sol vous donne l'étendue de votre escalier + un giron. Vous pouvez jouer sur la hauteur d'échappée, la taille de la plaquette et le nbs de marches. une vérification sera menée avec le balancement notamment au niveau de la fenêtre .
la trémie est sur l'ensemble de l'escalier ? En suivant le fil je vois que vous focaliser sur le pas et la formule de Blondel. il faut savoir qu'a l'origine sa formule est en pieds et on avait beaucoup plus de place pour l'escalier et des hauteurs d'étages différentes. Si bien qui si on applique sa formule la pente de l'escalier est d'environ 26 degré. Pour aplanir ce résultat nous avons dit que le résultat de la formule pourrait varier entre 590 et 640 mm . Or la formule à une composante verticale hauteur et une composante horizontale le giron donc on voit que peut donner de multiples solutions à l'équation . Donc il faut apprécier le rapport entre les deux composantes la composante horizontale le giron nous donne la praticabilité de l'ouvrage (place du pied )la hauteur nous donne la pénibilité (fatigue pour monter risque à la descente). Mais aussi cela nous donne une pente; pour un escalier d'habitation elle est comprise entre 30 et 35 degré. Pour avoir le meilleur compromis il faut d'abord définir les deux dimensions essentielles qui sont la hauteur à monter ici 2800 et l'étendue de l'escalier qui dépend de sa pente et de l'échappée et dans votre cas le passage à la fenêtre . Une fois que vous avez votre étendue optimale on s'occupe du pas. Tout chantier est unique il faut d'abord intégrer toutes vos contraintes puis à l'intérieur de cette enveloppe vous intégrez votre pas.
Je ne vois pas le rampant sur la photo. Mais en cas de rampant le problème est simple on fait le développé des murs on place la plaquette,du nez de celle ci on mène une parallèle au rampant à hauteur d’échappée son intersection avec le sol donnera l’étendue optimum + un giron de la vous pouvez mener un calcul de pas qui tiendra compte de vos contraintes.
C’est le terme au soleil qui doit vous faire penser que je pense que le lambris et extérieur. Non c’est un terme de métier qui signifie parement à la lumière j’ai bien compris que nous parlons d’un ouvrage intérieur d’où mon inquiétude sur le séchage du bois. Quand au delta a poser avant les tasseaux de fixations il peut isoler de l’humidité éventuel du mur et permettre une ventilation du contreparement de la volige .
Pour répondre il faut que je m’assure que ton bardage est horizontal comme je crois l’avoir compris. Car le premier souci est le retrait ou le gonflement du bois dans le sens perpendiculaire à ses fibres dans ton cas sur une hauteur d’environ 2 mètres. Rappelons que dans l’autre sens le retrait est considéré comme comme nul donc un jeu est inutile et est préjudiciable au contreventement.
Les lames horizontales n’ont pas d’effet de contreventement car non collé entre elles. Pour les côtés vous pouvez faire comme le bas. Le risque de gonflement est pas très important par rapport à celui du retrait il serait peut être judicieux de diviser votre hauteur avec une traverse intermédiaire qui diviserait le retrait par deux. Un élégie décoratif pourrait faire ressembler cette traverse au reste du bardage et le contreventement serait amélioré l’embrevement en partie doit être très important pour compenser l’éventuel retrait.
Avec ses précisions en admettant que vos deux limons de 45 mm par un assemblage adéquat soit l'équivalent d'un limon de 90 mm il faut suivre la recommandation de kaj a savoir laisser 180 mm de bois perpendiculaire au rampant du limon.
Alors vous prévoyez une encoche dans les limons. Cette encoche à pour effet d'augmenter la section des limons pour ne pas les fragiliser; augmentent telle la fixation des marches ? A vrai dire votre marche en séchant va ne plus être en contact avec l'entaille et obligera à faire des contre entailles dans la marche pour couvrir les éventuels retraits. Si la surface d'appui des marches et suffisante des tourillons en quantité suffisante avec un bon collage doit suffira. On peut économiser du bois en coupant les entailles et en récupérer une partie pour former la crémaillère en la retournant. Le visuel du limon peut être soulagé en entaillant la marche en sous face sans le fragiliser. Comme escalier est balancé je vous recommande d'augmenter vos épaisseurs de marches bien que il sera surement pratiquer à l'aplomb des limons mais il y a un risque de souplesse. Pour finir l'absence de garde corps me pose problème.
Les dessins de José Das Neves sont plus illustratifs que ma réponse , la méthode est similaire. Reste à préciser que je ne suis pas convaincu que on puisse plaquer directement sur la forme sans prendre le risque à terme de voir apparaitre le joint transversal c'est pourquoi il me semble préférable d'amener les cintres au nu du panneau alvéolaire et replaqué l'ensemble en cp cintrable ou d'utiliser une contreplaque intermédiaire ( une une petite réflexion sur le prix de revient des deux systèmes peut amener à les départager. Il reste ensuite à savoir comment départager le système de placage : En gros deux voies s'offre à nous une voie agencement à base de colle néoprène ou une voie plus Meuble ébénisterie avec presse à vide ou autre systémie de plaque.
Alors si on ne tient pas compte des habitudes de l'atelier et son équipement il rentre en jeux un bon nombre de facteurs comme le coup de revient , la pérennité de l'ouvrage , la facilité et la vitesse . C'est un dossier pour les élèves de josé 

Bonsoir
En toupillant une languette en bout de vos frises vous faites une construction en arasé ( usinage qui demande une grande précision) non seulement vous vous compliquez la vie , avec un usinage supplémentaire mais quand votre bois va se retirer il va se créer un joint en partie haute. bien sûr on peux envisager un joint creux pour cacher un peu le retrait mais pourquoi pas faire au plus simple? Je vous joint une coupe de principe avec parclose à recouvrement pour cacher la dilatation.