
Ca ne répond pas à ta question, mais en plus des 100€ de FDP, il faut t'attendre à recevoir en meme temps que ton colis une petite enveloppe siglée "DOUANE" qui te réclame en plus 20% de la valeur déclarée pour ce produit. Y'a des trucs sympas outre atlantique, mais c'est quand meme moins chère en local.

Pour moi c'est meme tout l'intéret de cette technique, car le jeu de lumière entre les reliefs et les contrastes de couleurs donne un aspect "vivant" au bois. Par comparaison en brulant légèrement on ne fait que créer un effet "zebré" qui peut avoir son intéret mais qui n'amène pas ce petit quelque chose en plus.

Méthode intéressante mais à mon sens plutot adaptée à une entreprise ou la prise de devis est déconnectée de l'atelier.
J'essaie dans mon exemple de tenir compte de ce temps "perdu" (par exemple le débit corroyage pour 2 pièces ne me prend pas plus de 10min machines tournantes, mais avec le temps je sais à peu près le temps que ça va prendre). Bien sur si quelqu'un devait prendre le devis sans avoir mis les pieds à l'atelier, il serait bien emm**** pour estimer le temps de débit et corroyage de 2 pièces par rapport à la meme chose sur une série de 200 pièces.
Par contre moi qui bosse tout seul, ça me parait plus simple de faire des estimations basées sur mon expérience que d'appliquer des coeff à des durées brutes qui de toute façon seront des estimations.

Pourquoi pas effectivement.
Ca amène à une question plus philosophique (ou politique) : quel modèle économique veut-on encourager pour notre société ? En fixant ton prix pour une réparation sur le prix du neuf, il est entièrement déconnecté de la notion de rémunération du travail. Perso si je veux m'installer en tant qu'artisan c'est pour oeuvrer dans une société ou c'est l'action humaine qui crée la valeur, et non pas le marché. Dans ce sens je choisirais plutot de baser mes prix sur l'évaluation du travail effectué (mais je ne cracherais pas sur quelqu'un qui fait autrement, tant qu'il reste cohérent entre les idéaux qu'il défend et sa méthode).

Steven39 C'est réalisable en montant une ancienne lame à chantourner de SAR sur un cadre exemple du commerce exemple DIY par ici

débuts prometteurs, pas toujours facile d'obtenir un bel état de finition comme ça sur des bois au fil irrégulier. Maintenant que tu as mis le nez dedans, bon courage à tes proches qui vont te voir passer plus de temps sur ton tour qu'avec eux ;)
Un petit détail sur la coupelle en if : on voit que tu as gardé le coeur alors qu'il est très proche du bord. Attention à ce genre de détails lors de la préparation de ton bois car si le bois n'est pas parfaitement sec c'est de là que vont partir les fissures, alors qu'en le faisant disparaitre le bol va se déformer en séchant, mais a moins de risque de fendre. D'autre part cette disposition du coeur crée des petits quartiers de bois suffisamment petits pour s'arracher en cas de plantage de la gouge, mais suffisamment gros pour faire mal une fois lancé à la vitesse de rotation du tour (expérience vécue, vive la visière forestière).

certes elle n'est pas plongeante mais le système de réglage de profondeur est tellement souple et facile d'utilisation que tu peux envisager d'attaquer une coupe en plongée sur du panneau ; d'autant plus que le couteau diviseur est monté sur ressort, donc il n'empèche pas la plongée et se remet en place dès que la coupe est entamée.
Les seuls avantages que je verrais encore à une plongeante c'est pour la réalisation de rainures arretées ou la coupe à ras de mur pour la pose de parquet.

et pourquoi pas couper la poire en deux, à savoir contacter la personne qui vend le meuble, et lui proposer de la prendre pour démonter si jamais le meuble n'est pas vendu quand l'annonce arrive à expiration sur LBC ? Comme ça si le meuble est vendu avant, tant mieux, sinon au moins il ne finira pas en bois de chauffe.
globalement vu ton schéma on parle bien des memes choses. Juste pour l'encadrement j'inclus aussi le montant tout à gauche de ton schéma.
La traverse basse de l'encadrement (là où tu as ta gorge creusée par les écoulements) me semble la plus difficile à changer sans démontage. Pour la refaire il faudrait à minima écarter le montant de droite suffisamment pour glisser ta traverse avec ses 2 tenons entre les 2 montants. Pour cela il faut décoller le tenon de la traverse juste au dessus de la porte intérieur (qui sert de linteau en fait). Si comme tu dis la porte pèse un ane mort, pendant que ce montant sera désolidarisé l'ensemble du portail risque de jouer, d'où l'étayage indispensable pour éviter les mauvaises surprises au remontage.
Autre difficulté que j'envisage pour le changement de cette pièce : sans démontage il sera difficile de serrer correctement l'assemblage si tu veux le coller. Il vaut mieux dans ce cas envisager un chevillage à la tire (en gros tu perce tes montants de part en part au niveau de la mortaise ; puis tu fait une perce en vis à vis sur le tenon, mais en oblique de manière à ce que quand tu enfonce une cheville dans ce trou elle serre l'ensemble).
Mais ce chevillage à la tire sans changer les montants pourrait poser problème : tu te retrouveras avec un montant en bois abimé et traverse en bois neuf et bien dur, or pour un chevillage à la tire bien efficace il vaut mieux avoir des bois de meme qualité.
C'est pour tout cela que si je devais la changer, je referais aussi le bas des montants, avec la technique de sifflets citée précédemment.
Pour les coupes verticales, à mon avis l'idéal c'est une scie à main de bonne qualité avec un gabarit de guidage sur deux faces, et un petit coup de ciseau pour nettoyer à la fin. ça reste la partie la plus délicate car là à part y aller tranquille et ne pas s'énerver, y'a pas de miracle.
Mon conseil : fait d'abord la porte intérieure, les étapes sont semblables et tu verra vraiment si tu te sens en capacité technique de faire la suite.