souvent fait maison
pas vraiment. Je dirais plutôt fabrication artisanale ou semi-industrielle car beaucoup d'opérations faites à la main pour la fabrication. La marque emblématique est Norris mais il y en a d'audres.
Un autre exemple sur l'AdB:
Je suis épaté par cette réalisation avec liaisons surcontraintes...
On et au delà de l'hyperstatisme ;)
Questions bêtes:
- pourquoi pas 12 trous d'un côté et un seul tourillon de l'autre ?
- ou comme dit Kentaro, des trous légèrement plus grands (par exemple tourillons de 10mm et perçage de 10.5mm ou 11mm) ?
- ou alors, je propose un assemblage avec possibilité de réglage infini: une rondelle de papier abrasif collée dans l'articulation: le frottement combiné au serrage axial puissant devrait empêcher que ça bouge !
Olivier80 deux approches pour le dimensionnement sont possibles et complémentaires:
- faire un essai d'articulation réglable avec un seul tourillon pour bloquer la rotation, bloquer un bras dans l'étau, et se suspendre dessus pour voir où et comment ça pète (si ça pète). Se dire qu'un enfant est 3X moins lourds et que les liaisons vont pas deux (facteur 6);
- se demander quel sera le mode de ruine, ou autrement dit le critère dimensionnant:
- cisaillement du tourillon ?
- ou écrasement ? C'est à dire compression transversale aux fibres,
- agrandissement du logement (me paraît plus probable...)
Pas facile, l'essai me paraît plus probant !
Données mécaniques pour le hêtre. Par exemple, avec un contrainte de résistance au cisaillement de 10N/mm2, pour un tourillon de 10mm de diamètre (=78mm2) ça donne un effort de 780N (soit le poids d'une masse de 78kg).
La solution par abrasif a l'avantage de ne rien fragiliser (pas de perçage), mais on préfère psychologiquement la butée offerte par le tourillon. Cela dit, on utilise des freins et embrayages tous les jours... !
Bref, je prône l'expérimentation destructive 
la ou tu es susceptible d endommager ton ciseaux prend un ébauchoir de charpentier c est vraiment très utile (pied de biche, défoncé du plâtre et j en passe )
en effet !
Autant prendre un burin non ?
Pauvre ébauchoir 
Après effectivement, dès fois faut que ça coupe un peu plus qu'un burin...
Le racloir remplace aussi parfois (souvent ?) avantageusement le ponceuse
J'aurais dit que c'est de l'acier chromé d'après la teinte sur la photo.
sylvainlefrancomtois j'ai pensé au même document, que j'ai ajouté récemment dans les livres
Il y a une demi douzaine de planches avec texte sur les tiroirs dans cet ouvrage
Si ça t'intéresse, je peux partager...
Tu peux ajouter Doucette and Wolfe Furniture Makers.
L'index est disponible sur le site unitheque.com.
sylvainlefrancomtois merci pour la critique, je viens de le recevoir, il ne me reste plus qu'à lire, comprendre et refaire
J'ai parcouru rapidement les planches, il y a un peu de texte à la fin.
Je ne sais pas si la version Gallica est la version complète de l'ouvrage.
Belles gravures.
J'ai pu feuilleter les planches chez un libraire ancien à Marseille, elles sont immenses !Je ne sais pas si c'est A5, mais ça doit être l'ordre de grandeur. Correction: on est plutôt autour du format A2 !!
Il vendait les deux tomes plus les deux recueils de planches 500€. C'est le prix visiblement, avec une vingtaine de planches manquantes.
Il a eu une fois l'édition complète (2T + 2P) comme neuve, c'était 1000€, il l'a vendu en une semaine...
Je vois passer les tomes seuls des fois sur Ebay pas cher. Mais je m'interroge sur la pertinence d'avoir ça sans les planches ?!
trente six seb et moi je voulais dire A2 !!
Les planches (~A2) sont d'une finesse incroyable.
Cela me paraît difficile à reproduire en A3...
trente six seb J'ai l'impression que l'édition Vial récente en trois tomes comporte un texte complètement remis en page. Ce n'est donc pas un simple fac-similé.
trente six seb Je viens de recevoir les trois tomes de chez Vial.
Mais ils sont pour un pote :( !
Format 45cm x 33cm. Papier de qualité, les planches restent lisibles.
Mise en page agréable.
En réalité le lien que j'ai mis ne contient que les planches.
Je pense donc qu'il existe un volume de texte mais je ne l'ai pas trouvé.
J'aurais dû mettre qu'il y a plusieurs tomes à la création de la fiche...
Jacques André Roubo parle de l'usage des douves et fonds de tonneaux en chêne, et de la manière de les redresse, par les layetiers à la page 2 dans
En effet, c'est surtout le soin apporté au réglage qui donne de bons résultats au rabotage.
Un rabot en bois fait parfaitement l'affaire, et glisse mieux que toutes les semelle métalliques !
Et un rabot métallique Darex (marque française, qui faisait des copies de Stanley) d'occasion bien réglé fera aussi bien qu'un outil de "collection".
Un rabot, ça reste un truc avec une semelle qui tient un fer fermement avec le bon angle avec une prise en main adaptée.