
loss coefficient = (littéralement) coefficient de perte
Pour un matériaux, je dirais plutôt coefficient d'amortissement : plus l'amortissement est important, moins les vibrations se propagent loin/moins les vibrations durent longtemps dans le matériau.

Et même si ça bouge, est-ce bien grave ?
Ce qui compte, c'est que la structure ne se déforme pas comme une patate avec les changements de conditions météo et qu'en gros on garde les parralélismes et perpendicularités importantes.
Après, que des longueurs varient, ça arrive surement sur tout un tas de machines avec la dilatation thermique. Ce qui compte ici, c'est que quand on demande un déplacement de 10mm, on obtienne un déplacement de 10mm, et ce quel que soit le jour de l'année (et l'hygrométrie puisqu'on en parle). Je pense qu'on peut concevoir de tels mécanismes: si dans le cas présent la courroie ne change jamais de longueur, alors c'est bon.
Et puis si les dimensions de la machines varient pendant l'usinage (au cas où on usine pendant 3 semaines avec gros changements météo), ben c'est sûr on peut rien y faire !

J'utilise ce même trusquin Goldenberg depuis quelques temps. Il est en azobé pour les parties foncées et charme -je crois- pour les parties claires.
Il a un coté avec une pointe et sur une autre face on a deux pointes, très pratique pour tracer les tenons et mortaises.
Je lui trouve cependant trois inconvénients:
- les pointes accrochent et glissent mal car elles sont coniques et non affûtées en arête;
- la prise en main est difficile car la tige est grosse;
- le réglage par vis est un peu fastidieux par rapport à un coin.
Mais bon, ça reste un outils indispensable !

Ne faudrait-il pas étuver les lamelles avant la mise en forme ?
Il me semble que le hêtre s'y prête bien. Le chêne je ne sais pas.
Qui du frêne ? Toutenbois s'en est servi pour son fauteuil suspendu

J'aime beaucoup aussi l'aspect rugueux et texturé du bois de récup. Et le résultat est vraiment chouette.
Je fais aussi pas mal de chose avec du bois de récup, mais je trouve qu'avoir des surfaces rugueuses empêche de faire les poussières sur les meubles ! (Bref, ça accroche le chiffon...). Bon, c'est le seul inconvénient.
Après, visiblement tu as pas mal poncé, donc peut être que tu n'as pas ce problème là ?

Je suis en train d'écrire un pas à pas sur les rabots bois (voir sur ma page), qui ont ma préférence sur les rabots métalliques (ça glisse mieux !).
Effectivement, on peut faire de bonnes affaires en occasion, mais cela suppose de s'y connaître un minimum. Et pour le rabot, il y a quand même tout un apprentissage du fonctionnement qui fait que cela peut être difficile au début de se servir de cet outil subtil, d'autant plus difficile si le rabot d'occas' présente des défauts à corriger.
Mais je suis bien d'accord, on trouve de super outils d'occasion, et on apprend leur fonctionnement et à s'en servir en les retapant. Donc il faut juste accepter qu'on ne trouvera pas l'outil idéal du premier coup ! A toi de voir si tu te lance dans l'occas.

Je me suis toujours posé la question de savoir combien de temps on laisse les petites bêtes enfermée et privées d'oxygène pour qu'elle meurent toutes réellement ? Et combien de temps on met pour remplacer l'oxygène contenu dans les porosités du bois par autre chose ou par du vide dans le cas d'une mise sous vide ... ?
Bref, des histoire de moles, volumes, pressions partielles, volumes inspirés par les bébêtes, population à décimer, etc.
Aurelien - Mobbler +1 pour l'équilibrage dynamique du portique afin de minimiser le couple de basculement lors des mouvements du portique