
Bougnasse Ah ben ça alors !
Bon, il faut juste la bonne perceuse pour aller avec, sinon

OK, conforme à la description que j'en faisais, donc.
Concernant les causes, que la succession de retrait et gonflement d'un sol argileux ait pu avoir un impact sur la construction, et l'huisserie qui eszt solidaire, c'est possible.
Mais sur l'ouvrant, ça serait d'abord sur ses jeux, tout autour, que seraient apparues les conséquences, pas sur la porte elle-même.
Mais ça peut tout de même avoir eu un impact indirect, si on ne remédie pas à ces désordres du bâti (porte coincée dans son huisserie, par exemple).
Entre les pros que tu as vus (quelles sont leurs spécialités ?) et l'ABF, peut-être y a-t-il un intermédiaire. À savoir, un menuisier ou entreprise spécialisée en restauration de patrimoine, qui proposerait une solution de restauration de l'existant, plutôt, et moins coûteuse, qu'une réfection à neuf identique ?
Peut-être que la solution passerait par un démontage complet en atelier, puis remise en état et jeux des différentes pièces. Mais ça resterait la porte d'origine, et serait une solution moins chère qu'une neuve.
Je ne sais pas où tu es situé, mais il en existe un peu partout en France.
Sinon, et si c'est une question de coût, une réparation basique et moins onéreuse est possible. Mais ne surtout pas se lancer dans une réparation qui ne serait pas réversible. Le mastic acrylique, proposé par d'autres en est une. Elle ne sera sans doute pas définitive, mais tant mieux, d'un côté, et sur une telle porte à valeur patrimoniale !
Re-PS : Ça serait sympa, si tu pouvais nous montrer des images de cette porte en intégralité !

Parfait, si tu as trouvé ta solution !
Pour info, ce que j'appelais "découpe" (par opposition au "défonçage"), c'est dans le cas où c'est traversant... même si réalisé avec une défonceuse.
Et par "défonçage", on entend plutôt, et en général, un usinage partiellement creusé en profondeur.

Nicoel
Ben non. L'élément clé, c'est la prestation décrite, rien d'autre.
Et si l'artisan (ou tout autre vendeur) réalise la dite prestation en un temps plus court que ce qu'il aurait indiqué au devis, (parce qu'il se serait mieux débrouillé, trouvé des solutions de gains de temps, etc...) il se passerait quoi ? Le client serait donc en droit de réclamer un trop payé ???
Je ne vois d'ailleurs pas où tu as lu que c'était une mention obligatoire, dans le document d'Ara

VG06
Non mais une "durée", ça n'est pas un temps de travail ! C'est la période, de date à date, durant laquelle les travaux sont prévus, mais pas une prévision d'heures.

Nicoel
"Sérieusement" ?!?!
Et ça veut dire quoi, "quand faisant partie de la "prestation" pour toi ?
C'est quand tu vends une prestation en temps. 2 heures de ménage ou 4 heures de jardinage, par exemple.
Tu as déjà travaillé en tant qu'artisan ou dans une entreprise, qui travaille sur devis ?
Une estimation, ou prévision de temps, c'est un objectif à ne pas dépasser. Même s'il arrive, pour diverses raisons, comme dans le cas exposé ici, qu'il le soit.
Mais si on peut gagner, pourquoi ne le faudrait-il pas.

Nicoel Ah, le concours de "c'est moi qui ai la plus grosse", alors !
Oui j'ai été salarié, mais avec quel(s) rôle(s) à ton avis ?
Et parce que j'ai été salarié, tu penses que ça n'induit pas ces mêmes notions, suivant le(s) fonctions(s) qu'on a eu à occuper ?

N'allons pas chercher pas des citations qui semblent prouver ce qu'on souhaiterait prouver VG06 !
Dans cette phrase, et dans le contexte de la question ici, un "tiers contractant" pourrait par exemple être un sous-traitant (donc, du contractant, c'est-à-dire l'entreprise qui a obtenu accord sur son devis), ou alors un groupement d'entreprises.
Mais je ne crois pas que ça soit le cas ici.
Maintenant, pour la solution vers laquelle devra s'orienter Fish, la piste amiable est toujours la première à envisager, oui.

Jean-Claude Di Fazio Non, non, pas d'embrouille. Chacun est "re-tourné" à ses occupations, d'ailleurs, semble t-il !

Pour realiser des queues d'aronde en linéaire, pas sûr que ça existe, en standard. Mais pour le profil "interieur" (ou partie mâle) de la queue d'aronde, ça pourrait se réaliser à la toupie. En 2 passes, une sur chaque faces à la verticale. Avec une fraise (si elle existe), ou au fer.
Mais la partie "extérieure" (ou femelle), a la caractéristique d'avoir un profil "refermé", est n'est donc pas réalisable avec un outil monté de façon classique sur un arbre de toupie, fraise ou fer.
Mais il existe, encore faut-il que ta toupie soit adaptée, des fraises queue d'aronde, qui peuvent se monter en bout d'arbre. Les pièces sont alors passées à la verticale, au dessus de la fraise.
Maintenant,même si dans l'absolu, c'est imaginable, ça n'est vraiment pas la méthode la plus facile, rapide à exécuter, à ajuster, pas plus que pour assembler.

Chaluthier Non, ce que j'ai l'occasion de voir se vissait en bout d'arbre, à la place de la vis de serrage.
Mais effectivement, sans doute pas idéal pour ce qui est de la vitesse de rotation (plutôt 12000 que 10, d'ailleurs, sur beaucoup de toupies).
Je n'ai, ceci dit, jamais eu l'occasion de m'en servir, ni vu personne le faire ! Peut-être avant d'avoir une défonceuse portative, dans cet atelier ???
Autre point, en tentant un tel usinage, sur chant et en grandes longueurs, ça risque d'évacuer les copeaux difficilement.. et les conséquences qui iraient avec.

Une règle qu'on m'avait inculqué, il y a très longtemps "tu laisses le chantier aussi propre que tu l'as trouvé".
Si on pose des menuiseries, dans un chantier en construction, on ramasse ses chutes, emballages ou autres, peut-être un coup de balai rapide, si c'est possible, et si c'est une cuisine qu'on pose chez un particulier, on va jusqu'à l'aspirateur.
Pour le dépassement de temps prévu, s'il y a une "decouverte" de difficultés inattendues, ça se fait de demander une "rallonge". Encore faut-il que cette éventualité ait été stipulée sur le devis.

Alors, oui, et non.
D'abord, et effectivement, si on ne se concentre que sur le sujet de la question initiale, à savoir la résistance à l'arrachement, des chevilles "Molly" ou à bascule peuvent parfaitement apporter une solution. Je suis d'accord là dessus.
Mais se posera un autre problème, avec un tel support déporté, avec 19 kg au bout, et quand on on voit les dimensions utilisées pour les platines de fixation. C'est celui de la rigidité du dos.
J'ai eu une situation similaire, il n'y a pas longtemps, pour un support prevu pour y poser un ordinateur portable. En bout de bras, c'etait ultra souple, et pourtant, c'était fixé à un poteau bois bien rigide.
Ici, avec 19 kg au bout (bien plus lourd qu'un ordi portable), si ça n'arrache plus les vis, c'est le dos qui va encaisser ces forces et être tres souple, et à terme, qui risque de se déformer.
Donc si la solution des chevilles est à retenir, il faudrait tout de même aussi ridifier le dos.
(Je proposais, dans une autre réponse, de doubler le dos, afin de noyer des rondelles/écrous, ce qui avait aussi pour effet de le rigidifier)

À qui t'adresses-tu, Nico20200 ?
Car je ne vois pas où tu as lu de ma part cette citation précise : "la plaque risque de se déformer" !?!?
Si c'est bien à moi, je parlais plutôt du dos du meuble (c'est-à-dire, le panneau qui fait office de), qui pourrait se déformer.
Les plaques de fixation de bras articulé sont relativement réduites, d'autant plus que chaque fabricant fait un peu ce qu'il veut, il me semble, (contrairement à la platine, coté écran qui elle est normalisée, "VESA" je crois, et d'une emprise assez grande). Mais ces plaques, si c'est ça que tu as compris, sont tout de même suffisamment rigides, elles.
Donc, du fait de la taille réduite de ces platines de fixation, et des perçages qui y existent, l'effet de bras de levier se répercutera sur le dos du meuble de façon d'autant plus marquée, provoquant la souplesse dont je parlais plus haut, et il faut le craindre, qu'il se déforme dans le temps. Et donc tout faire pour s'en prémunir, donc rigidifier le dos.
Si tu veux vérifier ce que sera cette souplesse, avant d'opter pour une solution, tu peux faire un essai, sur un panneau perdu, maintenu à la verticale, et avec l'écran en place, pour être au plus proche de la situation réelle.

Nico20200
Ah, mais si tu peux te raccrocher au mur, de façon sûre, c'est aussi une solution !
Mais comme tu disais dans d'autres réponses que c'était un mur en pierre, avec un enduit, (donc difficile d'y percer avec certitude dans une pierre, et pas dans un joint), j'avais laissé tomber cette piste.
Pour l'histoire de déformation, il y en aura 2, en quelque sorte :
. Celle qui sera provoquée immédiatement par le porte-à-faux du poids, et qui se révèlera, par la souplesse, en bout de bras.
. Et puis l'autre, qui dans le temps aura tendance à faire déformer le dos, qui en effet pourrait gondoler.

Merci pour ces précisions.
Concernant l'augmentation de la hauteur de travail, soit tu peux (et si tu sais, tu as l'outillage pour, bien sûr) modifier le piètement métal.
Ou alors, tu peux rajouter une surépaisseur aux endroits d'appui sur cette structure métal.
Pour la dureté, tout dépend du contre-plaqué dont est constitué ton plateau existant. Le CP peuplier, par exemple, est vraiment très tendre. Mais du CP bouleau, ou Okoumé, ou autres bois exotiques, sont bien plus durs (même si pas autant qu'un plateau massif).
Mais suivant l'usage, ça peut être tout à fait suffisant.
Bonne rénovation !

Nico20200 Ben si tu connais une pieuvre qui habite dans le coin, tu lui demandes de venir te donner... un coup de tentacule !
OK. Ça ressemble vraiment à un problème de rouleau de sortie qui ne descendrait pas assez, alors.

Tu as vérifié qu'il était bien mobile, et souple sur ses ressorts ? En faisant levier avec un bout de bois, pour le soulever, par exemple.
Et vérifier s'il n'y a pas accumulation de crasse, dans le logement du ressort, aussi.